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Votre avis sur Créatures célestes ?
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Vous aimez le Cinéma ? Le vrai Cinéma ? Celui qui fascine, qui fait vibrer, qui marque et transporte ? Jetez-vous sur ce film sans plus attendre :)
Pas du tout accroché a ce film, le style de mise en scène de Peter Jackson est souvent agréable et parfois même inspiré mais l'histoire est vraiment pas terrible (sauf les scènes traitant de
spoiler:
l'homophobie)
. Des séquences sont assez énervantes souvent à cause du jeu hystérique des actrices.
. Des séquences sont assez énervantes souvent à cause du jeu hystérique des actrices.
Mériterait -5. Stupide Biopic insipide sur 2 folles dingues mytho soulantes à souhait ne sachant que crier devant des adultes totalement à l'ouest. Jeu d'actrices déplorables. Scénario totalement inutile et aucun valeur de mise à l'écran. Kate est dans son plus mauvais rôle, M. Lynskey est digne de jouer dans le théâtre du village des bidochons ! Dommage que la reconnaissance de la folie n'est pas été reconnue sur leurs procès, mériteraient d'être renfermées au minimum. C'est plus qu'un navet !!! A fuir IMPÉRATIVEMENT !!!
Peter Jackson a sans doute essayé de nous émouvoir avec ce film retraçant l'authentique histoire de deux jeunes filles tombées amoureuses l'une de l'autre, et qui se créeront un monde extérieur, se sentant supérieures intellectuellement. Seulement, pour toucher, il faut que le propos soit un minimum crédible. Ce qui n'est pas le cas, tant les réactions, et sentiments des deux héroïnes sont typés, lourdingues, et puérils. Et puis on a d'autant plus du mal à y croire que, malgré sa narration sous forme de journal intime, le film ne va jamais en profondeur dans les relations, on ne fait qu'ecouter pendant deux heures les rires désagréables (en particulier celui de Kate Winslet) et les jérémiades incessantes de ces deux personnages. Même l'univers visuel est très plat, il ne s'en émane aucune beauté, ou alors elle est forcée, et par conséquent sans saveur. Et c'est plutôt malsain, jamais on n'a envie de compatir ou même de s'attacher à tous ces gens, on reste très en retrait de l'histoire, on ne rentre jamais dedans. Lors de deux ou trois scènes peut-être, le réalisateur néo-zélandais arrive à montrer l'étendue de son talent, à saisir. Mais c'est insuffisant, largement insuffisant...
Il y a des films mauvais, il y en a même un bon nombre, il y a des films exécrables, plus rares sans doute. Créatures Célestes a, à mon sens, le « privilège » de faire partie de cette seconde catégorie. Un scénario farfelu, des actrices aussi mauvaises que le film, passant leur temps à ricaner sottement. Ajoutons à cela des passages complètement absurdes, et vous avez une véritable bombe entre les mains. Elle nous explose au visage, et nous voilà en plein désarroi.
L'idée, tirée d'une histoire vraie, était pourtant très accrocheuse. Deux jeunes filles, vivant une amitié passionnelle sombrent dans la folie, pourquoi pas ? Mais là où le bas blesse, c'est que Kate Winslet parvient, plus ou moins, à être crédible. Mais que dire de Mademoiselle Lynskey, avec son style à la Marilou Berry dans Vilaine ? C'est une teigne, qu'on a envie d'écraser sous notre talon, on a aucune émotion à son égard, elle est insupportable et détestable.
Enfin, Peter Jackson, achève son film définitivement, avec ses personnages en pâte à modeler, risibles au plus haut point. Non pas fous, comme il l'aurait sans doute voulu, mais absolument ridicules. Si la folie c'est d'écrire des livres de capes et d'épées, et de créer un monde de pâte à modeler, la folie n'est plus ce qu'elle était. La palme du film revient aux décors, surtout ceux quand les jeunes filles se projettent dans leur monde imaginaire. Ces décors, sont une fois de plus complètement grotesques.
Bref, je trouve que j'ai dépensé bien trop d'énergie pour un film qui n'en mérite vraiment pas tant, mais je souhaitais apporter un avis construit pour contrebalancer toutes les critiques élogieuses que ce film à récolter, à mon grand étonnement d'ailleurs.
L'idée, tirée d'une histoire vraie, était pourtant très accrocheuse. Deux jeunes filles, vivant une amitié passionnelle sombrent dans la folie, pourquoi pas ? Mais là où le bas blesse, c'est que Kate Winslet parvient, plus ou moins, à être crédible. Mais que dire de Mademoiselle Lynskey, avec son style à la Marilou Berry dans Vilaine ? C'est une teigne, qu'on a envie d'écraser sous notre talon, on a aucune émotion à son égard, elle est insupportable et détestable.
Enfin, Peter Jackson, achève son film définitivement, avec ses personnages en pâte à modeler, risibles au plus haut point. Non pas fous, comme il l'aurait sans doute voulu, mais absolument ridicules. Si la folie c'est d'écrire des livres de capes et d'épées, et de créer un monde de pâte à modeler, la folie n'est plus ce qu'elle était. La palme du film revient aux décors, surtout ceux quand les jeunes filles se projettent dans leur monde imaginaire. Ces décors, sont une fois de plus complètement grotesques.
Bref, je trouve que j'ai dépensé bien trop d'énergie pour un film qui n'en mérite vraiment pas tant, mais je souhaitais apporter un avis construit pour contrebalancer toutes les critiques élogieuses que ce film à récolter, à mon grand étonnement d'ailleurs.
Quel ennui ! L'histoire est vraiment soporifique. Les deux filles sont détestables... Rien de positif dans ce film. Toute cette histoire pour en arriver là. Bref, à fuir malgré les bonnes critiques qu'il a reçu. Ca, je ne le comprends vraiment pas...
En 1952 deux écolières inadaptées de Nouvelle-Zélande forment un lien étroit avec leurs parents tout en créant un monde intime de fantaisie trompeuse. Peter Jackson qui a réalisé le film basé sur des faits le dirige avec un romantisme intense et froid qui est d'abord saisissant. Malheureusement son film est presque achevé par les grands traits ce qui donne au film une résonance artificielle et rebutante. Les jeunes Yvonne Rieper et Juliet Hulme sont les actrices débutantes Melanie Lynskey et Kate Winslet qui sont peu subtiles et comme le montrent le réalisateur elles sont inaccessibles. Cette histoire qui repose si fermement sur la question de savoir si nous pouvons répondre aux filles nous donne deux jeunes filles belliqueuses qui sont pratiquement irréparables. Les adultes ne s'en sortent pas mieux ce qui n'est pas surprenant car Jackson ne leur laisse que des bribes de scènes. La vision première du talentueux réalisateur est captivante mais les fils de l'histoire tremblants sont pratiquement enfouis sous les aspects stylistique...
Bon film avec de la fantaisie et de l'émotion. Premier film des deux actrices, les décors sont sublimes et la mise en scène est excellente. Un chef d'oeuvre.
Quel daube. Tout est mauvais dans ce film. C'est mal joue (Winslet et Linksey voulaient probablement jouer la folie mais en fait elles jouent l'hysterie constante; aucune subtilite), mal filme (les couleurs sont fadasses), les effets speciaux (le monde imaginaire) sont ridicules. Pourtant Il y avait de quoi faire un bom film avec un tel sujet. Dommage
Si Jackson comptait sur l'empathie c'est raté, ce sont bien des tarées meurtrières si cela s'est passé tel quel ...
Créatures Célestes est un film néo-zélandais et allemand, réalisé par Peter Jackson, sorti en 1994. Inspiré d’une histoire vraie datant de 1954. La jeune actrice Kate Winslet est révélée par ce film.
Un bon scénario, une très bonne réalisation, un magnifique graphisme, une belle photo.
L’histoire de deux jeunes filles qui tentent, à leur façon, de se libérer d’un environnement conservateur et contraignant dans la Nouvelle-Zélande puritaine des années 50.
Un très bon film !
Un bon scénario, une très bonne réalisation, un magnifique graphisme, une belle photo.
L’histoire de deux jeunes filles qui tentent, à leur façon, de se libérer d’un environnement conservateur et contraignant dans la Nouvelle-Zélande puritaine des années 50.
Un très bon film !
Créature céleste : Une fable totalement délirante d’un autre monde, assez noir et dramatique car soit ça rie a tout va ou ça pleur jusqu'à en pu finir. Et oui, ce film est assez surprenant et va très loin dans son délire car ça part dans tous les séances grâce a une mise en scène qui suit le ton du film, avec des plans en mouvement, qui se rapproche, avec tous ça quand même de sublime plan bien cadré…. enfin voila, pour un premier de Peter Jackson, un des futurs réalisateur très connu (les seigneurs des anneaux, Hobbit, King Kong...) il commence très fort. Et pour dire, le scénario est complètement fou, la folie de deux filles mais aussi leurs amours improbable a leur époque tel Roméo et Juliette. Car, ce sont deux filles qui vont s’aimée a la folie car elles ont aussi une imagination débordante mais les événements et leur famille vont m’être leur amour en péril et le drame commence. Et ce qui est étonnant, c’est que l’histoire est basé sur des faits authentiques, on nous explique à la fin ce qu’elles sont devenu… Donc voila, scénario et rythme du film assez abracadabrant mais ça vaut le coup d’œil. Et c’est aussi le film qui a révélé Kate Winset (Titanic). Donc voila, une fable qui est a la haute du coté dramatique du film, un film qui envoutera peut être certains.
Heavenly Creatures fait partie des films que j'aurais aimé apprécié. Tout part d'un fait divers qu'a tout pour fasciner. Le début nous mets vite dans le bain, on a l'impression que le film va partir dans tout les sens je ne savais absolument pas a quoi m'attendre. Peter Jackson essaie de nous garder en haleine en nous faisant croire par certains effets de mises en scène que le pire peut surgir à n'importe quel moment.
Sauf qu'au bout d'une heure et demi on se demande surtout quand va finir cette chronique de deux adolescentes qui passent plus de temps à chialer qu'à s'aimer. Je ne sais pas si c'est vraiment parce que j'étais en empathie avec les héroïnes ou si c'est parce qu'il a fallu près de deux heures pour qu'il se passe enfin quelque chose, mais pour elle comme pour moi, spoiler: la mort de là mère
sonnant la fin du film aura été une vraie délivrance.
Dommage.
Sauf qu'au bout d'une heure et demi on se demande surtout quand va finir cette chronique de deux adolescentes qui passent plus de temps à chialer qu'à s'aimer. Je ne sais pas si c'est vraiment parce que j'étais en empathie avec les héroïnes ou si c'est parce qu'il a fallu près de deux heures pour qu'il se passe enfin quelque chose, mais pour elle comme pour moi, spoiler: la mort de là mère
sonnant la fin du film aura été une vraie délivrance.
Dommage.
Premier film de Peter Jackson, j'ai bien dit film, parce que maintenant les enfantillages puérils c'est fini, qui pose les bases d'un univers solide et personnel très fort, malheureusement pas encore aussi parfait que Lovely Bones, qui lui même n'est pas parfait.
Film dérangeant (un des premiers de Peter Jackson, et celui qui révéla Kate Winslet), sans doute parce qu’il interpelle notre propre adaptation à la préférence onirique, quand la folie nous fait préférer les mythes à la sinistre réalité. Inspiré du meurtre réel commis en 1954 par Pauline Parker et Juliet Hulme sur la mère de la première, pour palier à l’interdiction que celle-ci leur imposait à se revoir.
Histoire de deux adolescentes romantiques, rêveuses, amoureuses de la vie et des contes de fées, sans doute adaptées au décalage de leur vie monotone, morale et conformiste qui n’a pas su étouffer leur foi intime, organisées également autour de l’absence parentale, tant physique que par leur gouffre d’incompréhension, et embrasée par une sensibilité naturelle, exaltée et excessive.
On suit l’évolution de leur romance, leurs joies, leur partage, leur imagination de mondes merveilleux, qui s’envolèrent jusqu’au basculement de leurs réalités sociales, jusqu’à la passion, le sexe et la schizophrénie. A tout, elles furent prêtes à tout pour garder leur joie et leur raison de vivre.
Histoire de deux adolescentes romantiques, rêveuses, amoureuses de la vie et des contes de fées, sans doute adaptées au décalage de leur vie monotone, morale et conformiste qui n’a pas su étouffer leur foi intime, organisées également autour de l’absence parentale, tant physique que par leur gouffre d’incompréhension, et embrasée par une sensibilité naturelle, exaltée et excessive.
On suit l’évolution de leur romance, leurs joies, leur partage, leur imagination de mondes merveilleux, qui s’envolèrent jusqu’au basculement de leurs réalités sociales, jusqu’à la passion, le sexe et la schizophrénie. A tout, elles furent prêtes à tout pour garder leur joie et leur raison de vivre.
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