Avis : Batman Forever - Page 10

Nul, nul, nul, nul, et comment dire? Nul a chier! Comment peut on créer à nave aussi pourri! C honteux! Une catastrophe !!!

A l'origine,je n'aime pas les Batman mais la c différant. Jim Carrey y joue un rôle et c surtout pour ca que j'adore ce film.
Jim Carrey est mon acteur préferer.
Ce qui est dommage, c que ce n'est pas Emmanuel Curtil qui double la voix Française de Jim Carrey
Le seul a bien doubler la voix de Jim Carrey c bien sûr Emmanuel Curtil.
Super film quand même 20/20

Certains longs métrages méritent vraiment leur mauvaise réputation et ce "Batman Forever" en fait partie. Comment peut-on passer des deux pépites que furent les films de Tim Burton à ÇA ! En dehors de l'OST, rien ne va dans cette nouvelle aventure du Chevalier noir. Pourtant, sur le papier, il y avait de quoi saliver avec un casting exceptionnel et un bon cinéaste aux commandes. Ce dernier, Joel Schumacher, avait réalisé l'excellent "Chute libre" peu de temps avant.


Mais non, les acteurs en font des tonnes, la mise en scène est médiocre, le visuel (décors, maquillages, Fx,...) cheap à mort et le scénario et les répliques frisent le ridicule. Frisent ? Non, on tombe en plein dans la farce. Adieu l'aspect sombre des films précédents pour une sorte de comédie/action peu inspirée et grand-guignolesque. Je préfère encore la version de 1966 qui, elle, me faisait vraiment rire.


Le pire est qu'ils ont réussi à faire pire (Si c'est possible) avec le suivant, "Batman & Robin". Aïe !

Oui pour ce film là saga à changé de réalisateur, d'acteur et d'ambiance et cela se ressent. Joel Schumacher a voulu s'éloigner du côté sombre de Tim Burton en nous proposant une œuvre plus colorée. Le tout n'est pas aussi désastreu que la légende veut bien le laisser entendre. C'est même un agréable divertissement qui se laisse regarder volontiers. Certes Val Kilmer souffre de la comparaison avec Michael Keaton mais il ne s'en sort pas si mal que ça dans le rôle de la chauve souris. Le duo Tommy Lee Jones/Jim Carrey campe de bons méchants et Chris O'donnell est un Robin crédible. Seul le personnage de Nicole Kidman est sans intérêt.
Bref, un 3eme opus en deçà de ces 2 grands frères mais qui reste sympathique à voir et revoir.

Sorti après les 2 opus de Tim Burton, Batman Forever reste une belle réussite, proposant une nouvelle approche du personnage. Assumant son héritage du comics, le film se veut plus cartoonesque et déluré. Le choix de Jim Carrey, brillant et glaçant dans son rôle d'Ed Nygma, est parfait pour donner de la vie et de la couleur à un Gotham habituellement sombre et poisseux. En revanche, le choix de Val Kilmer en Batman pose question, tant il peine à donner du caractère et du charisme à Bruce Wayne, qu'on n'a jamais vu aussi apathique. Les décors et costumes sont une franche réussite et donne de la crédibilité à l'univers. Le tout mis en valeur par une mise en scène iconisante et inspirée. Un film parfois injustement critiqué, et qui mérite d'être réhabilité dans la saga Batman

Je trouve que ce batman est vraiment sous estimé. L'ambiance est bonne, il n'a pas trop vieilli, les acteurs sont bon. Il y a un peu d'humour du coup, le film ne se prend pas trop au sérieux. Le côté de batman est noir même si c'est pas assez développé. Le tout passe plutôt bien, on ne s'ennuie pas.

Suite à la défection de Tim Burton à la réalisation de ce 3e opus franchisé, les studios se tournent vers ce pauvre diable de Joël Schumacher, qui restera dans les mémoires comme le génial fossoyeur du Chevalier Noir. Pourtant, Batman Forever possède d'innombrables atouts - à commencer par ses qualités artistiques et conceptuelles fondamentales, sans oublier l'orchestration géniale d'Elliot Goldenthal. Pour le reste, on peut comprendre que les grimaces de Jim Carrey fatiguent, comme on peut trouver l'interprétation de Tommy Lee Jones un peu calquée sur celle d'un Jack Nicholson.

Un 3e épisode pas très réussi, très sombre, à la mise en scène un peu bâclée. Le scénario manque de trouvaille, , l'arrivée des deux nouveaux criminels, Double Face et Nygma ne suffit pas à donne du tonus au film. Tout cela est très poussif.Seul Jim Carrey tire son épingle du jeu ,et nous donne un peu de satisfaction, dès qu'il apparait le film reprend du nerf.

Ce qui est pratique, avec les Batman de Joël Schumacher, c'est qu'ils rassemblent tout le monde, petits et grands, connaisseurs comme amateurs, pour dire qu'il s'agit de purges abouties. On est un brin plus conciliant avec le Batman et Robin, ayant connu la VHS dans notre jeunesse (ah les parents, qui subissent en silence le navet sur lequel leur enfant aura jeté son dévolu... Tout notre respect), et dont les blagues Carambar plaisaient à l'époque (et depuis, "VHS poussiéreuse"). Mais ce Batman Forever s'offre, subjectivement, comme le pire du pire : maquillages cartoonesques (trop... Entre Double-face très caricatural et le Sphynx qui nous fait un remake sous ecsta de Gozer le Gozerien, les méchants ressemblent à une kermesse), acteurs en surjeu complet (sympa cinq minutes, corrosif pour les yeux au-delà), costumes trop serrés (on peut aller acheter des slips à l'ensemble du casting, on connaît leur taille maintenant, et ils en ont bien besoin), plans douteux (ce gros plan sur les fesses de Batman lors de l'habillage ?) et Val Kilmer en Batman qui (encore une fois : subjectivement) est le pire de tous. Il en fait un bourrin sans charisme, plus proche du vieux réac' ronchon que du super-héros dont on devrait avoir envie (pour un tour en Batmobile...bien entendu). La musique de Elliot Goldenthal (inconnu au bataillon) sauve les meubles, peut-être le seul élément qui ne nous donne pas des envies de se défenestrer, entre scénario hasardeux (les méchants qui s'associent au petit bonheur juste pour balancer des punchlines épuisantes et faire des rires machiavéliques...), interprétation non moins hasardeuse (cf point précédent, en y ajoutant que Jim Carrey, même ici dans son pire rôle, reste l'unique attrait du film...mais dont l'absence d'Emmanuel Curtil au doublage est un scandale en soi), effets spéciaux laids (les décors de la ville en numérique sont ceux d'un mauvais jeu-vidéo, et quand on voit la Batmobile qui a des ailes sur le toit tellement bien renforcées qu'elles brinquebalent... Cela ressemble au final à la Lapinmobile), envie de se tourner vers le comic qui est trop poussée (cela rend mal à l'écran), et des passages à vide (les scènes au Manoir avec Nicole Kidman en nunuche totale). Batman Forever est ce qu'on peut imaginer de plus gonflé et gonflant dans le domaine du film de super-héros, une bouillie cartoonesque sans aucun bon goût.

Un film navrant, où tout tourne au ridicule et au risible. L'ensemble ressemble à un mauvais dessin animé, avec un chevalier noir à la peine. Seul Jim Carrey s'en sort.

Après avoir connu Batman et Batman Returns de Tim Burton, difficile d'imaginer à quel point on va toucher le fond avec le passage à la réalisation par Joel Schumacher, production Burton. À tel point que ce Batman Forever est carrément tombé dans les nanards du genre, affligent quand on sait que les deux premiers étaient plutôt considérés comme des chef-d'œuvre. Mais c'est un fait, Batman rescusitera 10 ans plus tard sous la houlette d'un certain Nolan. Mais là n'est pas le sujet. On a donc des mauvais choix à peu près partout. Déjà on passe de Keaton à Kilmer et ça fait plutôt grincer des dents. Val Kilmer a ce petit côté méprisant et hautain dans le regard qui fait basculer Bruce Wayne dans le clan des nantis imbuvables... Bonjour tristesse. Les méchants (vilains en anglais) sont ratés de chez ratés. On comprend pourquoi l'ambiance était tendue entre les deux, car Tommy Lee Jones nous la refait à la Nicholson version caricaturale, inutile de rappeler à quel point Harvey Two-Face trouvera toute son ambivalence sous Nolan. Là il est juste inutile ou... inutile. Et pourtant j'adore TLJ, mais ici il fait limite de la peine pour ce très mauvais choix de jeu. Tandis que Jim Carrey, ben il nous la fait à la Jim Carrey des années 90, son personnage n'appartient pas à la fiction Batman mais à son image du moment... Les décors sont affreux. Certains plans rapides en zoom sont dignes des plus mauvais téléfilm... Nicole Kidman minaude et ne sers pas à grand chose. Aïe aïe aïe. L'apparition du mythique Robin est le seul lot de consolation. Même si on dirait bien que c'est lui qui entrainera Batman dans sa chute. Malgré un casting solide, un joli ratage qui ne fera pas date.

Batman, le défi était clairement un chef-d’œuvre mais avait effrayé les enfants. Warner décide donc que l’ambiance des nouvelles aventures du héros devront être moins sombres. Elle choisit logiquement de changer de réalisateur. On passe donc de l’univers gothique de Tim Burton aux décors à couleurs fluorescentes de Joel Schumacher : le changement ne pouvait pas être plus radical !
Dès le premier dialogue spoiler: (Alfred propose à Batman de prendre un sandwich et ce dernier répond qu’il ira au restauroute !!!)
, on comprend qu’il ne faut plus chercher la moindre notion de crédibilité et de réalisme. spoiler: On en est encore plus sûr dès la fin du premier affrontement entre Batman et Double-face où un hélicoptère s’écrase contre une Statue de la Liberté à Gotham city et non à New York (même si la seconde a fortement inspiré la première à sa création par Bob Kane et qu’elle était la ville où exerçait le héros dans les toutes premières bandes dessinées).

De même, il est difficile de savoir si le film est une suite aux deux longs métrages de Burton ou pas. En effet, on peut le penser car la présentation de l’assassinat des parents de Bruce est présentée de façon assez similaire, car les rapports de Batman avec la Police sont dans la continuité de ceux-ci et car on retrouve certains acteurs dans les mêmes rôles (Michael Gough réinterprète Alfred et Pat Hingle le commissaire Gordon) et la présence de Burton à la production.
D’un autre côté, on peut penser qu’il n’en est pas la continuité. En effet, le rôle d’Harvey Dent n’est plus confié à Billy Dee Williams (qui apparaissait furtivement dans le Batman de 1989) mais à Tommy Lee Jones : outre le changement d’acteur, le personnage n’est donc plus noir mais blanc. Et évidemment, le changement d’acteur le plus marquant se fait pour le rôle principal : au revoir Michael Keaton, bonjour Val Kilmer ! Mais si ces changements s’expliquent par des problèmes de production (Jones est plus célèbre que Williams et Keaton était en désaccord avec le ton que voulait donner Schumacher), ce qui interroge surtout est le fait que Bruce dit n’être jamais tombé amoureux avant de rencontrer Chase Meridian (on oublie donc Vicky Vale et les rapports troubles qu’il entretenait avec Selina Kyle, alors qu’une réplique de Chase Meridian fait référence à cette dernière) et qu’il prétende n’avoir encore jamais raconté à quiconque son secret (Vicky Vale le connaissait même si c’est en grande partie grâce à Alfred). De même, il évoque Métropolis alors que l’existence de celle-ci et, par conséquence de Superman, est totalement absente chez Burton. Le ton totalement nouveau aidant, le meilleur moyen est donc de voir Batman forever comme étant assez indépendant des deux précédents et de le juger pour lui-même.
Le premier film de Schumacher sur le Chevalier noir est donc un pur film de divertissement où les personnages ne sont pas spécialement crédibles (les premières scènes de Nicole Kidman face à Batman la présentent comme étant assez ridicule alors qu’elle est tout de même psychologue et Chris O’Donnell est trop vieux pour que l’on puisse croire qu’il ait besoin d’un tuteur !). De même, certaines situations ne tiennent pas véritablement debout spoiler: (pourquoi l’Homme-Mystère empêche-t-il Double-Face de tuer Bruce Wayne et que ce dernier accepte cela alors qu’ils savent qu’il est Batman !!!)
. Mais, comme il mise tout sur le fun, on accepte beaucoup de ces illogismes. En effet, le film reste assez distrayant et les scènes d’action sont plutôt prenantes même si elles ne sont pas toujours très lisibles. De même, si on est parfois atterré quand le personnage de Batman fait des blagues, l’humour n’est pas suffisamment présent (au contraire de Batman & Robin) et arrive encore à peu près à passer quand il provient de Jim Carrey. Cela n’anéantit pas complètement un film qui conserve encore certains rapports entre personnages plutôt réussis notamment entre Bruce et Dick.
Ainsi, Schumacher signe donc un pur film commercial et familial à mille lieux du niveau des œuvres de Burton mais qui reste plutôt divertissant (le personnage ayant connu diverses versions dans les multiples arts l’ayant traité et notamment la bande dessinée, on peut estimer que c’est une vision de lui comme une autre). Hélas, le succès rencontré par Batman forever poussera Schumacher et Warner à se rapprocher encore plus de l’esprit de la série des années 60 et entraînera un Batman & Robin où l’humour ridicule est poussé encore plus loin et qui faillit anéantir définitivement la franchise (avant que celle-ci ne soit ressuscitée avec brio par Christopher Nolan).

Malgré un casting 4 étoiles, ce volet de Batman est une pure daube ! Musique insupportable et décors en pâte à modeler : les 2 font la paires.

Joel Schumacher succède à Tim Burton pour ce troisième opus moins sombre et plus cartoonesque, qui délaisse volontairement l'ambiance gothique pour une atmosphère plus colorée assez kitsch. Résultat, une histoire résolument portée sur l'action, des personnages peu développés, un nouveau Batman (Val Kilmer) pas très convaincant, un Robin (Chris O'Donnell) inutile et mauvais et des méchants beaucoup moins charismatiques. Seul Jim Carrey tire son épingle du jeu avec son interprétation déjanté de l'Homme-mystère.

Univers raté, acteurs raté, histoire ratée, réalisateur raté. Rien ou presque ne sauve cette version du marasme artistique.