Derniers Avis : Une journée en enfer - Page 13

Un Bon divertissement . Avec un Bruce Willis à la hauteur!
Et du bon second degré! De l'action . Encore de l'action !

Film d'action à l'américaine, au scénario invraissemblable, joué par un duo qui s'en sort pas mal. C'est pas du tout intello. Un brin violent, un brin humouristique, un brin ennuyeux si l'on est pas adepte du genre. Comment certains peuvent ils noter ce film "chef d'oeuvre" ? ça c'est un mystère profond pour moi. Au plus c'est distrayant

Die Hard 3 est plus rythmé que les 2 premiers, plus d'action, plus d'humour et un méchant plutôt charismatique, je vais lui mettre la note de 3,5/5.

Culte le meilleur de tous les DIE HARD Simplement il n'y a que lui et le 1er volet qui se doivent d'étre regardé !

Un cran au-dessus du 2 et donc meilleur mais de toute façon je les aime tous ! A voir et à revoir !

La franchise « Die Hard » est incontestablement l'une des meilleures de l'histoire du cinéma et « une journée en enfer » en est peut-être le meilleur épisode. C'est assez difficile à déterminer car ils sont tous très bons et mon avis évolue à chaque fois que j'en regarde un. Pour l'instant, je viens de voir celui-là, c'est donc temporairement le meilleur (lol). Plus sérieusement, le tandem Bruce Willis – Samuel L. Jackson est parfait, la relation ambiguë qui les unit fonctionne très bien, les dialogues sont percutants et très drôles et la réalisation nerveuse ne laisse aucun répit au spectateur. C'est vraiment scotchant ! Les aspects légèrement moins bons, dus à l'âge du film, sont négligeables : la photographie, bien que vieillissante, ne gâche pas l'ensemble et les effets spéciaux sont encore acceptables, même avec les critères d'aujourd'hui. Bref on passe deux heures de franche rigolade devant un vrai bon film d'action. C'est du très haut niveau, j'adore !

Die Hard est une saga mythique du cinéma d’action, et je vais commencer par ce troisième épisode mes critiques. Celui-ci est un pur chef-d’œuvre, Mc Tiernan livrant un monument absolument génial. Tout y est et c’est un pur plaisir. Les acteurs d’abord. Quel duo que ce Willis-Jackson, absolument tonitruant, et qui ne revient pas au classique des années 80 avec le noir forcément comique. Willis dose parfaitement action et humour, Jackson est d’une très grande justesse dans un rôle pas évident (monsieur tout le monde jeté dans un Die Hard, ce n’est pas facile !). Je ne peux passer non plus sur les méchants de service avec un Jeremy Irons magistral (le doublage français est en plus une totale réussite), et des personnages géniaux. Mention spéciale en la matière à Sam Phillips, décapante aux cotés de Irons. Niveau scénario, là encore, c’est une pure merveille. Proposant un terrain de jeu un peu plus vaste que dans les précédent épisodes, ce Die Hard 3 est rythmé comme pas permis, avec des rebondissements à tout va, des moments de bravoures, des poses seconds degrés excellentes, du suspens, des scènes d’actions énormes, bref c’est un divertissement qui passe comme une lettre à la poste. L’ensemble étant maitrisé à la perfection par Mc Tiernan, autant dire que c’est une pépite de ce point de vue. La mise en scène est en effet d’une vivacité et d’une précision rarement atteinte dans ce type de film, se plaçant toujours dans le bon angle, donnant toujours le plan culte, et une scène avec Sam Phillips (encore elle !) est simplement d’une maitrise époustouflante. La photographie est elle aussi au diapason, n’étant pas encore atteinte par cette tendance fâcheuse des films récents de toujours pousser leurs effets de contrastes et de couleurs à outrance (style le Transporteur par exemple, mais pas que). Les décors sont très variés et pour certains très originaux (bien différents aussi des précédents épisodes). Les scènes d’action sont monstrueuses, ultra-variées, et pas d’effets spéciaux numériques tout foireux. Musclées, elles sont pour certaines purement anthologiques. Je ne peux passer sur la musique, élément à part entière de ce film. Pas de gloubi-boulga techno ou rock, mais une bande son magique qui colle parfaitement aux images, et reprend notamment avec génie un classique américain.
Pour conclure, voilà un métrage d’action parfait comme on en voudrait plus. Ultra-rythmé, maitrisé de bout en bout, rien n’est laissé au hasard. Aucune fausse note, Die Hard 3 est une pépite indémodable. Forcément, à coté de tels monuments, il n’y a pas beaucoup de films récents qui sur le même créneau arrive à tenir la distance.

John McTiernan revient aux commandes de Die Hard après son Piège de Cristal, et nous pond un excellent (et son malheureusement dernier bon) film d'action. John MacClane en bave vraiment dans cet opus face à un Simmons (et son fameux "Jacques a dit") plus que charismatique. Les références à Piège de Cristal font plaisir et les effets spéciaux de plus en plus excellents. C'est dans cet opus que l'on a droit pour la première fois à une femme terroriste (idée renouvelée dans les deux opus suivants). Encore une fois le "Yippee-kaï-yay, mothefucker!" est mal traduit en français, dommage ^^. À voir !

Un chef d'oeuvre du cinéma d'action. Exemplaire sous toutes les coutures : scénario, mise en scène, dialogue, jeu d'acteurs... Incontournable. Vraiment.

ce troisième opus est plus interressant et intriguant que les précédants. on a droit a quelques enigmes se qui rend le scenario plus original, l'ensemble est assez recherché et bien mis en scene. cette fois-ci bruce willis a un camarade de jeux se qui pimente l'histoire. toujours avec de bonnes scenes d'actions et touches d'humours. a voir.

Une Journée en Enfer, voici le titre français du 3e volet des aventures de John McClane, intitulé Die Hard with a Vengeance en vo ; celui-ci, tout en marquant le retour à la réalisation de John McTiernan, le créateur de la franchise, fut tout bonnement le plus grand succès de 1995 au box-office mondial. Un autre chiffre laisse pantois, à savoir ses 90 millions de dollars de budget, brillamment illustré dès son introduction, au travers d’une explosion pour le moins impressionnante ; on comprend donc aussitôt que ce Die Hard ci ne va pas faire dans la dentelle, tout en affichant des effets spéciaux ayant résisté aux affres du temps. En guise de préambule, on note qu’Une Journée en Enfer poursuit dans la même veine que le second opus, et ce en terme d’intrigue et de lieu de l’action ; sauf qu’ici, ceux-ci sont encore plus captivant que dans 58 minutes pour vivre, le scénario jouant de très bons rebondissements, tout en baladant notre bon vieux John McClane aux 4 coins de New-York. Le long-métrage est d’ailleurs long, mais on ne peut plus correctement meublé, aussi l’ensemble se veut attrayant, sans ennuie ; de même, on suit un Bruce Willis cette fois-ci en duo, l’emblématique Samuel L. Jackson l’accompagnant dans son dangereux périple. Un regain d’humour savoureux se fait également présent, aussi on ne peut qu’être emballé devant une telle paire d’acteurs, leurs protagonistes menant avec brio ce film d’action au combien satisfaisant. Par ailleurs, on se trouve en présence d’un grand vilain éclipsant sans grande peine son prédécesseur, en la présence d’un maitre chanteur diabolique et inoubliable, le tout campé par un Jérémy Irons parfait ; voilà de quoi nous remémorer le cultissime Hans Gruber d’Alan Rickman en somme ! Aussi, si l’on excepte un final peut-être en deçà du long-métrage, celui-ci affiche dans sa globalité tous les ingrédients faisant au film policier une réussite ; personnages attachants, intrigue travaillée et scènes d’action entrainantes, le tout saupoudré d’un bon humour sont donc bien au rendez-vous. Supérieur à 58 minutes pour vivre, et au moins aussi bon que Piège de Cristal, quoique qu’heureusement différent.

Très bon film d'action, surement beaucoup moins bon que son grand frère "Piège de Cristal", mais ce long-métrage dispose d’excellent atout en terme de mise en scène. Certes, les longueurs ne ce font pas rares, et les passages inutiles non plus, mais le suspense et le jeu d'acteur sauve la mise en sortant avec des scènes d'action très bien rythmés. Juste le final, qui pour moi, est complètement foiré. Sinon, très sympa.

Un bon Die Hard. Alors que le deuxième opus manquait franchement d'idées, celui-ci s'illustre par un scénario efficace et un duo d'acteurs qui passe bien à l'écran.

Du cinéma d'action comme on l'aime. Une journée... est une bombe à tout les égards! On reste scotchés aux tribulations de John McClane de bout en bout.

A New York, une bombe explose. L'auteur du crime, qui se fait appelé Simon, souhaite jouer à un petit jeu. Seulement voilà, il ne veut jouer qu'avec John McClane. Pourquoi ? C'est alors le début d'une course-poursuite explosive à travers la grande pomme... Dans ce "Die Hard 3", tout ce qui faisait la réussite du premier opus et celle plus modérée néanmoins du second est là pour notre plus grand plaisir. John McTiernan revient à la barre et ce n'est pas un hasard si le film est d'emblée supérieur à la précédente aventure de mister McClane. Déjà réal' de "Piège de Cristal", le cinéaste offre avec ce troisième volet le meilleur épisode de la saga. Déjà, fini le huis-clos, le terrain ici, c'est New York. Un vaste centre aéré réservé aux péripéties de McClaine, sous la surveillance d'un salopard comme pas deux. Le génie de la mise en scène de McTiernan ne tient ici pas tant dans l'exécution des scènes d'action que dans la manière dont le découpage des séquences, qui adopte le petit jeu alerte du méchant Simon, donne toute sa saveur au long-métrage. C'est qu'ici, le scénario de cette "Journée en Enfer" est alors sujet à tous les rebondissements possibles et à tout un condensé du meilleur cinéma d'action. Là où le métrage aurait pu être sujet à une compilation caricaturale de toutes les scènes d'action déjà vues sur écran, l'enchaînement permanent et sans temps mort des séquences à suspense et à répercussion atteint ici son apogée. McTiernan pousse à son paroxysme le terme même de l'action. En imposant à McClane et à son partenaire Zeus une succession de fossés dramatiques où l'enjeu trouve une résolution temporaire et nécessaire à la position d'un nouveau fossé placé en amont dans le film, le scénario et le montage de ces séquences trouve ici le terrain d'entente parfait au service d'un spectacle exaltant, drôle, intelligent et parsemé de détails tantôt importants, tantôt allant vers l'imagerie discrète mais ponctué d'une richesse rare. Appuyé par un casting extraordinaire, réunissant Willis, Jackson et Irons, avec en second rôle un très bon Graham Greene, la saga trouve ici sa composition la plus aboutie. Le rythme est maintenu de fort belle manière, si bien que le film ne s'essouffle jamais. Tout est parfaitement bien mené par un McTiernan en grande forme, encore plus que pour le premier volet, libéré de sa tour de cristal pour une partie de Jacques-a-dit explosive. Déchaîné de son canevas de huis-clos, dont les prémices de l'aéroport vaste de "58 Minutes pour Vivre" éclosent sur une ville entière, McTiernan a ici l'occasion de démontrer toute la virtuosité de sa narration et de sa réalisation. Ce qui donnent des scènes d'action à tire-larigot, et particulièrement impressionnantes qui plus est, qui ne se contentent pas de venir de McClane mais aussi des méchants dont les activités sont développées ultérieurement d'ailleurs, ce qui donne un plus d'originalité au métrage. Bref, sans conteste le meilleur film de la série, qui joue encore sur la surenchère mais qui mise aussi tout sur le jouissif, et gagne, inévitablement. Encore aujourd'hui, un sommet du cinéma d'action, si ce n'est le "best action movie ever" de l'histoire.