Mon compte
    Une Femme est une femme
    Note moyenne
    3,5
    663 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Une Femme est une femme ?

    68 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    13 critiques
    3
    15 critiques
    2
    12 critiques
    1
    8 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Marian88
    Marian88

    2 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Film expérimental de Godard qui s'avère catastrophique à regarder. Sur fond de musiques qui ne font que s'entrecouper sans cesse et de messages inaudibles au porte-voix, voilà ce qui était censé révolutionner le film moderne en ces débuts des années 60.
    Résultat à l'écran : un vrai bide risible et un échec retentissant cuisant pour le célèbre réalisateur.
    Heureusement, le film est court. A regarder uniquement par curiosité car ce n'est vraiment pas un "film" ordinaire au sens propre du terme.
    coperhead
    coperhead

    26 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 décembre 2018
    A la fin du film il y a une réplique de Brialy :on ne sait pas si c'est une comédie ou une tragédie mais c'est un chef d’œuvre . Je pense aujourd'hui que c'est loin d'être un chef d’œuvre . Le scénario est minimaliste et Mr Godard ne dirige pas vraiment les acteurs et les laissent parfois improviser ce qui était d'ailleurs l'un des principes de la nouvelle vague (malgré tout le trio d'acteurs ne s'en sort pas trop mal) . Le véritable sujet du film est le statut et l'émancipation de la femme dans la société française de son époque ce qui était déjà un vaste débat. Godard tente de nombreuses choses souvent originales et parfois réussis au niveau de la réalisation. La musique a une place prépondérante mais quand elle est montée en puissance sur les dialogues la compréhension de ceux ci devient difficile et pénible .Le film a quand même bien vieilli ....
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 191 abonnés 5 205 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mai 2018
    Varda se serait-elle inspirée de ce film dans « Cleo ». Cette espèce de déambulation dans Paris?
    Pourtant dans le modèle la poésie laisse place à une froideur et un style télégraphique détestable. Des dialogues à une phrase qui veulent évoquer mais qui ennuient et agacent.
    Bref. Pénible.
    ferdinand75
    ferdinand75

    565 abonnés 3 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2016
    Un bon film de JL Godard, dans une veine très poétique, très créative. Un bon démarrage avec une bande son très soignée , tel cette chanson d’Aznavour qui accompagne Anna Karina déambulant dans les vieux quartiers de Paris, plein de charme et de nostalgie .Suivi d’un très beau duo de danse , style Fred Astaire, entre la même A. Karina et JP Belmondo. Le ton est donné, de la liberté, de la fraicheur et de l’insouciance. Tout le film est rempli de légèreté, et d’allégresse de la jeunesse . Peut-être le film le plus léger de Godard. On retrouve aussi des thèmes sociaux avec Ana Karina qui découvre la contraception , une amie lui a ramené d’ Angleterre un outil pout contrôler ses périodes de fertilité. Anna Karina veut un enfant mais hésite entre deux hommes, Brialy son fiancé ne veut pas engendrer tout de suite, et Belmondo, charmeur et séducteur qui veut bien être son amant ne dirait pas non. Beaucoup d’humour aussi dans ce Godard 1ere période. Marie Dubois (charmante et délicieuse) en militante communiste qui se fait exclure du parti parce ce qu’elle ne se lève pas assez tôt pour aller vendre l ‘ "Humanité Dimanche". Jeanne Moreau , en « guest star » d’une scène, accoudée à un bar , qui se demande où sont Jules et Jim. Belmondo lui même qui indique à Karina qu’il reste à la maison car ce soir on projette à « Bout de souffle ». Beaucoup de clins d’œil, et un humour persifleur. La bande son est formidable et donne la cadence au film. Aznavour à plusieurs reprises, « Tu te laisse aller » avec des gros plans du visage de Karina, comme une mise en perspective de son futur. De très jolis plans aussi, avec une caméra qui tourbillonne et filme le Paris des petits métiers, du quartier des grands Boulevards, avec beaucoup de maestria. Bien sûr le film est un hommage à Anna Karina, tout jeune amour de JLG, qui filme magnifiquement les femmes qu’il aime. Mais c’est aussi un très beau témoignage d’une époque, annonciateur de l’émancipation de mai 68.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    46 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2016
    J'étais en froid avec Godard depuis le visionnage d’À bout de souffle, certainement l'une de mes pires expériences de cinéma. Pourtant, ses films continuaient de me faire de l’œil. J'ai prudemment choisi de voir Une femme est une femme, réputé comme l'un de ses plus accessibles. Et me voila réconcilié avec Jean-Luc ! La musique a une place prépondérante dans ce film, qui aurait apparemment été pensé comme un hommage à la comédie musicale. Cela se ressent dans la diction des acteurs, qui déclament leur texte comme si c'était un refrain. Godard va même jusqu'à insérer de la musique entre deux répliques pour souligner l'effet. En résulte des dialogues complètement artificiels et paradoxalement crédibles. C'est là le véritable tour de force du réalisateur : il joue avec le fait que les images au cinéma sont fabriquées (couleurs vives, acteurs qui brisent le quatrième mur...) et pourtant il parvient à créer des scènes belles et touchantes, comme celle où Anna Karina chante face caméra, a capella. C'est d'ailleurs cette actrice qui emporte le film, elle crève l'écran avec son rôle de femme pétillante. Les scènes où elle se dispute avec son mari sont vraiment délectables puisque leur conflit est réduit à de simples enfantillages. Ce côté "celui qui dit qui l'est" est hilarant, d'autant plus que Godard trouve plein de moyens de se moquer de leur absence de communication (les livres, la brosse à dent). Dommage que les moments où Belmondo et Karina sont ensemble n'aient pas la même folie. Ils sont beaucoup plus posés, à tel point qu'ils freinent le rythme du récit. De plus, ils ne font pas preuve d'autant d'imagination et c'est regrettable. Une femme est une femme est un film absurde qui véhicule beaucoup de bonne humeur. Si l'ensemble n'est pas parfait, il regorge d'idées de mise en scène et de répliques intelligentes. Un régal.
    Louis G.
    Louis G.

    1 abonné 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juin 2015
    Un film très léger, très artificiel bien qu'intelligent mais amusant, bien interprété et contenant de belles séquences originales et très modernes; blindé de références et de répliques assez drôles et pas trop lourdes. C'est un de ses films les plus stylisés, à voir pour ceux qui apprécient ses premiers films.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    146 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2015
    Un Godard assez différent de ce que j'ai pu voir de lui jusqu'à présent. C'est très léger, Une femme est une femme lorgne davantage vers la comédie que ses autres oeuvres avec, en prime, beaucoup de belles idées de cinéma à la pelle. Bon après on échappe pas trop à ce qui ne me plaît pas trop habituellement chez JLG, cette manie de jouer avec le son et de nous assourdir plus qu'autre chose. Mais ce jeu avec le son a quand même son intérêt dans le détournement des codes de la comédie musicale classique avec ces petits musiques brèves qui ponctuent les phrases des personnages quand on ne s'y attend pas. Enfin si il n'y avait que ça... C'est visuellement que Godard fourmille d'idées, j'ai beaucoup aimé ce passage où le couple communique via des mots écrits sur des livres. C'est drôle, ingénieux, beau tout simplement. Et le film entier est à cette image d'ailleurs. C'est moderne, c'est dynamique, j'y ai vraiment pris un grand plaisir. Alors après forcément c'est très artificiel, mais c'est suffisamment envoûtant pour être embarqués dans cet imbroglio amoureux. Les jeux sur les lumières et sur les mots sont à chaque fois plutôt bien faits.. J'ai adoré cette séquence où la caméra balaie l'appartement en écrivant une phrase sur la vie du couple à l'envers.

    J'ai plusieurs fois prononcé le mot "jeu" car le film donne l'impression d'être un jeu permanent fait avec le spectateur. Le quatrième mur est souvent brisé et on peut se surprendre à s'amuser des quelques détails visuels et références que Godard sait insérer au bon moment. Voir Belmondo dire qu'il ne veut pas rater A bout de souffle à la télévision est notamment assez drôle (et pourtant je n'aime pas A bout se souffle). Après les mises en abîme sont assez répétitives et le film contient certaines lourdeurs (dues justement à l'aspect répétitif de certaines séquences). Mais dans l'ensemble ça reste quand même très rafraîchissant. Anna Karina est sublime, comme à son habitude. Son regard est toujours aussi envoûtant. Et à ses côtés, Brialy et Belmondo sont excellents, énergiques. En fin de compte nous obtenons là un bon film qui regorge d'idées et qui présente un portrait de femme avec un poil d'excentricité mais aussi beaucoup de justesse. Sur sa place dans la société, sur son pouvoir sur les hommes, sur ses doutes... C'est vraiment à voir.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2014
    Le couple, l'amour, le désir d'enfant (ou pas)... Une comédie conjugale façon Godard, inspiration début sixties. Une comédie un peu musicale, pas banale, colorée et enlevée, assez légère, parfois vaguement amère. La narration est très libre, tout en rupture de tons, jalonnée des bons mots de Godard, ludiques ou poétiques, pas encore hermétiques ni stratosphériques ("Angela, tu es infâme" - "Non, je suis une femme"). Jalonnée aussi de clins d'oeil littéraires et cinéphiles, de références en veux-tu en voilà. Il y a le charme insolent d'Anna Karina, la muse du cinéaste, qu'il a épousée en 1961, année de sortie du film. Il y a la spontanéité et la désinvolture de Jean-Paul Belmondo, un an après À bout de souffle. Il y a enfin la photo épatante de Raoul Coutard. Bref, c'est du bon Godard : plaisant, amusant, pas chiant.
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    46 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2014
    Film assez énorme il faut le dire, d’une liberté totale. Godard montre vraiment son génie dans ses mots d’esprits et ses répliques juste énormes. Je ne m’attendais pas à ça mais le film m’a beaucoup fait rire. Bien évidemment le film vaut aussi pour Anna Karina, qui est plus que mignonne, je défie quiconque de ne pas être charmé par cette femme lors de la première scène de danse au début du film.
    Le film est d’une inventivité folle, que ce soit dans les raccords, la mise en scène ou les dialogues vraiment excellents. Ça donne lieu à des gags complètement cons, comme celui de l’œuf au plat, difficile de ne pas succomber au charme des acteurs et à la bonne humeur générale. Mais ce qu’il y a de mieux, c’est que Godard arrive à créer de beaux moments de vrai, comme par exemple la scène de la chanson d’Aznavour, où la bonne idée réside dans son utilisation intégrale, et ces gros plans sur le visage de karina, qu’on sent presque prête à fondre en larmes à tout moment. Ça m’a fait quelque peu penser au court-métrage de Bonello Cindy et à sa fin. Le film est juste sur les rapports amoureux, sur les femmes, n’en fait jamais trop et arrive à l’être tout en restant très drôle et ludique. Non décidemment Godard en a dans le pantalon, de la minuscule poignée de films que j’ai vus de lui aucun ne m’a déçu. Ah et la dernière réplique est géniale, digne des meilleures répliques finales de Wilder dans ses grands moments.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2014
    "A la télé, ils passent "A bout de souffle", je ne voudrais pas le louper." signé Jean-Paul Belmondo, Jean-Luc Godard, pour ma part, c'est assez mitigé, si je n'ai pas accroché à des films comme "Made In USA" ou "Alphaville", j'ai été éblouie par les géniaux "A Bout de Souffle" et "Pierrot le fou", ce qui me donne toujours la curiosité de découvrir ses autres œuvres. Assurément "Une Femme est une femme", l'un de ses premiers films fait partie des meilleurs que j'ai pu voir. On retrouve ce style si unique et inventif qui le caractérise pour pas mal de ses films et notamment à ses débuts. Intelligent, original, ironique, jazzy, théâtrale... un brillant exercice de style, à travers l'histoire d'une femme qui veut un enfant assez vite et si ce n'est pas son fiancé qui lui donne, ce sera son ami qui est amoureux d'elle. Sa mise en scène est originale et brillante, comprenant beaucoup de bonnes idées et de trouvailles. Anna Karina est géniale, et remporta notamment le prix de la meilleure actrice au festival de Berlin. Les autres interprétations sont tout aussi excellente et notamment un charismatique Belmondo. Godard sublime Paris, une capitale qui vit et qui vibre. Visionnaire et brillant.
    Truman.
    Truman.

    233 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2014
    Je me surprend à apprécier un film de Jean Luc Godard ( lire son nom comme dans le film "Le Mépris" me fera toujours autant rire ), car après trois tentatives allant de l’infâme bouillie pédante, pseudo philosophie de la vie et de l'amour, infâme étalage de sa culture cinématographie et film juste correct je pensais que je n'allais jamais apprécier un de ses films .
    Mais non je ne m’arrête pas a trois et je continue d'explorer sa filmographie .

    Avant de dire du bien de ce film je dois tout de même dire ses défauts, des défauts habituels au cinéma de Godard, le premier truc qui m'a véritablement saoulé et charmé a la fois, c'est sa réalisation .
    Comment expliquer cette réalisation ? C'est pas tant la réalisation qui m'a saoulé mais la musique, souvent mal placée, le son est a fond et on entend plus les dialogues, parfois répétitif, parfois de trop .
    La musique prend trop de place et vient gâcher de magnifiques dialogues, des dialogues fins, légers, subtils, drôles et décalés .

    "On ne sait pas si c'est une comédie ou une tragédie mais c'est un chef d'oeuvre"

    Puis les acteurs donnent cette touche de charme dans leur enfantillages, un trio qui fonctionne parfaitement, Anna Karina, Jean Paul Belmondo et Jean-Claude Brialy tout ceci donne lieu a des scènes magnifiques ( l'engueulade dans l'appartement, le coup des livres etc ...) . On se crache au visage avec amour et on s'engueule avec joie, un esprit bon enfant règne dans cette comédie .

    Bien évidemment on retrouve ce coté "j'me la pète mais avec classe" chez Godard, on glisse subtilement le titre d'un de ses films dans un dialogue pour faire de la pub .
    Enfin bon ce Godard se démarque mieux de ses autres films, drôle, bien écrit et original .

    "Tu es infâme !" - "Non je suis une femme "
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    60 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 janvier 2014
    Je parlais de lui récemment, et bien voilà qu’il montre son nez. Il y a des cinéastes qui peuvent tout permettre, ils savent que leur public est restreint et que la critique est versatile. Sauf que moi, je lui donne toujours le bénéfice du doute, sinon je me serais arrêté à A bout de souffle, et j’attends une autre étincelle. J’attends. C’est quoi son but, présentement ? Si c’est briser la linéarité de la narration, c’est réussit il n’y a aucune narration, seulement un jeu de chaise musicale entre les acteurs. Si il veut expérimenter, c’est réussit, on n’y comprend rien, c’est le flou artistique complet. Si il veut briser l’espace diégétique, il sait qu’il n’y arrivera jamais. C’est quoi son but ? Ce genre de jeu d’équilibriste intellectuel ne résiste pas au temps. Et je trouve que le prix d’interprétation, qu’on voit écrit en plein milieu de la jaquette, on aurait aussi bien pu l’attribuer à Belmondo, ou Brialy, ils sont encore meilleurs dans le jeu minimaliste et les situations absurdes. Je filme la belle Anna en robe rouge, puis bleu. Les deux faire-valoir passent à tour de rôle faire une apparition, la belle fait la pose, et ce n’est pas les habituels gimmicks qui vont donne un semblant de «cachet artistique » au film. Pourtant il met le paquet, Jean-Luc : acteurs qui parlent au spectateur, faux raccords, accélérés, musique montée sur les dialogues, prises de son « naturelle », donc de qualité médiocre, etc. C’est la maîtrise du bordel. Il y a un ou deux plans qui vous arrachent un sourire amusé, c’est peu, très peu. Il me pose le même problème que Malick, Godard. Il a tendance à faire et refaire la même chose, tout le temps, sous prétexte que c’est intelligent. Là, c’est très ennuyeux.
    Prad12
    Prad12

    95 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Heureusement que la vague s'est échouée depuis longtemps sur la plage...........
    Nul, prétentieux, pédant, jubilatoire de bêtise...........
    Incroyablement faux. Tout est faux, les dialogues, les situations, la vie..........
    Estonius
    Estonius

    3 490 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 novembre 2013
    On ne sait que penser tant ce film contient des moments très sympathiques et d'autres carrément exaspérants. Le scénario est bidon, le traitement de la bande son est mauvais, certaines répliques sont consternantes, mais il faut bien avouer que les acteurs sont amusants, voire même attachants… et puis Godard sait filmer. A noter les apparitions furtives de Marie Dubois et de Jeanne Moreau ainsi que des plans de deux cinémas du quartier de la Porte Saint-Denis aujourd'hui disparus : Le Neptuna et le Strasbourg.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mars 2014
    Parmi les premières œuvres de Godard, ce film n’est probablement pas le plus ‘important’. Cela dit, la mise en scène est très agréable à observer (avec des jeux de lumière intéressants et une opposition bleu/rouge des personnages qui caractérise ces derniers et embellie chaque plan).

    Les personnages sont aussi mordants que ceux de Pierrot le Fou ou d’A Bout de Souffle, et le réalisateur expose avec drôlerie (ou égocentrisme) la singularité des films de la Nouvelle Vague (avec par exemple Belmondo qui évoque le film dans lequel il a précédemment joué : « Il y a A bout de Souffle à la télé, je voudrais pas le louper! »)
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top