AlloCiné
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Votre avis sur (500) jours ensemble ?
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Un film poétique et touchant qui offre un ensemble très agréable à regarder bien que plutôt triste. On en sort pas complètement indemne, le scénario posant les questions justes sur l'amour.
C'est vraiment un très bon film qui nous transporte du début à la fin dans un tourbillon de légèreté et de gravité, avec de belles mises en scène, une très bonne BO et bien sûr de très bon acteurs.
C'est vraiment un très bon film qui nous transporte du début à la fin dans un tourbillon de légèreté et de gravité, avec de belles mises en scène, une très bonne BO et bien sûr de très bon acteurs.
Super!!!!! J'adore ce genre de film. Je suis une grande fan de Joseph Gordon-Levitt qui est magnifique dans ce film ainsi que Zooey Deschanel. L'histoire est juste très bien ficelée du début à la fin. Encore envie de le voir.
Très bonne surprise, un film touchant est très bien réalisé ! Dommage que la deuxième moitié du film soit plus molle...
Une comédie romantique douce-amère qui nous offre un véritable yo-yo émotionnel.
D'une image à l'autre, Marc Webb parvient à nous faire passer de la joie à la tristesse, de l'amour à la peine, de l'espoir au désespoir.
Cette histoire d'amour, racontée avec une intelligence rare, est filmée de façon très pudique (et ludique) et laisse étaler tout le talent des deux acteurs principaux.
En 1h30, le réalisateur balaie toutes les interrogations à propos de l'amour, des couples et invite ainsi le spectateur à se forger sa propre réflexion.
Pour accompagner tout cela, nous avons droit à des dialogues savoureux, à une photographie sublime, à une narration minutieuse basée sur la chronologie (flashbacks, sauts dans le temps, moments présents, écran partagé entre désir/réalité) et à un scénario très malin sur la vie à deux.
500 jours ensemble enchaine les bonnes trouvailles et reste à chaque instant dans le ton juste.
Le film a donc le mérite d'être largement supérieur aux comédies romantiques qui sortent sur nos écrans chaque semaine.
Rien que pour ça, il mérite qu'on s'y attarde.
Et puis, on en ressort avec un sourire aux lèvres et des yeux qui pétillent...
D'une image à l'autre, Marc Webb parvient à nous faire passer de la joie à la tristesse, de l'amour à la peine, de l'espoir au désespoir.
Cette histoire d'amour, racontée avec une intelligence rare, est filmée de façon très pudique (et ludique) et laisse étaler tout le talent des deux acteurs principaux.
En 1h30, le réalisateur balaie toutes les interrogations à propos de l'amour, des couples et invite ainsi le spectateur à se forger sa propre réflexion.
Pour accompagner tout cela, nous avons droit à des dialogues savoureux, à une photographie sublime, à une narration minutieuse basée sur la chronologie (flashbacks, sauts dans le temps, moments présents, écran partagé entre désir/réalité) et à un scénario très malin sur la vie à deux.
500 jours ensemble enchaine les bonnes trouvailles et reste à chaque instant dans le ton juste.
Le film a donc le mérite d'être largement supérieur aux comédies romantiques qui sortent sur nos écrans chaque semaine.
Rien que pour ça, il mérite qu'on s'y attarde.
Et puis, on en ressort avec un sourire aux lèvres et des yeux qui pétillent...
Une histoire d'amour romantique pas du tout comme les autres.
C'est vraiment agréable à regarder,le tandem gorden levitt- zooey deschanel fonctionne a merveilles et pas encore connus mais mérite de les voir plus tard,le scénario est sympa et nous pose des questions sur le court de la vie et le destin de rencontrer les bonnes personnes (filles),un très bon film pour se vider la tète à regarder sans recul !!!!
C'est vraiment agréable à regarder,le tandem gorden levitt- zooey deschanel fonctionne a merveilles et pas encore connus mais mérite de les voir plus tard,le scénario est sympa et nous pose des questions sur le court de la vie et le destin de rencontrer les bonnes personnes (filles),un très bon film pour se vider la tète à regarder sans recul !!!!
maxime ...
Jolie surprise ! Un scénario inventif, gai et mélancolique pour cette petite rom com des plus charmante. Le récit non linéaire oscille entre différents contrastes et subterfuges pour une originalité détonante et très agréable. Le casting est très sympa, c'est d'ailleurs avec ce film que j'ai découvert Joseph Gordon-Levitt dont j'ai par la suite poussé ma recherche pour tomber sur des perles tel que Looper ou bien Mysterious Skin. Sa complice Zooey Deschanel est aussi dans le tempo, sacrée tempérament et jolie performance, sa me donne envie de voir New Girl la série dans laquelle elle a le rôle titre. Geoffrey Arend, Matthew Gray Gubbler et la toute jeune Chloë Grace Moretz complètent la distribution avec beaucoup d'humour et augmentent encore d'un cran le cursus sympathie du film. Autre satisfaction ici, la bande originale ! Pour le coup encore un " motif " pour sourire, The Smiths, Regina Specktor, Simon and Garfunkel ( clin d'oeil au Lauréat ) ... Zooey Deschanel et Joseph Gordon-Levitt poussent eux aussi la chansonnette lors d'un karaoké fantastique qui m'a rappelé celui de Bill Murray et de Scarlett Johansson dans Lost in Translation. Une fin un peu pompeuse mais plutôt bien géré, un happy end bienvenue ...
En voilà un magnifique ! Du début à la fin on ne n'ennuie pas, tout passe trop vite et on a envie de le revoir plusieurs fois. Bien évidemment, 500 jours ensemble n'est pas un chef d'oeuvre cinématographique mais c'est un film auquel on accroche sans problème : l'histoire est belle et les acteurs sont plus qu'attachants, une belle réussite, très loin de tous les clichés américains imaginables.
Séduite par les notes du public, j'ai choisi ce film avec beaucoup d'enthousiasme, m'attendant à une comédie romantique pas comme les autres. Résultat plutôt décevant. Je me suis ennuyé devant ce film sans saveur, et sans émotion ...
Une belle histoire, ce qui frappe c'est que les 2 acteurs sont evidemment pas compatibles mais pourtant on y croit ! Ils jouent bien et st charmants tout au long du film
Enfin une comédie romantique originale, qui sort des codes des films du genre. Sûrement l'une des meilleures, voire la meilleure, qu'il m'ait été donné de voir. En effet, celle-ci se distingue par une mise en scène à la fois simple et raffinée, avec des scènes qui se succèdent sans ordre chronologique et des effets graphiques parfaitement adaptés au contexte. On apprécié également une bande son aussi appréciable que variée. Mais surtout, 500 Jours Ensemble se démarque de par son histoire qui n'est pas tracée dès le début, comme la plupart des long-métrages de ce style, en évitant au maximum les clichés. Le long métrage de Marc Webb est donc original sur le fond et sur la forme. Et puis évidemment, le film doit son charme en grande partie grâce à son duo d'acteurs formidables : l'excellent Joseph Gordon-Levitt et la rafraîchissante Zooey Deschanel. Tous les deux livrent de superbes prestations, on ressent vraiment l'alchimie du duo. Ils ne faut cependant pas s'attendre à de grands moments de rire, même si le film offre quelques passages prêtant à sourire. Mais ce n'est clairement pas l'objectif de 500 jours ensemble. Derrière sa façade mélancolique, le film veut avant tout délivrer un message d'espoir et livre sa vision du grand amour. Et c'est principalement sur ce point que ce récit est unique dans le paysage des comédies romantiques, genre plus que stéréotypé. 500 jours ensemble propose simplement de vivre une romance à travers ses hauts et ses bas, une romance ordinaire et réaliste, riche en émotions. Rien que pour cela, cette petite prouesse de Marc Webb vaut le détour.
Rarement un film a aussi bien fait la différence entre l'homme et la femme du vingtième siècle.
Au détour d'un petit film pour pré-trentenaire, on prend en pleine gueule des raisonnements et des analyses pour débat psychologique, non que ça vole haut, juste que la vérité est tellement simple, évidente et visible si l'on ne se laisse pas emporter par les sentiments et la société que l'on peut réussir sa vie d'un claquement de doigts.
Le procédé « forward and rewind » peut paraître systématique et lassant, on y apprend néanmoins la relativité et la dé-construction d'une catastrophe est plus simple à suivre qu'avec un récit linéaire, par simple jeu de contraste et par la prise de conscience que donne la connaissance de la fin. D'ailleurs, si on savait comment ça finit, on ne ferait rien qui ne se passe pas bien.
C'est un peu le but de ce film et sa démonstration, pour ne pas perdre de temps, il suffit de ne pas se réfugier derrière l'amour et son aveuglement et d'analyser les choses, d'être attentif aux autres et à soi, sans oublier d'approfondir ses ressentiments à chaque moment.
Je ne m'attendais pas à une telle hauteur dans une bluette branchouille, preuve que cet acteur sait choisir ses films (enfin, on oublie « Gi Joe », qu'il a sûrement fait pour payer ses impôts). Zooey est égale à elle même, le prototype de la pouffiasse insipide qui perdra tout charme à l'âge adulte quand ses traits déjà forts auront perdu la tension de la jeunesse. Et comme dans « Phénomènes », elle est parfaitement choisie pour ce rôle.
Au détour d'un petit film pour pré-trentenaire, on prend en pleine gueule des raisonnements et des analyses pour débat psychologique, non que ça vole haut, juste que la vérité est tellement simple, évidente et visible si l'on ne se laisse pas emporter par les sentiments et la société que l'on peut réussir sa vie d'un claquement de doigts.
Le procédé « forward and rewind » peut paraître systématique et lassant, on y apprend néanmoins la relativité et la dé-construction d'une catastrophe est plus simple à suivre qu'avec un récit linéaire, par simple jeu de contraste et par la prise de conscience que donne la connaissance de la fin. D'ailleurs, si on savait comment ça finit, on ne ferait rien qui ne se passe pas bien.
C'est un peu le but de ce film et sa démonstration, pour ne pas perdre de temps, il suffit de ne pas se réfugier derrière l'amour et son aveuglement et d'analyser les choses, d'être attentif aux autres et à soi, sans oublier d'approfondir ses ressentiments à chaque moment.
Je ne m'attendais pas à une telle hauteur dans une bluette branchouille, preuve que cet acteur sait choisir ses films (enfin, on oublie « Gi Joe », qu'il a sûrement fait pour payer ses impôts). Zooey est égale à elle même, le prototype de la pouffiasse insipide qui perdra tout charme à l'âge adulte quand ses traits déjà forts auront perdu la tension de la jeunesse. Et comme dans « Phénomènes », elle est parfaitement choisie pour ce rôle.
C'est mignon, c'est poétique, c'est langoureux, c'est rempli d'humour en apesanteur qui plait aux bobos, ça pue la joie de vivre à plein nez, quand ce n'est pas la mélancolie émouvante à en faire chialer la fille d'un soldat, c'est bien beau tout ça mais maintenant il faut que je retourne m'enrhumer dans les courants d'air des couloirs gris de la ligne 13, tout seul, avec mon iPod et mon couteau. Saleté de film.
Un peu l'archétype de la comédie américaine indé romantico-dépressive estampillée Sundance et réalisée par un ancien clippeur qui a gardé quelques habitudes (bonnes ou mauvaises). Rien de bien novateur, donc, même sur le fond, car on finit quand même sur une morale extrêmement originale que je ne spoilerai pas. Indéniablement, "(500) jours ensemble" a cependant un certain charme, notamment grâce à son duo d'acteurs formé de Joseph Gordon-Lewitt et Zooey Deschanel, tous les deux frais et charmants. Se regarde agréablement, même si on a vu bien mieux dans le même genre.
Original et qui se distingue du tout venant amércain par une finesse de l'écriture associée à la simplicité de la mise en scène. C'est globalement triste et mélancolique mais aussi parsemé de scènes plutôt jouissives (le karaoké, la visite chez Ikéa ou la danse dans la rue). Les deux acteurs principaux sont parfaits. Les seconds rôles aussi. Indiscutablement intéressant mais trop mélancolique.
Ce qu'il y a de plus beau, dans (500) Days of Summer, c'est sa vraisemblance. L'histoire, emmenée par les charmants comédiens que sont Zooey Deschanel et Joseph Gordon-Levitt, est racontée avec intelligence. L'attachement amoureux dans sa complicité et l'effondrement de la relation, métaphorisés par les saisons, sont révélés avec originalité et finesse grâce à la narration non chronologique. Cela ne fige jamais l'action et ôte la mièvre illusion du moment présent. C'est inattendu, et empêche le film de tomber dans de la comédie romantique gentillette. Les déferlantes de joie et de tristesse nous rappellent les moments vécus de la rencontre à la séparation amoureuse, et les sensations qui l'accompagnent. La scène de la soirée, superposant réalité et imaginaire de Tom, en est la plus marquante. Et même si "ce n'est pas une histoire d'amour", (500) Days of Summer en demeure quand même une, dans nos cœurs.
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