AlloCiné
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Votre avis sur (500) jours ensemble ?
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Pour UNE fois, un film qui n'est pas un film d'amour mais qui parle d'amour, tout en montrant les limites de la passion amoureuse et les défauts à la fois de la personne qui est l'objet de ces passions et le passionné lui même! Les deux acteurs y sont fabuleux, surtout Zooey Deschanel dans le rôle de la "fille sans coeur indécise", qui arrive à ne pas tomber dans la caricature et qui rend le personnage à la fois attachant et mystérieux. JGL ne tombe pas dans la mièvrerie et parvient à laisser transparaître les défauts de son personnage et l'idéalisation dont il fait preuve. Le choix par le réalisateur d'une construction assez déstructurée de l'histoire ajoute un aspect intéressant, on fait beaucoup plus attention à la chronologie des évènements et cela met en valeur la naissance (ou l'extinction) des sentiments. A voir et même revoir!
J'ai passé un bon moment mais je n'en garderais pas plus en souvenirs mise à par la jeune Chloe qui joue la petite soeur qui donne très bien les conseils!! le film n'est pas super, sauf la BO qui n'est pas trop mal!!
Un petit croquis de nos déboires sentimentaux, assez cliché, assez léger,...
Mais, pour ma part, touchant.
Par ailleurs, la bande-son est plutôt cool! Notamment le bookends de Simon&Garfunkel, en référence au film "Le lauréat". (Donc un film à ajouter sur la liste des choses à voir.)
Mais, pour ma part, touchant.
Par ailleurs, la bande-son est plutôt cool! Notamment le bookends de Simon&Garfunkel, en référence au film "Le lauréat". (Donc un film à ajouter sur la liste des choses à voir.)
Une histoire d’amour qui n’en est pas vraiment une (les 2 héros ne finissent pas ensemble, ce qu'on sait dès le début), portée par un joli duo d’acteurs avec l’excellent Joseph Gordon-Levitt en amoureux bercé de romantisme et la belle Zooey Deschanel en rêveuse allergique de l’engagement. La relation atypique entretenue par ces 2 personnages et le montage particulier du réalisateur Marc Webb (chronologie déstructurée, découpage au rythme du nombre de jours passés ensemble…) agrémenté d’une formidable BO très pop (dont l’inattendu "Quelqu’un m’a dit" de Carla Bruni) donne au film son cachet si particulier. Autre bon point les épatants 2nds rôles qui sortent des sentiers battus avec l’hallucinante Chloe Moretz (pas encore révélé par "Kick-Ass") en petite sœur spécialisée dans le conseil mature et Matthew Gray Gubler et Geoffrey Arend en amis. Mais au final, et malgré un pitch original, "(500) jours ensemble" se révèle être un film trop bavard, destiné de façon un peu trop exclusive à un public féminin et qui manque le statut de film générationnel auquel il aurait pu légitimement prétendre. Le seul fait que les 2 héros ne finissent pas ensemble ne suffit pas à empêcher le film d’enchaîner les discours trop souvent rabâchés au cinéma à base de "les films romantiques nous ont trompé sur l’amour", "les relations sérieuses empêchent d’être libres", etc… Et j’avoue que j’espérais que le réalisateur prendrait davantage ses distances sur ce point avec ce genre de productions. Ce qui n’empêche pas le film d’être un sympathique divertissement dont j’attendais cependant plus…
Requiemovies
Tout comme Sean Ellis (Cashback), Marc Webb donne une importance esthétique à la narration de son film. Moins façonné « pub » tout de même ça démarche sert la narration du métrage. Jeune réalisateur de cette génération venant des clips et/ou de la pub, le film est cependant porté par un scénario plus fort que celui d’Ellis. Ambition personnelle de réveiller une culture pop années 80 (bande son du film), soutenue par une narration et une mise en scène originale et marquée. L’originalité de (500) Days of Summer (importance du titre en version originale) vient autant de sa narration, sujet maint fois traité mais rarement sous cet angle, que de la mise en scène, parfois osée (une séquence décalée n’emportera pas forcément l’adhésion de tous, ici nous « validons »). C’est principalement dans la construction de son récit que le film marque. Par un jeu des allers et retours temporels, Webb, sans nous perdre, à défaut de nous faire comprendre ou d’analyser, réussit à mettre en relief les aff
500 jours ensemble est un film d'amour et de romantisme où la fin n'est pas toujours heureuse. C'est l'histoire de la rencontre entre deux personnes, l'une désinvolte en quête à priori d'une histoire belle mais fugace, et l'autre romantique invétéré qui idéalise le grand amour. On voit ainsi dans un enchevêtrement de souvenir, la romance naissante, la lassitude et le déclin dans des aller retour temporels à la fois beau et triste. Que se passe t'il si l'un des 2 amoureux trouve en l'autre son âme sœur mais que cela n'est pas réciproque ? Loin des poncifs du genre maintes fois vues au cinéma, ce film nous montre une version plus réaliste de la vie et on tombe nous même amoureux de ces personnages.
T-Tiff
"(500) jours ensemble" est une comédie romantique de Marc Webb. Pas facile de se démarquer dans un genre vu et revu, où des films sortent chaque année en pagaille sans jamais vraiment marquer le spectateur. Le réalisateur parvient lui à mettre de l'originalité dans son œuvre avec une intrigue multipliant les allers-retours dans le temps, une mise en scène assez inventive, une bande-son parfaitement bien choisie, une histoire qui n'est pas à l'eau de rose et un duo d'acteur qui fonctionne très bien. "(500) jours ensemble" sans complètement révolutionner le genre ni être absolument mémorable, est un film réussi, amusant et touchant à la fois.
"(500) jours ensemble" est probablement ma comédie romantique préférée. Réalisé par un Marc Webb qui n'avait pas encore touché le cinéma populaire du doigt, ce projet est l'antithèse parfaite de la romance classique. La base du film est pourtant très simple, la thématique centrale étant la façon dont l'amour est instrumentalisé dans notre société moderne. Via toutes les formes de communication possibles, l'amour nous est présenté comme une chose extrêmement banale et très ancrée dans des clichés. Mais face à cela, le film nous propose une romance qui va utiliser un type de relation bien plus en accord avec notre façon de voir les choses actuellement. Via une relation sans attache et de jeunesse, le film nous confronte à notre rapport à cette émotion et dans la manière d'aborder cela. Très inspirant, le long-métrage est également très efficace dans son scénario, qui réussit à apporter beaucoup de moments extrêmement bien sentis et plaisants. Cela passe principalement par le casting, avec un Joseph Gordon-Levitt en grande forme, mais aussi par un montage parfaitement découpé. Marc Webb a eu énormément d'idées pour réussir à créer un ensemble rythmé et qui permet de mettre en lumière le réel et l'image préconçue de l'amour. Que ce soit par une réutilisation d'images que nous avons vues avant, mais avec une vision et une perspective différente. Ou bien par une utilisation du split-screen, dans l'optique de séparer une séquence en deux, avec la réalité d'un côté et les attentes de l'autre. Tout est parfaitement organisé, dans un ensemble qui ne semble jamais convenu ou classique. Cette histoire d'amour réussit à transmettre quelque chose que l'on ne voit pas souvent et à dégager un sentiment de positivité, malgré cette désillusion de la réalité.
spoiler:
La toute dernière séquence est totalement dans cet esprit-là, avec la rencontre entre Tom et Autumn. On comprend qu'une évolution a été nécessaire, qu'elle est intervenue et que la vie promet désormais de meilleures choses à notre personnage principal. Une conclusion qui sera peut-être un peu trop optimiste pour certains, mais qui conclut habillement le film selon moi.
Et pour moi, ce film est un réel chef-d'œuvre. C'est un long-métrage qui a parfaitement réussi à comprendre son concept de base, pour en faire quelque chose d'encore plus fort et intéressant. Pour conclure, merci Marc Webb.
Et pour moi, ce film est un réel chef-d'œuvre. C'est un long-métrage qui a parfaitement réussi à comprendre son concept de base, pour en faire quelque chose d'encore plus fort et intéressant. Pour conclure, merci Marc Webb.
ffred
Sur le fond rien de bien nouveau au niveau comédie romantique. Sauf peut être le fait que pour une fois c'est le mec qui rame pour une fille qui ne veut pas s'engager et pas le contraire. Sur la forme par contre c'est plutôt agréable. Le récit est chronologiquement déstructuré et avec le comptage des jours cela peut être vite agaçant mais on s'y fait bien. Le couple Joseph Gordon-Levitt (Mysterious skin, The lookout) et Zooey Deschanel (Phénomènes, Yes man) fonctionne très bien. Ils sont bien beaux et bons tous les deux. En bref un petit film frais et léger, drôle (n'arrivez pas en retard le pre-générique donne le ton !), balançant mine de rien quelques vérités sur le couple et l'amour, dont on sort avec le sourire (même si on a droit à Carla Bruni !). Un joli premier film. Pas la comédie de l'année mais on passe un bon moment. C'est mieux que rien...
Une comédie vraiment agréable servie par un couple d'interprètes très attachant. L'histoire est tendre, drôle, parfois dure (pour le héros surtout). Mais surtout, cela sonne très juste, touchant sans être larmoyant. La BO est excellente et la réalisation originale, même si la narration qui fait le caractère moderne de ce film peut aussi être sa faiblesse.
De prime abord, (500) jours ensemble est très charmant. Les deux acteurs principaux, Joseph Gordon-Levitt et Zooey Deschanel potes à la ville, sont charmants eux aussi. Il y a une belle BO et le réalisateur nous décrit de manière non-linéaire les petits détails du quotidien d'un couple que l'on a tendance à oublier quand on est en couple justement : on crie pénis dans un parc, on essaie des meubles chez Ikéa, on va au cinéma puis au restaurant ensuite. Non, il n'y a pas à dire, c'est mignon. Et puis la vie, qui est loin d'être une comédie romantique où tout se finit bien et où les gens se marient à la fin, les rattrape au galop. Les rôles sont même inversés. Lui croit à l'amour avec un grand A, à l'engagement, à la fidélité. Elle, beaucoup plus froide, est contre les relations à long terme et préfère suivre ses envies. Cette vérité assénée par Summer et qui éclate en pleine face de Tom à la fin du film est évidemment très cruelle et le malaise envahit même le spectateur. En tout cas m'a envahi moi.
spoiler:
En clair, il n'était pas le bon à ce moment-là car c'est comme ça.
La fin, ouverte à défaut d'un happy-end récurrent dans ce type de films, laisse croire que la vie est un éternel recommencement. Bonne chance à lui.
La fin, ouverte à défaut d'un happy-end récurrent dans ce type de films, laisse croire que la vie est un éternel recommencement. Bonne chance à lui.
D'emblée, on pourrait s'attendre, comme tout film romantique américain, à une guimauve hollywoodienne. Et la couleur se montre bien différente dès la note du réalisateur (affichée avant le début du film). Dès lors, on sait que l'on assiste à une comédie romantique fantaisiste. Oui, c'est bien le mot qui convient ! On n'échappe pas aux inévitables moments tristes, mais (500) jours ensemble esquive tous les clichés du genre, grâce à sa construction en "puzzle" (on passe de la journée 350 à la 1 puis on revient à la 180 puis à la 3...) étonnamment cohérente (servant à des comparaisons sur la situation du couple) et qui donne un côté comique bienvenu, son scénario (rien ne se passe comme on pourrait le deviner dans un autre film du genre). Et que dire des acteurs, en tout cas le couple vedette (Joseph Gordon-Levitt- Zooey Deschanel), à part qu'ils sont naturels, décontractés et talentueux? Non, franchement, (500) jours ensemble est une bien belle petite surprise qui se regarde avec délice.
Sans être un navet absolu, ce film est sans relief. Quelques beaux cadrages certes, mais trop de niaiserie. Le personnage principal n'inspire que peu d'empathie. Il est plus ridicule qu'autre chose à vrai dire. Quelque chose ne colle pas dans ce film. Il y a une espèce de tentative d'inversion des rôles. C'est l'homme qui est à fond dans la recherche d'engagement et c'est la femme qui ne veut "pas de relation sérieuse"...
spoiler:
Mais se marie dans la foulée avec un autre.
Tout cela décrit surement une réalité. Mais à part le "tout est possible", çà ne nous raconte pas grand chose. A la fin, l'impression restera la dimension somme toute anecdotique du film.
Tout cela décrit surement une réalité. Mais à part le "tout est possible", çà ne nous raconte pas grand chose. A la fin, l'impression restera la dimension somme toute anecdotique du film.
Frais et joyeux. Un excellent petit film avec une excellente idée : ne pas se focaliser sur l'intrigue connue depuis la nuit des temps, (être et ne plus être amoureux !), mais s'intéresser aux mécanismes de ce phénomène et la raison de cette situation. Destin ? Pas destin ?. L'idée, originale de sauter aléatoirement (?) d'un jour à l'autre vaut à elle seule le déplacement en salle. Les acteurs sont très bien choisis et touchants.
Cinememories
Marc Webb prend à revers les codes romantiques et lance ainsi sa carrière de réalisateur sous les projecteurs du grand public. Il nous sert d’entrée de jeu le fin mot d’une relation qui aura pris des risques sans que cela aboutisse à un dénouement heureux. Quoique la vérité est bien plus sombre et complexe que cela. On explore la définition de l’amour d’aujourd’hui, à la fois tendre et brutale. Le concept nous rapproche alors de la psychologie de personnages, aveugles dans leur démarche. On ne peut pas tout avoir, mais tant que l’on parvient à produire et à préserver un sentiment sincère, on aura réussi à combler toutes les fissures d’une relation.
Tom Hansen (Joseph Gordon-Levitt) est un doux rêveur. Il travaille comme rédacteur de carte de vœux. De ce fait, le métier le conditionne à voir grand et à espérer que les mots vaincront tous les obstacles. Mais cloisonné dans son utopie, rempli de fantasmes et d’idéaux, sa foi va se heurter à sa parfaite némésis. Le coup de foudre, ce n’est pas aussi facile pour Summer Finn (Zooey Deschanel) de se prononcer dessus. Elle illustre pourtant tout le côté attractif qu’un homme aimant convoiterait, réciproquement pour cette femme qui a beau ne pas se prendre la tête, elle s’engage dans des histoires très « aléatoires ». De chaque côté, on campe dans un univers trop radical, ce qui ne pimente pas l’expérience de leur rencontre. Et quand vient le rapprochement qui les fait lentement fondre, dans le but de s’ouvrir l’un à l’autre, on y découvre un espoir.
Pour la majorité, on se laissera séduire par l’optimisme de Tom, contrairement à l’égoïsme que fait preuve Summer. Tout le monde aura beau s’identifie à un moment ou un autre, personne n’aura raison, dû à un manque de flexibilité, caractéristique d’un amour condamné à rester éphémère. Si le choix le laisse le mystère sur les intentions de Summer sont louables, c’est parce qu’on l’adore pour sa personnalité qui brise les clichés. Indépendante et libérée, elle porte en elle tout le message d’une révolution. On y dépose, au passage, un hommage à la comédie musicale, apportant le tonus à cette relation qui finit par se déchirer sur un coup de tête. On a appris à les aimer, cependant le temps rattrape la routine. On en finit par avoir le cœur déchiré. Et pourquoi donc ? Toute la lecture repose sur la confusion et l’incompréhension des sentiments que le duo se partagent.
Il sera très difficile d’encaisser la réalité qui piétine le fantasme et l’espoir d’un amour, à la fois possible mais impossible. Il s’agit d’une histoire de compromis et « (500) jours ensemble » nous le montre clairement. Malgré l’approche, la mise en avance des différences et des points communs, il reste le dernier facteur capital qui supplante tous les autres, la projection. Profiter de l’instant présent n’est une solution à court terme avant que le reste de notre vie nous éveille et nous rappelle à l’ordre. Une fois conscient de tout ce que le mélodrame peut apporter ou amputer, il n’y a plus d’une option à prendre en considération. Une rupture n’est pas ici pour créer un effet de surprise. On entretient la relation avec beaucoup d’humour, mais également avec un recul, semblable aux vécus de Summer. Ce qu’on en retient, c’est une déchirante complicité qui s’extrapole à une grande amitié, sans qui ces deux âmes perdues n’auraient jamais ouvert les yeux à la vie.
Tom Hansen (Joseph Gordon-Levitt) est un doux rêveur. Il travaille comme rédacteur de carte de vœux. De ce fait, le métier le conditionne à voir grand et à espérer que les mots vaincront tous les obstacles. Mais cloisonné dans son utopie, rempli de fantasmes et d’idéaux, sa foi va se heurter à sa parfaite némésis. Le coup de foudre, ce n’est pas aussi facile pour Summer Finn (Zooey Deschanel) de se prononcer dessus. Elle illustre pourtant tout le côté attractif qu’un homme aimant convoiterait, réciproquement pour cette femme qui a beau ne pas se prendre la tête, elle s’engage dans des histoires très « aléatoires ». De chaque côté, on campe dans un univers trop radical, ce qui ne pimente pas l’expérience de leur rencontre. Et quand vient le rapprochement qui les fait lentement fondre, dans le but de s’ouvrir l’un à l’autre, on y découvre un espoir.
Pour la majorité, on se laissera séduire par l’optimisme de Tom, contrairement à l’égoïsme que fait preuve Summer. Tout le monde aura beau s’identifie à un moment ou un autre, personne n’aura raison, dû à un manque de flexibilité, caractéristique d’un amour condamné à rester éphémère. Si le choix le laisse le mystère sur les intentions de Summer sont louables, c’est parce qu’on l’adore pour sa personnalité qui brise les clichés. Indépendante et libérée, elle porte en elle tout le message d’une révolution. On y dépose, au passage, un hommage à la comédie musicale, apportant le tonus à cette relation qui finit par se déchirer sur un coup de tête. On a appris à les aimer, cependant le temps rattrape la routine. On en finit par avoir le cœur déchiré. Et pourquoi donc ? Toute la lecture repose sur la confusion et l’incompréhension des sentiments que le duo se partagent.
Il sera très difficile d’encaisser la réalité qui piétine le fantasme et l’espoir d’un amour, à la fois possible mais impossible. Il s’agit d’une histoire de compromis et « (500) jours ensemble » nous le montre clairement. Malgré l’approche, la mise en avance des différences et des points communs, il reste le dernier facteur capital qui supplante tous les autres, la projection. Profiter de l’instant présent n’est une solution à court terme avant que le reste de notre vie nous éveille et nous rappelle à l’ordre. Une fois conscient de tout ce que le mélodrame peut apporter ou amputer, il n’y a plus d’une option à prendre en considération. Une rupture n’est pas ici pour créer un effet de surprise. On entretient la relation avec beaucoup d’humour, mais également avec un recul, semblable aux vécus de Summer. Ce qu’on en retient, c’est une déchirante complicité qui s’extrapole à une grande amitié, sans qui ces deux âmes perdues n’auraient jamais ouvert les yeux à la vie.
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