L'Orphelinat
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anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 7 décembre 2018
Plongez vous dans un univers glauque et malsain. Cet univers s'appelle le
" Guillermo del ToroLand " Après un film inconphréensible et nul
" Le Labyrinthe de Pan " les réalisateurs espagnols ce sont dient :
- Et si on faisait un film sur des ésprit .
Et la bonne idée ce répend et ce film fait partie du top 100 des films d'horreur
les plus connues au monde. Est-ce que c'est mérité ? Je ne pense pas .
Les acteurs sont mauvais ( surtout la médium ) c'est long et c'est plat.
Voilà la bonne formule pour faire un navet du 21ème siècle direz vous.
Et bien non. Parce que la réalisation de ce film est glauque et réussie à te
faire bien aimer le film sur quelques points. Donc pour moi les 3 points de ce
3/10 ce résument à : Le sac sur la tête du gosse et la réalisation espagnol qui
me plait bien pour une fois. Ce film est une bonne éxperience mais il a
beucoup de défauts. 3/10
Min S
Min S

62 abonnés 472 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 18 novembre 2018
Un film vraiment sans surprise, hyper rétro, d’un ennuie impressionnant.
Le fantastique n’est pas mon cinéma de prédilection mais ce film l’ai trouvé vraiment sans intérêt :(
marmottefurieuse
marmottefurieuse

10 abonnés 506 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 9 novembre 2018
Un très bon film dramatique et fantastique espagnol (avec de très bons acteurs et des scènes angoissantes) qui rappelle quelque peu "L'échine du Diable" ou encore "Les Autres". A ne pas manquer.
Attigus R. Rosh
Attigus R. Rosh

216 abonnés 2 555 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 8 septembre 2018
L'Orphelinat est un film d'horreur qui reprend des formules assez classiques mais réussit à être très bon dans ce registre.
Le film utilise tous les ingrédients du films d'horreur : la paranoïa grandissante de l'héroïne, l'enfant au comportement bizarre, l'exorciste, les enfants morts étrangement il y a longtemps, la maison hanté, les masques flippants … Malgré ce classicisme, il faut admettre que le film m'a fait peur. La tension est omniprésente, il n'y a pas un seul instant de relâchement.
C'est une totale surprise de voir Geraldine Chaplin dans ce genre de production. Belén Rueda est très convaincante.
La fin est excellente, elle sauve le film. Elle conclut avec succès le parallèle avec le mythe de Peter Pan (comme la thématique des enfants perdus).
La composition musicale est plutôt pas mal.
Le film n'a pas forcément une histoire intéressante mais la fin sauve le tout.
Alain D.
Alain D.

627 abonnés 3 335 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 5 août 2018
Cette réalisation de Juan Antonio Bayona nous délivre un film ou le Fantastique prime largement sur l'Épouvante. Ce cinéaste espagnol nous offre un film esthétique, avec de bons effets visuels, et une photographie de qualité. Au moins dans la première partie du film, sa mise en scène dynamique exclue tous temps mort. On reconnait bien la présence du producteur exécutif Guillermo del Toro.
Le scénario fantastique de Sergio G. Sánchez fait montre d'une grande ingéniosité ; il nous conte une histoire dramatique au suspense intense.
A l'affiche, Belén Rueda est vraiment phénoménale dans l'interprétation du rôle principal de Laura, la mère du petit Simon.
Avec " Quelques minutes après minuit", " L'Orphelinat" est une autre très belle réalisation de Juan Antonio Bayona.
Barry.L
Barry.L

35 abonnés 136 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 juin 2018
''L'ophelinat'' serait-il un Peter Pan vu à travers le regard de l'adulte qui a perdu son âme d'enfant ? Ce sera une des questions abordées dans cette critique. Premier film réalisé par l'espagnol Juan Antonio Bayona, ''L'orphelinat'' est aussi produit par le mexicain Guillermo Del Toro. Sortie en 2008, il reste l'un des plus grands succès espagnols de tous les temps. Il fut remarqué à Cannes (standing ovation absence de prix, ce qui certifie la qualité du film!), reçu 7 Goyas d'or et le Grand Prix du festival fantastique de Gerardmer. Compte tenu des films primés à ce festival, on peut légitimement s'attendre à un grand crû. Et c'est tout-à-fait le cas : ''L'orphelinat'' est un premier film totalement accompli.

Laura (Belen Rueda) a grandi dans un orphelinat. Adulte, elle retourne vivre avec son mari Carlos (Fernando Cayo) et son fils adopté Simon (Roger Princep) dans cet orphelinat, désormais abandonné. Sur place, Simon se fait plein de copains ''imaginaires'', dont Thomas, un garçon dont le visage est caché par un inquiétant masque. Un jour Simon disparaît. Dans cette maison en proie aux fantômes du passé, Laura va tout tenter pour retrouver son fils.

Comme ''Les Autres'' (Alejandro Amenàbar, 2001) auquel s'inspire Bayona et son scénariste Sergio G. Sanchez, ''L'orphelinat'' va jouer sur plusieurs terrains. En effet, le film n'est rien de moins qu'un film fantastico-épouvanto-dramatique (oui). Bayona et Sanchez doivent faire preuve de subtilité en jonglant habilement avec les trois genres cinématographiques qu'ils invoquent. Du fantastique, Bayona prend cette fameuse ambiguité qui nourrit ce genre de films : les phénomènes paranormaux, les fantômes... tout cela est-il le fruit de l'imagination (et de la folie) de Laura ou est-ce que tout cela est réel ? Bayona reprend ce doute (il le dit lui-même) du cinéma de Polansky et plus précisément de sa trilogie des appartements maléfiques : ''Répulsion'' (1965), ''Rosemary's Baby'' (1967) et ''Le Locataire'' (1976). Un personnage dans un endroit reclu va peu à peu basculer dans la folie en voyant (ou croyant voir?) des fantômes. Mais au fantastique, on préfère la manière qu'à Bayona à renouveler le film d'épouvante. A l'heure où tout est permis dans le cinéma d'horreur, Bayona choisit (grand bien lui a pris) de jouer la carte de la suggestion. Dans ''L'ophelinat'', pas de gore, pas d'effets spéciaux. Bayona décide de créer une peur intimiste sans pour autant que celle-ci soit invisible. Il y a en tout et pour tout un seul jump scare dans le film. C'est uniquement via l'atmosphère que la peur se manifeste. N'hésitant pas, à la manière d'un James Wan (période ''Insidious'') et au contraire d'un Jacques Tourneur (période ''La Féline'') à faire durer les plans plutôt que d'avoir recours directement au montage (on pense aux deux scènes d'1, 2, 3, soleil, filmés en plan séquence). Bien sûr, la peur naît aussi du fait qu'elle concerne le monde de l'enfance : voir (ou plutôt entendre) la scène où rien n'apparaît à l'écran, seul nous parvient les hurlements d'enfants. Mais le fantastique et l'épouvante, aussi réussis soient-ils sont là pour servir le drame.

Car ''L'orphelinat'' n'est pas aussi terrifiant, il est aussi très émouvant. Il y a bien entendu comme moteur émotionnel le chagrin de cette femme face à la disparition de son fils (lequel doit pour survivre prendre régulièrement ses médicaments). Mais c'est davantage le rapport qu'entretiennent les adultes avec l'imaginaire et le monde de l'enfance qui bouleverse. On peut tirer du film deux morales. La première est explicite, et prononcé par Géraldine Chaplin ; ''il faut croire pour voir et non voir pour croire''. Les parents ne peuvent entrer dans le monde imaginaire que s'est confectionné Simon pas parce qu'ils ne le voient pas, mais parce qu'ils n'y croient pas. L'imaginaire peut exister, il suffit d'y croire. Cette morale, néfaste pris par exemple au sens religieux (cette phrase peut justifier de manière naive l'existence de Dieu) est dans un contexte féerique parfaitement logique. Dans le film, l'enfant est l'être capable d'accéder au monde parallèle via son imaginaire. Faculté ou don que l'enfant peut perdre en grandissant : d'où l'expression ''perdre son âme d'enfant''. Le film retrace la façon qu'adoptera Laura pour retrouver son âme d'enfant, dans le but d'accéder au monde où se dissimule son fils. C'est alors qu'on arrive à la deuxième morale du film : il faut toujours écouter les enfants. Et comprendre et jouer leur rôle car il serait regrettable que l'enfant reste prisonnier de son monde à jamais. spoiler: A la fin, déchirante, Laura parvient trop tardivement à découvrir le monde de Simon, lequel est mort dans la chambre de Thomas (enfermé accidentellement par sa mère). Ça y est, le drame atteint le paroxysme au moment où Laura se suicide. Pourtant, on l'a vu dans le film : d'autres mondes sont possibles. Et malgré cette fin tragique, il semble que la mort des enfants, puis de Simon et enfin de Laura débouche sur un monde merveilleux où jouer est la seule occupation : Laura dans la mort, accompli son rêve qui était de s'occuper de plusieurs enfants. Il y a ce plan, d'une charge émotionnelle inouie où on voit Laura entouré de tous ces enfants, lesquels ne voulaient qu'une nouvelle maman.


Les critiques ont tendance à rapprocher ''L'ophelinat'' de ''Les Autres'', de ''Suspiria'' d'Argento et même des œuvres du producteur Guillermo Del Toro. Et comme on l'a vu, Bayona dit s'inspirer de Polansky. Pourtant, il semble qu'une influence plus lointaine existe. Une influence plus qu'évidente et qui tombe sous le sens : c'est celle d'Otto Preminger. Et plus précisément de sa ''Bunny Lake a disparu'' (1965). dès le générique, l'inspiration est évidente : des mains déchirent un papier peint, sous lequel se cache le nom des auteurs du film. Le générique de ''L'orphelinat'' n'ajoute que la couleur au superbe générique de Saul Bass (qui il est vrai devait aussi beaucoup à la musique de Paul Glass). Et puis bien sûr, il y a le sujet qui est très proche : un enfant disparaît, sa mère semble basculer dans la folie. Le monde enfantin se trouve au centre de ''Bunny Lake a disparu'' et de ''L'orphelinat''. Un monde en proie à une grande noirceur, mais aussi à une innocence pleine d'espoir. Ultime référence à Preminger, est-ce un hasard si dans un film sur une disparition, l'héroïne se nomme Laura ?

L'enfance est indubitablement un vivier du cinéma d'épouvante. Cela se confirme en regardant quels sont les films couronnés à Gérardmer en 2003, 2008 et 2009 : ''Dark Water'' (Hideo Nakata, 2003), ''Morse'' (Tomas Alfredson, 2008) et enfin ''L'orphelinat''. Trois films où les enfants sont guettés par une terrible menace : la solitude. 3 chef-d'oeuvre où les enfants parviennent à trouver leur salut en se trouvant une mère (''Dark Water'' et ''L'orpheliant'') ou une protectrice (''Morse'').
Black Hole
Black Hole

2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 1 juin 2018
Dans un genre vu et revu, le réalisateur arrive à tirer son épingle du jeu. Ne comptez pas enchaîner les frissons, on se laisse plutôt prendre par une atmosphère pesante et poétique, à l'image d'une fin parfaitement réussie.
The Claw
The Claw

68 abonnés 727 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 mai 2018
Un très bon film d'épouvante, un peu dans la lignée de "Les Autres" d'un autre espagnol : Alejandro Amenabar. Même s'il n'arrive pas à la hauteur de "Les Autres", ce film est tout de même très intéressant et réussi, et réserve son petit lot de scènes flippantes. J'ai bien aimé aussi cette ambivalence entre frissons et tristesse, car le film, en plus d'être un film d'épouvante, est aussi l'histoire d'un drame. L'histoire se présente d'ailleurs comme un jeu de piste : en effet, au début du film, l'enfant qui joue avec ses amis "imaginaires" dit à sa mère que le jeu consiste à lui prendre quelque chose qui lui est cher, et qu'ensuite, par associations d'idées et un habile jeu de pistes, il doit être amené à récupérer son bien si précieux. Alors quand l'enfant disparait, la mère comprend que l'enfant est son bien précieux à elle, et que ça va être à son tour de se lancer dans ce jeu de pistes pour retrouver son fils. A voir.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 21 mars 2018
Un film d’horreur espagnol bouleversant et passionnant avec un scénario bien écrit et un très bon casting.
Pauline D.
Pauline D.

1 abonné 1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 février 2018
Juste magnifique, très belle histoire. Un film qui m’a fait pleuré et fait stressé. C’est l’un de mes films préférés.
Greg A.
Greg A.

49 abonnés 455 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 7 septembre 2018
Un très bon film , bien soignée , une histoire qui vire plutôt du coté fantastique/paranormal mais avec une ambiance pesante et assez sombre , un scénario costaud avec un dénouement inattendu et surprenant ! A voir 16/20
Fabien S.
Fabien S.

591 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 6 novembre 2017
Un excellent film d'épouvante espagnol. De bonnes frayeurs, de bons effets spéciaux. Un orphelinat bien flippant.
mx13
mx13

254 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 17 mars 2018
Bons retournements de situation histoire assez incompréhensible notamment pour un film d'horreur faut s'accrocher. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 23 septembre 2017
J'ai adorer ! C'est un film très émouvant et très prenant, je l'ai découvert au lycée pendant un cours d'espagnole, et je n'en suis toujours pas déçue !
philogoo ..
philogoo ..

1 abonné 24 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 juin 2017
Bien que ce soit loin d'être un film d'horreur, ce film est particulièrement bouleversant. Hormis la vieille dame qui est rendue un peu comique lorsqu'elle spoiler: s'enfuit à travers bois avec sa pelle
, l’enchaînement nous fait d'abord peur, puis à la fin, une fois que les pièces du puzzle ont été rassemblées, on se rend compte à quel point ce film est en fait dramatique et triste !
Un bémol, spoiler: le passage des exorcistes ne sert totalement à rien, nous n'apprenons rien de plus sur l'histoire des enfants tués ou de la disparition de Simo
n.

Et pour ceux qui n'ont pas compris la fin (car oui il y en a ...): spoiler: On voit la mère prendre ses cachets en grande quantité et tente de ne pas les vomir. Elle tient son médaillon qui se casse car ... elle meurt. Elle se suicide pour rejoindre Simon et elle retrouve alors ses camarades d'orphelinat et même Thomas qui n'a plus sa cagoule. Encore plus triste quand on pense au père qui l'attend quelque part, mais on se console avec l'imagine de fin, une porte qui s'ouvre et un grand sourire sur son visage, sûrement en voyant sa femme et son fils car comme la femme l'a dit "vous devez croire pour voir".
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