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(...) c'est un très beau geste de cinéma qui s'accomplit ainsi devant nous, dans un temps qui lui aussi semblait formaté en grands pans, et qui se creuse, se fendille, s'entrebâille de micro-échappées belles.
(...) un film plastiquement très sombre, à la beauté et aux gestes hiératiques, qui semble payer ses dettes tant à Bresson qu'à Kafka. Quelque chose comme une joie abstraite finit donc par en sortir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) un film dont l'âpreté emprunte beaucoup aux décors d'une Chine minérale et Agée. Et dont l'émotion, pourtant bannie de ces destins, est révélée par une mise en scène en écho à la tonalité de cette histoire, c'est-à-dire tout en pudeur et violence intériorisée.
Viscéralement antonionien, Train de nuit déroule son intrigue en rendant palpable le désespoir poisseux, le désenchantement nu, comme une gueule de bois sans cesse renouvelée(...) Il en ramène de beaux fragments mélancoliques qui touchent intimement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
De Train de nuit on retiendra davantage son aspect formel que le fond (...) (...) Diao Yi Nan surprend par ses choix de mise en scène et la maîtrise affichée (...)
(...) un portrait de femme élaboré avec distance et retenue, dans l'expression des sentiments comme dans la traduction de la noirceur de l'environnement général.
(...) un bijou mélancolique (...) étourdissante claque visuelle, Train de Nuit confirme que le nouveau cinéma chinois possède une redoutable capacité à pointer du doigt les mutations scandaleuses de la société chinoise avec un style sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce drame, à l'enjeu passionnant, établit avec sensibilité un portrait de femme pleine de frustrations. Mais les lenteurs finissent par plomber l'intérêt.
20 Minutes
Le film souligne les tares de la société chinoise en brossant sobrement les portraits de deux laissés pour-compte.
Cahiers du Cinéma
(...) c'est un très beau geste de cinéma qui s'accomplit ainsi devant nous, dans un temps qui lui aussi semblait formaté en grands pans, et qui se creuse, se fendille, s'entrebâille de micro-échappées belles.
Le Monde
(...) un film plastiquement très sombre, à la beauté et aux gestes hiératiques, qui semble payer ses dettes tant à Bresson qu'à Kafka. Quelque chose comme une joie abstraite finit donc par en sortir.
Les Inrockuptibles
Sur fond réaliste de quartiers populaires et de dancings glauques, un film chinois hivernal et mélancolique.
Positif
Le film procéde d'un naturalisme distant où les incidents dramatiques arrivent sans avoir l'air d'être préparés.
TéléCinéObs
(...) un film dont l'âpreté emprunte beaucoup aux décors d'une Chine minérale et Agée. Et dont l'émotion, pourtant bannie de ces destins, est révélée par une mise en scène en écho à la tonalité de cette histoire, c'est-à-dire tout en pudeur et violence intériorisée.
aVoir-aLire.com
Viscéralement antonionien, Train de nuit déroule son intrigue en rendant palpable le désespoir poisseux, le désenchantement nu, comme une gueule de bois sans cesse renouvelée(...) Il en ramène de beaux fragments mélancoliques qui touchent intimement.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La Croix
Un film sombre, centré sur la solitude d'êtres tentant de surnager dans une société déshumanisée.
MCinéma.com
De Train de nuit on retiendra davantage son aspect formel que le fond (...) (...) Diao Yi Nan surprend par ses choix de mise en scène et la maîtrise affichée (...)
Ouest France
(...) un portrait de femme élaboré avec distance et retenue, dans l'expression des sentiments comme dans la traduction de la noirceur de l'environnement général.
Première
(...) un bijou mélancolique (...) étourdissante claque visuelle, Train de Nuit confirme que le nouveau cinéma chinois possède une redoutable capacité à pointer du doigt les mutations scandaleuses de la société chinoise avec un style sidérant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Etrange film, un rien trop ostentatoire pour subjuguer totalement, mais suffisamment original pour séduire...
Brazil
Deux choses ressortent de "Train de Nuit" : une beauté formelle indéniable et un vide scénaristique bien dommage.
Le Journal du Dimanche
Ce drame, à l'enjeu passionnant, établit avec sensibilité un portrait de femme pleine de frustrations. Mais les lenteurs finissent par plomber l'intérêt.