je sort à peine du ciné et là chapeau. J'ai adoré; Un mélange d'humour et d'émotions,un jeu d'acteurs et d'actrices parfait, un scénario qui tient la route et qui nous ressemble dans nos vies de tous les jours. Bravo
LE BAL DES ACTEURS. La chef d'orchestre Daniele Thompson invite à sa table une belle brochette de comédiens. Les répliques fusent sans embûche et mention spécial à Marina Fois et Karin Viard.
Lorsqu'on a adoré le dernier film d'un réalisateur ou d'une réalisatrice, on attend le suivant avec un mélange d'impatience et d'inquiétude : sera-t-il aussi bon ? ou décevant ? Ici, s'agissant du "code a changé", qui fait suite à "Fauteuils d'orchestre", il y avait d'autant plus d'inquiétude que l'on avait trouvé "Décalage horaire", le précédent du précédent, à un niveau très, très, très bas ! Verdict : "Le code a changé" est un très bon film, pas tout à fait aussi excitant que "Fauteuils d'orchestre", mais très réussi quand même. Dans cette double histoire de 21 juin, jour de la fête de la musique (de nouveau la musique, comme dans "Fauteuils d'orchestre" !), dans cette histoire de famille, dans ces histoires de couples, ces histoires d'amis qui s'aiment et se détestent, il n'y a, en fait, que 2 bémols : Dany Boon n'est pas du tout à l'aise dans un rôle qui n'est pas fait pour lui et Karin Viard est ... Karin Viard, ie l'actrice française la plus encensée par la critique, et, à mon humble avis, une des plus mauvaises. Sinon, Patrick Bruel est excellent, Emmanuel Seignier remarquable (pourquoi est-ce sa soeur Mathilde que l'on voit tout le temps sur les écrans ?) et le reste de la distribution tout à fait convaincant. Le tout donne un cocktail très bien mis en scène et très souvent émouvant.
je suis allé au cinéma voir se film en espérant passer un bon moment et bien j me suis ennuyé grave!!!!!!!!malgré la bonne distribution de se film!! DECEVANT!!!!!!!!!!
La bande-annonce fait rêver, le casting est puissant mais rien n'y fait, c'est mauvais, chiant et franchement inutile à regarder. Une grosse déception.
Les personnages révèlent au fur et à mesure leurs faiblesses et l’idée des deux repas à un an d’intervalle est vraiment intéressante car la situation change. Je ne retrouve pas la profondeur d’un « fauteuils d’orchestre » avec une Dupontel magnifique mais des dialogues parfois comiques qui essaient de sortir de la tristesse de certaines vies touchantes ou qui s’efforcent de rechercher le bonheur.
Le code à changé, le code de la porte de l'immeuble. C'est à nouveau un film totalement parisien. Les pauvres petits, la fête de la musique les dérangent car les routes sont bloquées. Les fêtes populaires dérangent. Ce groupe de bobos, ils se retrouvent tous pour diner et raconter leurs histoires, boire l'apéro et boire du vin rouge. Après comme il faut un peu de piment les couples changent de mains. On est au cinéma quand même, il ne faudrait pas que les spectateurs s'endorment.
Le tourbillon des relations amoureuses, amicales et familiales est parfaitement restitué autour d'un dîner au plat polonais que chacun saluera en cachant qu'il ne l'a pas apprécié tant que ça. Mais comment dire la vérité à un homme chômeur qui a passé la journée à préparer le plat de sa grand-mère ? Comment une femme talentueuse sort-elle du carcan de seize ans de vie de famille modèle construite auprès d'un avocat aussi efficace que cynique ? Comment une fille renoue-t-elle le dialogue avec son père après plusieurs années de rupture ? Les mensonges, les cachoteries, les non-dits, les faux semblants, rythment cette comédie bien servie par des acteurs en pleine forme.
Une belle brochette d'acteurs pour un film sans histoire. Et une histoire sans fin. Le film est censé se déroulait un 21 juin, or la Tour Eiffel est en bleu alors qu'elle n'a été de cette couleur que du 1er juillet au 31 décembre. Tout est résumé en quelques mots.
Un casting impressionnant, et heureusement qu'ils sont là car ils font bien le boulot (à l'exception sans doute de Christopher Thompson et Laurent Stocker) Lediner d'amis est donc une promesse, en principe ce genre de situation fonctionne bien, mais force est de constater que la promesse n'est pas tenue, tout cela reste superficiel, au mieux ce n'est que du fleuret moucheté, sans rythme, sans surprise, Ça tourne en rond, n'est pas très intéressant et à la fin on se sait plus trop qui baise qui (mais on s'en tape) On sauvera la prestation époustouflante de l'extravagante Blanca Li et le twist dansé par Arditi et Chesnay, sinon bof !