Derniers Avis : Splice - Page 28

Euuh....euuuuh.... non mais, ils ont vraiment fait ça ?.... euh..... Bon, le film est bien. Dans le genre "je m'attends à voir le streum s'échapper et tenter de buter tout le monde mais c'est pas du tout ce qui se passe", on a été très très loin.
Le pire, c'est que les réactions des personnages sont presque crédibles, ainsi que celles de la créature. C'est juste que ça va....euh.....très très loin. Je ne saurais dire si c'est une qualité ou un défaut mais, le film est surprenant et bien mené.
Bon scénario, bonne mise en scène. On garde le spectateur attentif. Non vraiment, c'est bien. C'est juste que .... euuh......

Avant d'aller voir le film on se dit "wah l'affiche est sympa", en regardant le film on se dit "Mais qu'est ce que je fiche ici" et en sortant on se dit "j'ai perdu 5€ !". Jpense qu'un groupe de geek a dû se réunir un jour et a écrit le scénario de Splice pour déconner. Le scénario est pauvre à en pleurer et prévisible au possible. On se demande si le film est fantastique, il tourne en film d'horreur caricaturé dans les scènes de fins. Le fond de modification génétique n'apporte rien de nouveau si ce n'est une "crédibilité" à l'existence de la créature Dren.

Une réussite qui renoue avec une certaine science-fiction que l'on ne voit plus tellement. L'ombre de David Cronenberg, de ses films ("La Mouche", "Faux-Semblant", "eXistenZ") n'est jamais bien loin de cette histoire. Le scénario traîte d'un sujet passionnant, avec des moments audacieux (quasi-inceste, infanticide...), et une créature très réussie.
Seule la mise en scène fait défaut, et manque d'ampleur pour égaler l'intensité de l'histoire et la mettre davantage en valeur. Un excellent film.

Une vision intéressante, de la rencontre entre l'humain et ses premières créations génétiques.

J'étais parti de bonne humeur, me disant que j'allais voir Sarah Polley et Adrien Brody dans un film qui traite d'une sujet en vogue : la génétique et l'éthique avec un soupçon de sf.

Dans la salle, bam ! une belle claque (du genre qui fait mal) ! Non, ce n'est pas ce qu'on m'a vendu. Ça tourne vite au énième drame psychologique et pour pimenter le tout, on y ajoute du dérangeant avec une allégorie de l'inceste et du contre nature... Cela faisait trop fouillis, quand un réalisateur sait que ça n'a pas de sens et qu'il faut rajouter quelque chose pour que le spectateur reste jusqu'au bout...

Grosse déception si ce n'était la réussite technique de la créature.

Un sujet qui mériterait une meilleur mise en scène et un scénario post réaliste Ave des dialogues plus conséquents ( j'entend par là de véritables paroles et non des bruits d'animaux!!). Une fin trop américaine qui pourrait être une fin mais qui laisse présager une suite (seulement si la recette est bonne).

Un vrai film erotique de science fiction pourtant listoire aurait pu etre genial mais la fin est tellement glok kon est vite decu grosse dob

Début prometteur mais la deuxième partie du film est moins intéressante et la fin carrément décevante: aucune subtilité. Malgré tout, j'ai trouvé que l'idée était bonne (créature est plutôt bien réussie) et certaines scènes sont vraiment flippantes.

Ah ! ma demi-étoile est pour le superbe générique de début ! Sinon, c'et carrément n'importe quoi !

bof...un peu repoussant dans le fond comme dans la forme...

Catastrophique...... rien d'innovant que du deja vu!!
à eviter pour ne pas perdre son temps!!

Très intéressante
première 1/2h mais ensuite le film glisse vers un grand n'importe quoi qui nous rappelle alors que c'est du fantastique..

Film tres mal construit et également très ennuyeux.

Très glauque, malsain mais on reste jusqu'au bout pour savoir ce qui va se passer.

Bouzi Bouzouf aime « Splice » de Vincenzo Natali, notamment parce que le film propose, à un moment, un superbe accouplement hybride comme Bouzi les adore, à l'instar du fantastique « Possession » de Zulawski où Babou Adjani se faisait culbuter par un extraterrestre gluant (mais au beau regard vert) et d'un épisode de la série « Masters of horror », réalisé par Dario Argento, où un mec se tapait une créature mi-femme mi-louve-garou (dans un autre épisode de cette série, une paysanne partouzait tous les soirs avec des mort-vivants). Dans « Splice », la copulation anormale réunit le longiligne Adrien Brody à une... euh... une FGM (fille génétiquement modifiée) à qui il pousse parfois des ailes (au sens propre) et qui possède une queue (Bouzi parle bien de l'appendice flexible qui prolonge la colonne vertébrale des animaux, là, et pas d'autre chose ; cette fille bizarroïde n'est pas un shemale non plus). Cette scène d'amour particulière est à la fois belle et dérangeante, et au moment où les premiers baisers ont été échangés entre Adrien et Dren (c'est le petit nom de la FGM), Bouzi a perçu une certaine crispation traverser le public de la salle. Cette réaction collective fut très intéressante à sentir. Cela dit, « Splice », ce n'est pas seulement un gus qui embroche une anomalie de la nature, c'est aussi un discours radical que l'on peut résumer ainsi : chaque maman est une grosse connasse dominatrice et castratrice, et un obstacle permanent à l'épanouissement de ses enfants. Les différentes figures maternelles que l'on croise dans le film sont en effet fondamentalement mauvaises. Il y a la mère de l'héroïne que l'on ne voit pas mais dont on devine qu'elle ne devait pas être sympa du tout (faut voir un peu l'état de la chambre de sa fille) ; il y a l'héroïne elle-même, qui va castrer son rejeton (avant que celui-ci se venge en commettant un inceste) ; enfin, il y a la patronne du labo (le dernier plan est explicite quant à son emprise maternelle néfaste sur l'héroïne).