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carpdiem72
11 abonnés
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3,0
Publiée le 16 mai 2014
film qui peut parfois faire sourire tellement certaines situations sont ridicules, mais on se laisse prendre par l'envie de savoir comment tout cela vas finir .
Dans le genre, c'est un bon film, nous sommes tout du long pris dans l'histoire. Mais un début assez lent et des scènes du même ton ont failli à plusieurs reprises me faire changer de chaîne. On s'attend en réalité à un scénario peu original, à un film de SF basique avec un monstre sanguinaire. Mais jamais en tant que spectateur, j'aurai pensé que le mot "originalité" serait ainsi interprété. Surprenant, donc. Déroutant, presque. Assez gênant, finalement.
Médiocre et vulgaire, film presible, tres malsain visiblement écrit par des personnes avec de gros problèmes. Ce film m'a extrêmement choqué je m'attendais à un film plus porté sur la science et pas du tout sur le sex ! Les acteurs sont mauvais, le scénario est choquant (porté sur la zoophilie, le viol et meme un mélange des deux), les décors sont tres bas de game. Limitez vous à la bande d'annonce tout est dedans sauf les scènes de viol et de sex avec la création scientifique.
Un très bon film de science fiction,de très bon acteurs,l histoire et le retournement de situation de ce film est vraiment extraordinaire a voir absolument
Presque 2h (et heureusment, pas plus !) d'ennuie ! Pourtant le film commence plutot "bien", notre curiosité envers cette chose est présente mais au fur et à mesure du film, ça devient grotesque. On s'écarte complètement du sujet à la base, aucune scène effrayante, les dialogues sont plats, des passages débiles et désagréable à voir (rapports sexuels avec Dren, (et oui j'ai mis des "s" ^^) ce qui était cousu d'avance en plus !) Personnellement j'ai perdu mon temps, la bande annonce m'avait plutot enthousiasmé surtout avec Adrien Brody à l'affiche mais là franchement.... ce film ne mérite aucune étoile ! a zapper !
On l'aurait vu passer en troisième partie de soirée sur NRJ12 (ou sur Syfy, à n'importe quel horaire), à la limite, mais savoir que Splice est passé en festivals, compte Adrien Brody au casting, a un budget de 30 millions de dollars... On ne comprend pas. Que l'on perde patience face au démarrage qui lorgne sur un mix de Frankenstein et d'Alien (ce qui donne : le savant fou qui veut créer une créature à développement rapide, et forcément, cela dérape), que l'on tombe ses yeux face aux effets spéciaux écœurants (l'animation de la bestiole est atroce), que l'on ait des doutes sur le bon goût artistique du designer de la créature (elle est simplement laide, ni effrayante, ni charismatique, avec ses yeux bovins écartés à l'extrême, sa raie crânienne qui donne parfois l'impression de regarder un arrière-train, et des pattes que seules les autruches peuvent approuver)... Tout, ou presque, pouvait faire défaut à Splice, si son scénario ne se chargeait pas de l'achever si tôt : on sait dès le départ comment ce genre d'histoire termine (et l'on n'est pas plus surpris par le twist final ridicule), on nous balance du sexe "pseudo-choquant" (on doit y voir une forme d'inceste, comme le couple de scientifiques sont ses géniteurs) sans envie ni raison (scènes totalement gratuites), et l'on a même droit à la petite bataille finale dans la neige qui va bien (hello, The Thing). Adrien Brody et Sarah Polley semblent s'ennuyer ferme, on compatit, quant à savoir ce que Delphine Chanéac joue et ressent sous le masque hideux, cela reste le véritable mystère du film, bien plus grand que l'intrigue courue d'avance et la réalisation qui donne des fous-rires involontaires. Splice, un supplice.
Vincenzo Natali, cinéaste Canadien qui avait bousculé l’univers du fantastique avec le premier opus de la saga Cube (1999/2002/2004) revient aujourd’hui avec un thriller horrifique & fantastique, sur fond de manipulations génétiques où deux scientifiques créent une créature en couplant de l’ADN animal et humain. Le thriller se transforme alors en un triangle amoureux (voir même incestueux), certes prévisible mais dont l’effet de surprise s’avère réussi. S’ensuit après un final très haletant et horrifique, à l’extrême opposé de la première partie très (trop ?) amorphe. A côté de cela, il faut saluer les excellents SFX et autres makeup-effect (made in France !!). Niveau distribution, si on sera surpris de retrouver Adrien Brody dans l’un des rôles titre, on pourra saluer la prestation de Delphine Chaneac (méconnaissable dans le rôle de Dren, la créature).
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1,5
Publiée le 24 juillet 2010
Qui s'ètonnera de trouver Guillermo Del Toro à la production dans ce film de monstre abracadabrant où le gothique dispute curieusement le romantique! Le rèalisateur Vincenzo Natali - crèateur du cultissime "Cube" - ne rèussit pas vraiment cette troublante greffe entre le psychodrame et l'effroi! "Splice " a tendance a partir un peu dans tous les sens avec des scènes surprenantes, voir même ridicules! ça ressemble à un Frankenstein mis à l'heure du gènètique, qui explore les motivations profondes de la recherche scientifique, et où l'èpouvante est avant tout la morale! Adrien Brody et Sarah Polley font leur boulot dans ce film ètrangement troublant sur fond d'inceste, avec des effets spèciaux au demeurant rèussis! Pas dèplaisant mais pas totalement rèussi...
Sous ses aspects de film horrifique qu’il n’est que rarement, Splice tend un terrifiant miroir à l’homme pour observer sa débâcle existentielle. S’y réfléchit sa vanité où, créateur ayant donné la vie, la créature engendrée par ses soins devient un terrain de jeu malgré les crises de conscience et les apparentes motivations scientifiques ; s’y répercute ce viol symboliquement perpétré où le monstre n’est pas celui que l’on pense, tribunal de l’humanité toute-puissante mais rongée par sa peur des profondeurs ; s’y cristallise le vertige d’un couple devenu subitement parents qui ne parvient à sauver son enfant de sa laideur congénitale. Vincenzo Natali cultive brillamment une atmosphère angoissante et déstabilisante renvoyant le spectateur à ses peurs premières dans une froide évocation des limites que doit avoir la recherche scientifique. Chimère innocente bientôt ternie par le vice, la créature fascine tout autant qu’elle terrifie, incarnation des versants angéliques et démoniaques inhérents à la nature humaine. Redoutable, intelligent, excellent.
Avant toute chose, et au vu des critiques spectateurs plutôt décevantes, je me dois de dire que ce film est très loin de l'être, décevant, d'ailleurs comment un film du génial V. Natali pourrait l'être?
Ce film pose tout un tas de questions extrêmement profondes et d'actualité, que ce soit au sujet des limites de la science et de ses expérimentations, mais également de ce que l'éducation d'un être dépendant peut amener de destructeur et d'incontrôlé.
Splice est dans la ligne droite du chef d'œuvre de David Cronenberg ("La mouche"), tout en n'arrivant pas cependant à l'égaler car il lui manque la touche dramatique qui accompagne la déchéance physique de Seth Brundle accentuée par la présence jusqu'à la tragique fin de son amante qui y assiste impuissante, mais Splice s'inspire également directement sur bien des aspects du roman de M.Shelley Frankeinstein, cet être créée par un savant suisse qui, suite au dégoût que l'aspect hideux que sa créature lui inspire, l'abandonnera et subira ainsi la vengeance de ce dernier qui aura connu maltraitance et privations, tout spoiler: comme Dren dans le film . Pour conclure j'ajouterai qu'il serait vraiment dommage de s'arrêter sur certains côtés un peu pompeux (commerciaux, grand public) ressentis parfois, sous peine de passer à côté de sa dimension et des interrogations qu'il soulève.
Ce film a l'honneur d'être le plus mauvais qu'il m'ait été donné de voir (et pourtant je dois en visionner une bonne dizaine par semaine). Malsain, absurde, mal interprété... Je me suis sentie si mal en le visionnant que j'en ai encore une profonde nausée plusieurs heures après...
Abracadabrantesque ! C’est mou et quand çà accélère c’est délirant de ridicule. Une parodie pour dénoncer les recherches inavouables des labos pharmaceutiques. Une peu de second degré, des blagues à 2 balles et on pourrait en faire une comédie. A fuir !