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Le résultat est un documentaire passionnant et une réflexion totalement inédite sur les prémisses d'une réalité tout à fait contemporaine à laquelle personne n'échappe aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Metro
A travers le portrait vertigineux de Jacques Vergès, avocat opaque et brillant, Barbet Schroeder raconte aussi plusieurs décennies de terrorisme et d'histoire secrète. Passionnant.
(...) la densité de récits, l'accumulation romanesque, le réservoir d'histoires (...) Le film (...) n'est pourtant pas une fiction mais un documentaire (...) C'est aussi un incroyable thriller d'espionnage, avec ses secrets d'Etat (...) Me Vergès est un formidable catalyseur pour un cinéaste qui n'a jamais cessé de montrer que la vérité est parfois faite de paradoxe et de confusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Aussi palpitant qu'un bon thriller, aussi glaçant qu'une plongée dans les dessous de l'histoire contemporaine, ce film constitue un formidable décryptage de la dérive terroriste à travers ceux qui l'ont vécue. (...) Son atout imparable, c'est Vergès lui-même, personnage romanesque, fascinant et effrayant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Pas de révélation fracassante, puisque ce n'était sûrement pas le propos du documentaire. Mais une mine, parfois confuse, d'informations et de réflexions (...)
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cette rigueur extrême devient la qualité la plus sure de ce thriller-vérité qui ne trahit pas l'humour cynique de l'avocat intelligent (...) et rappelle accessoirement la bonne santé d'un cinéaste insaisissable qui se joue de la frontière entre le cinéma comme art du mensonge et la vérité, comme témoignage du vice. Dans ce travail d'investigation, il finit néanmoins par avouer sa propre limite : une vraie fascination pour Vergès.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ponctué de témoignages hallucinants, mais déséquilibré par une construction qui met parfois trop en avant certaines thématiques, ce puzzle ne parvient jamais à percer la gangue intérieure de titane dont se capitonne Jacques Vergès depuis plus d'un demi-siècle.
Les visages d'un défenseur de l'indéfendable par Barbet Schroeder (...) Malgré l'absence de tout commentaire en voix off, qui laisse parfois Barbet Schroeder se replier sur une position de non-jugement, une hypothèse se fait jour : et si la " machine Vergès " carburait à l'affectif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le cinéaste se perd souvent dans des ramifications politiques et historiques obscures, provoquant malheureusement l'ennui, et l'on obtient un " procès " tout ce qu'il y a de plus inégal et superficiel.
L'Obs
Le film dure 2h15, il passe comme un éclair, et au générique de fin on se dit qu'on aimerait en voir et en entendre deux ou trois heures de plus.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) Schroeder est à son sommet.
Metro
Le résultat est un documentaire passionnant et une réflexion totalement inédite sur les prémisses d'une réalité tout à fait contemporaine à laquelle personne n'échappe aujourd'hui.
Rolling Stone
Indispensable.
20 Minutes
Avec L'Avocat de la terreur, Barbet Schroeder signe un documentaire plus passionnant que bien des fictions.
Elle
Une enquête étourdissante menée avec la collaboration cynique du mis en examen, qui lève nombre de vérités (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
A travers le portrait vertigineux de Jacques Vergès, avocat opaque et brillant, Barbet Schroeder raconte aussi plusieurs décennies de terrorisme et d'histoire secrète. Passionnant.
Le Monde
(...) la densité de récits, l'accumulation romanesque, le réservoir d'histoires (...) Le film (...) n'est pourtant pas une fiction mais un documentaire (...) C'est aussi un incroyable thriller d'espionnage, avec ses secrets d'Etat (...) Me Vergès est un formidable catalyseur pour un cinéaste qui n'a jamais cessé de montrer que la vérité est parfois faite de paradoxe et de confusion.
Le Parisien
Aussi palpitant qu'un bon thriller, aussi glaçant qu'une plongée dans les dessous de l'histoire contemporaine, ce film constitue un formidable décryptage de la dérive terroriste à travers ceux qui l'ont vécue. (...) Son atout imparable, c'est Vergès lui-même, personnage romanesque, fascinant et effrayant.
Les Inrockuptibles
(...) un film documentaire qui ne juge pas.
Ouest France
Pas de révélation fracassante, puisque ce n'était sûrement pas le propos du documentaire. Mais une mine, parfois confuse, d'informations et de réflexions (...)
Positif
(...) cette longue vie (...) a quelque chose de plus que les autres, dans tous les sens. Admirer, détester, oui; mais sûrement pas rigoler (...)
Première
Puzzle fascinant, voué à l'inachèvement (...) l'Avocat de la terreur subjugue, déstabilise, interroge (...) Schroeder (...) signe un authentique docu d'auteur.
Score
La démonstration est brillante (...)
aVoir-aLire.com
Cette rigueur extrême devient la qualité la plus sure de ce thriller-vérité qui ne trahit pas l'humour cynique de l'avocat intelligent (...) et rappelle accessoirement la bonne santé d'un cinéaste insaisissable qui se joue de la frontière entre le cinéma comme art du mensonge et la vérité, comme témoignage du vice. Dans ce travail d'investigation, il finit néanmoins par avouer sa propre limite : une vraie fascination pour Vergès.
Cahiers du Cinéma
La galerie de personnages et la fresque historique sont à coup sûr passionnantes. La forme l'est moins (...)
TéléCinéObs
Ponctué de témoignages hallucinants, mais déséquilibré par une construction qui met parfois trop en avant certaines thématiques, ce puzzle ne parvient jamais à percer la gangue intérieure de titane dont se capitonne Jacques Vergès depuis plus d'un demi-siècle.
Télérama
Les visages d'un défenseur de l'indéfendable par Barbet Schroeder (...) Malgré l'absence de tout commentaire en voix off, qui laisse parfois Barbet Schroeder se replier sur une position de non-jugement, une hypothèse se fait jour : et si la " machine Vergès " carburait à l'affectif.
MCinéma.com
Le cinéaste se perd souvent dans des ramifications politiques et historiques obscures, provoquant malheureusement l'ennui, et l'on obtient un " procès " tout ce qu'il y a de plus inégal et superficiel.