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    La Forêt de Mogari
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    2,6
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    petithom
    petithom

    10 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2007
    Beacoup de sensibilité et d'émotion.Magnifique film sur le deuil.Du cinéma merveilleux avec deux grands acteurs.
    Félix P
    Félix P

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2009
    une ode contemplative et pudique aux thèmes de la communicabilité,de la nature sublimée,et du respect ancestral.Une parfaite réussite.On attend donc beaucoup de cette réalisatrice( fait rarissime au Japon..)dont la grande maitrise ,photo notamment,laisse augurer une carrière brillante,déjà dûment reconnue et récompensée,notamment à Cannes...
    shimizu
    shimizu

    9 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2007
    Ca faisait longtemps qu'on n'avait pas vu un aussi beau film.
    Sans doute pas depuis "Be with me", d'Eric Khoo, du côté de l'Asie en tout cas.
    Difficile de parler d'un film aussi original et magnifique. Sachez simplement qu'en y entrant, on entre dans un monde luxuriant, où la nature est saisissante de beauté, presque charnelle (comme dans "Lady Chatterley"), où les enfants restent des enfants, même s'ils ont perdu leur corps d'enfant (ils sont à présent des personnes âgées), où le travail du deuil est un long travail qui mène à l'apaisement et à la sérénité.
    Un de ces films qui nous aident à répondre aux questions essentielles, sans nous prendre la tête.
    On rit et on pleure souvent. Que du plaisir!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 mars 2008
    Decouverte aCannes(Camera d'or pour Sukazu en 1997) et distinguée cette année par le grand prix, Naomie Kawase etait photographe avant de passer dans la réalisation. Et cela se voit. Son cinema contemplatif est d'une grande beauté formelle, mais l'histoire est si tenue que l'on est bien plus pres de l'art contemplatif que du cinema.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 octobre 2007
    Par rapport à Shara, ce film m'a déçu. Il se laisse parfois aller à un mysticisme mal venu, surtout dans les scènes de forêts, qui alignent des clichés en vogue au Japon. Certes, on évite la vulgarité, mais le film manque de substance.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 mai 2009
    Les japonais ont un rapport à la forêt que l'on ne peut soupsonner si l'on ne connait pas leur culture ! Et la principale héroïne de ce film est bien la forêt ! Il faut aimer le vent dans les branches ! Mais on sent affleurer la poésie à maintes reprises dans ce film pour peu que l'on tende l'oreille ! C'est comme shara, ce sont deux oeuvres qui ne se laissent pas aborder de prime abord et qui demandent l'introspection !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 novembre 2007
    Je viens à peine de voir ce film, et mon sentiment est mitigé. Il y a beaucoup de bon, voire d'excellent, mais aussi des choses que j'ai moins aimées. La musique est vraiment superbe, s'adapte très bien aux scènes, et fait vivre de réelles émotions, notamment pendant la scène de "cache-cache" dans les buissons (qui restera LA scène du film). La façon de filmer m'a beaucoup plu également, c'est dynamique, précis. Par contre, certains dialogues ne sonnent pas très bien ("qu'est ce que la vie ?"), et tombent un peu dans le cliché. De plus, si la première partie m'a vraiment enthousiasmé, je dois dire que la partie dans la forêt comporte quelques longueurs, même si ça se reprend (très) bien vers la fin. Je suis un peu entre le 2 et 3 étoiles donc... Pour découvrir l'esprit si particulier de Kawase...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 novembre 2007
    Le travail du deuil , traité dans une fable poetique de grande qualité , les acteurs principaux ont un charme fou , et meme si la lenteur du film est parfois pesante , elle retrancrit cette longue traversée du desert , ou plutôt de la foret...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 novembre 2007
    Déception. L'image est parfois très belles mais les plans sont trop longs, l'histoire est en soi très simple, mais le film n'est pas accessible, c'est tout en symboles et finalement on ne comprend pas les personnages, ou pas assez. Peut-être que je n'ai pas saisi l'essentiel (sûrement), car l'émotion n'y était pas, j'ai trouvé ça lourd et long, et pourtant j'ai fait des efforts. C'est assez frustrant en fait.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 novembre 2007
    Un ennui terrible. Et même les images (contrairement à ce que j'ai pu entendre) ne sont pas belles. La caméra bouge tout le temps. Son prix à Cannes est incompréhensible.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 novembre 2007
    Non on ne peut pas faire tout et n'importe quoi sous prétexte que l'on veut un film d'auteur au thème profond et à la mise en scène loin des standard d'Holywood.
    On veut bien partir dans une réflexion sur le deuil, sur la mort, sur les vivants qui reste attendant la mort pour rejoindre l'être aimé...
    On veut bien être décalé et se laisser porter par l'intimité des personnages.
    On veut bien plein de choses mais si le cinéma se résume à une idée et se dédouane de l'effort d'un réel travail sur la mise en scène alors là ca ne va plus.
    Lentement on comprend, lentement on chemine sur le chemin du deuil et on accompagne le vieux et la jeune mais jamais on n'arrive à s'impliquer et toujours on reste spextateur comme l'est la caméra et c'est au final le plus agaçant parce que cette réflexion on l'a déjà eu et on aurait aimé une mise en scène plus élaborée et qu'on nous évite de marteler les errements du personnage principal pour enfin nous le réppeler dans son dialogue...nous avions compris cela depuis bien longtemps avant la scène finale.
    Malheureusement l'ensemble est très inégal et cela reste un ovni pas tout à fait convainquant sur un thème qui pourtant nous avait été rappeléé avec tendresse dans les premières minutes du film!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 novembre 2007
    C’est une histoire à la fois simple et émouvante. Simple, car il n’y a aucunes complications dans cette histoire de deuil et de chagrin qui touche les deux personnages principaux. Le premier, un septuagénaire, doucement sénile, finissant tranquillement ces jours dans une petite maison de retraite au fin fond de la campagne japonaise et son aide-soignante, une jeune femme douce et mélancolique. Sans le savoir, ils partagent une même souffrance, une même dette spirituelle liée à la mort d'un être cher. Pour lui, c’est son épouse, disparue il y à trente trois ans et qu’il n’a jamais pu oublier. Pour elle, c’est la mort accidentelle de son jeune enfant, dont elle est en partie responsable, qui la hante. Toute la complexité du travail de la réalisatrice était de réussir à dévoiler la profondeur de la peine et du chagrin sous les manifestations de démence du vieil homme, amoureux inconsolable et de la jeune femme anéantie par la perte de son fils. Travail d’autant plus difficile que les deux protagonistes empruntent rarement le chemin des mots, partagés qu’ils sont, entre des moments de profonde tristesse, voir de réactions violentes et des éclairs de joie tout aussi fulgurants. Un jour pourtant, un banal accident de voiture leur ouvrira les portes d’un chemin longtemps resté obscur : celui de l’acceptation, de l’abandon et peut-être, enfin, de la sérénité qui mène à la plénitude tant recherchée. C’est sous les arbres de la forêt de Mogari, au contact de la terre, de l’eau et du vent, que ces deux êtres, étouffés dans leur souffrance, vont réapprendre à respirer, pour enfin, pouvoir accepter la mort de leur proche.
    Ce récit contemplatif se laisse doucement apprécier que si l’on accepte de « regarder » vraiment !
    C'est une véritable quête spirituelle sur l’acceptation de la mort comme faisant partie intégrante de la vie. C’est une sorte de poème où les vers ne seraient pas fait de mots mais d’images et enfin c’est une métaphore sur l’espoir et l’envie de vivre env
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 novembre 2007
    Un Film esthétiquement abouti. Très épuré, très "Zen" et pourtant très profond, je dirais même un peu trop si bien que je me suis un peu perdu dans la trame scénaristique. Je ne comprenais pas où le réalisateur voulait en venir. Donc j'ai décroché sur la fin

    Toutefois la quasi absence de dialogues laisse place à la puissance des regards et des gestes. Tout est suggéré mais rien n'est dit. C'est un peu dommage car c'est aussi un peu pour ça que l'on s'y perd.

    L'ambiance est très proche d'un Tropical Malady de Apichatpong Weerasethakul(2004) que j'ai préférè car mieux structuré, plus cohérent.
    Dans les 2 cas j'ai versé ma larme pour chacun de ces films où l'intensité de l'émotion est particulièrement forte et prenante.

    Après on aime ou on deteste...et malgrés le manque de rythme et les longueurs de La foret de Mogari, je pencherais vers la première proposition
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 novembre 2007
    un homme, une femme, deux deuils - une forêt, où reposent les morts, où cheminent les vivants en peine - deux corps - l'un s'échappe, l'autre accompagne - deux corps essoufflés, nourris, mouillés - deux corps qui se réchauffent - un feu - des caresses - étincelles - un amour - la possibilité d'un amour - asile - de la vie réfugiés - l'amour console - écoute - la possibilité de vivre encore - du temps, des années, et la mémoire pour les retravailler -
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 novembre 2007
    très belle mise en scène, effectivement, le film est sensible, tout traverse l'écran, la beauté des paysages, le souffle du vent, le coeur des personnages... il faut aller voir se film pour toucher ce que veut dire, le "se sentir vivre" du moine zen,
    mais je trouve que ce regard est gâché par la fin du film, où l'on se retrouve dans un appréhension plus symbolique, qui m'a fait décrocher : en effet, on passe d'une pure présentation, sans histoire, à une démonstration narrative, démo que je ne peux pas vraiment comprendre (vivre avec), n'étant pas japonais : pourquoi cet homme est-il encore en deuil au bout de 33 ans, dormir dans la terre de la tombe où repose sa femme va-t-il changer quelque chose ?
    et dernière chose, ce film si calme, si contemplatif, si lent, pourquoi n'est-il pas tourné en steadycam ? la caméra est porté souvent à l'épaule, ce qui fait que lorsque ça bouge, l'image tremble, et alors là, je suis pas, pas, pas d'accord, du tout
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