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Ce qu'on admire ici est une sensualité douce et solaire, la rencontre de Schubert et du vent dans les herbes, la rigueur de cadrages qui renvoient à un Ozu qui bougerait à l'occasion sa caméra, la lumière qui fait penser à la Ballade de Narayama (...)
(...) Kawase montre deux êtres humains perdus dans la nature en cherchant seconde après seconde le juste écart entre la triviale réalité (...) et la horde des métaphores et symboles qui rôdent dans cette forêt (...).
(Pour) : Ce film contemplatif et pictural, qui joue sur une gamme de verts spectaculaire, juste accompagné de notes au piano, peut agir violemment sur le spectateur, longtemps après la séance.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Naomi Kawase ne renie pas son style, à la fois réaliste, viscéral et sans fioriture, mais aussi empreint d'une puissante force d'évocation (...) On pénètre littéralement dans cette forêt dont on jurerait, par instants, pouvoir sentir l'envoûtant parfum.
L'absence, le deuil, l'amour inextinguible et l'irrépressible passage du temps sont suffisamments offerts à nos sens par les images somptueuses. Ce qui est beau, c'est l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
On retrouve la chaleur souple et pulsée de la mise en scène de Kawase, cette légèreté cling-cling et ce petit vent frais (...), et pourtant quelque chose empêche de se livrer, avec les personnages, au torrent de l'émotion. Ce quelque chose, c'est l'appétit de solennité, de rituel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
En une magnifique séquence (...) Kawase arrive (...) à réunir deux survivants et les morts auxquels ils ont dédié leurs vies (...) Dommage que le reste du film (...) travaille surtout à anesthésier toute présence, jusqu'à rendre cette Forêt parfois transparente.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La beauté des paysages, exaltée par celle des cadrages, n'empêche pas la mise en scène de céder sans résistance aux tentations de l'académisme d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Humanité
Ce qu'on admire ici est une sensualité douce et solaire, la rencontre de Schubert et du vent dans les herbes, la rigueur de cadrages qui renvoient à un Ozu qui bougerait à l'occasion sa caméra, la lumière qui fait penser à la Ballade de Narayama (...)
Le Monde
(...) La Forêt de Mogari est empreint d'une grâce qui en facilite l'accès et (...) son histoire est à la fois simple et poignante.
Les Inrockuptibles
Naomi Kawase nous a encore envoûtés. Du grand art.
Cahiers du Cinéma
(...) Kawase montre deux êtres humains perdus dans la nature en cherchant seconde après seconde le juste écart entre la triviale réalité (...) et la horde des métaphores et symboles qui rôdent dans cette forêt (...).
Elle
(Pour) : Ce film contemplatif et pictural, qui joue sur une gamme de verts spectaculaire, juste accompagné de notes au piano, peut agir violemment sur le spectateur, longtemps après la séance.
MCinéma.com
Naomi Kawase ne renie pas son style, à la fois réaliste, viscéral et sans fioriture, mais aussi empreint d'une puissante force d'évocation (...) On pénètre littéralement dans cette forêt dont on jurerait, par instants, pouvoir sentir l'envoûtant parfum.
Première
L'absence, le deuil, l'amour inextinguible et l'irrépressible passage du temps sont suffisamments offerts à nos sens par les images somptueuses. Ce qui est beau, c'est l'émotion.
Télérama
(pour) Le regard de la cinéaste est comme aspiré vers les cimes, exalté par la majesté des arbres.
aVoir-aLire.com
Une petite merveille d'intelligence qui plonge avec lyrisme et volupté au coeur des traumatismes humains.
20 Minutes
L'infinie délicatesse dont fait preuve Naomi Kawase peut laisser de marbre.
Chronic'art.com
On retrouve la chaleur souple et pulsée de la mise en scène de Kawase, cette légèreté cling-cling et ce petit vent frais (...), et pourtant quelque chose empêche de se livrer, avec les personnages, au torrent de l'émotion. Ce quelque chose, c'est l'appétit de solennité, de rituel.
Libération
En une magnifique séquence (...) Kawase arrive (...) à réunir deux survivants et les morts auxquels ils ont dédié leurs vies (...) Dommage que le reste du film (...) travaille surtout à anesthésier toute présence, jusqu'à rendre cette Forêt parfois transparente.
Ouest France
(...) film lent et mystérieux, qui met surtout en avant [les] superbes talents de photographe [de Kawase].
Paris Match
La patience trouvera sa récompense dans ce cinéma en suspension qui s'apparente à une méditation.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
(contre) : Apaisante ou exaspérante, cette oeuvre contemplative est au cinéma ce que les CD de relaxation sont à la musique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Positif
La beauté des paysages, exaltée par celle des cadrages, n'empêche pas la mise en scène de céder sans résistance aux tentations de l'académisme d'aujourd'hui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Beau mais terriblement austère.
Télérama
(contre) De cliché en cliché, on en arrive au coeur du film : un pâle plagiat forestier de La Ballade de Narayama (...)