Fengming, Chronique d'une femme chinoise : Critique presse
Fengming, Chronique d'une femme chinoise
Note moyenne
3,9
12 titres de presse
Critikat.com
Le Monde
Libération
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
TéléCinéObs
L'Express
Télérama
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Ce que relate "Fengming, Chronique d'une femme chinoise", c'est certes le récit factuel précis d'événements longtemps tus par ceux qui les avaient vécus : l'enfermement dans des camps de rééducation par le travail de tous les "déviants de droite" sous le régime de Mao à la fin des années soixante. Mais c'est aussi le geste de recueil cette parole, sa lenteur, ses temps d'attente, et c'est l'attention portée au temps du témoignage qui fait de "Fengming" un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Entre les mains de Wang Bing, la caméra numérique est un instrument d'une grande puissance artistique et conceptuelle. Son parti pris formel transforme ce qui pourrait n'être qu'un document en une oeuvre incandescente (...) Le récit produit une déflagration en condensant (...) toute la violence de l'histoire de la Chine de Mao, imbriquée avec celle, personnelle, d'un amour fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
D'une simplicité tétanisante, ce film immense se révèle enfin le seul à documenter la campagne "antidroitiste" des années 50 et ses ravages, de la déportation à l'anthropophagie, restés un tabou absolu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Il y a dans "Fengming" ce qui fait le prix des documentaires de Wang Bing : mettre l'humain au-dessus de la puissance formelle.
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
Le cinéaste ne s'en tient pas à la description d'une horreur immédiate, permettant au récit de "Fengming" de se doubler du portrait, d'une formidable ampleur, d'une société, et d'une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une femme livre un témoignage nu, face caméra, sans autre apprêt de mise en scène que celui de la nuit tombant, tant sur elle que sur nous, spectateurs, face à la narration d'une vie que broya la machine maoïste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il y a ainsi, dans [le film], un effet de cinéma d'une simplicité désarmante et pourtant proprement hallucinant (...). Il décuple en tout cas l'amour que nous pouvons éprouver pour le cinéma quand il devient un art et pour ses fabricants quand ils lui font tellement confiance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Laetitia Mikles
Ce dépouillement radical, presque trivial, offre au spectateur un écran blanc sur lequel projeter les images du "récit hypnotique" de celle qui a survécu au goulag chinois.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Après l'éblouissant "A l'ouest des rails", le cinéaste chinois signe un nouveau documentaire fleuve où il prouve, une fois encore, que radicaliser la forme et miser à la fois sur la durée (plus de trois heures), la fixité du cadre et la quasi-absence du montage, est le meilleur moyen pour optimiser l'écoute et la transmission de ce témoignage capital.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Julien Welter
Le concept est intéressant, mais, malheureusement, un peu pénible. Même si l'histoire de cette femme est passionnante, on sent parfois le temps passer.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Télérama
par Samuel Douhaire
Trois heures de quasi-monologue en longs plans fixes, des images sombres, parfois à la limite de la visibilité : la parole de madame Fengming se mérite. Mais elle vaut la peine : ses souvenirs intimes fournissent un éclairage passionnant - et terrifiant - sur l'histoire contemporaine de la Chine (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Philippe Jambet
On peut être bouleversés, mais l'austérité formelle nuit cruellement à l'impact du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Ce que relate "Fengming, Chronique d'une femme chinoise", c'est certes le récit factuel précis d'événements longtemps tus par ceux qui les avaient vécus : l'enfermement dans des camps de rééducation par le travail de tous les "déviants de droite" sous le régime de Mao à la fin des années soixante. Mais c'est aussi le geste de recueil cette parole, sa lenteur, ses temps d'attente, et c'est l'attention portée au temps du témoignage qui fait de "Fengming" un grand film.
Le Monde
Entre les mains de Wang Bing, la caméra numérique est un instrument d'une grande puissance artistique et conceptuelle. Son parti pris formel transforme ce qui pourrait n'être qu'un document en une oeuvre incandescente (...) Le récit produit une déflagration en condensant (...) toute la violence de l'histoire de la Chine de Mao, imbriquée avec celle, personnelle, d'un amour fou.
Libération
D'une simplicité tétanisante, ce film immense se révèle enfin le seul à documenter la campagne "antidroitiste" des années 50 et ses ravages, de la déportation à l'anthropophagie, restés un tabou absolu.
Cahiers du Cinéma
Il y a dans "Fengming" ce qui fait le prix des documentaires de Wang Bing : mettre l'humain au-dessus de la puissance formelle.
Chronic'art.com
Le cinéaste ne s'en tient pas à la description d'une horreur immédiate, permettant au récit de "Fengming" de se doubler du portrait, d'une formidable ampleur, d'une société, et d'une histoire.
Les Fiches du Cinéma
Une femme livre un témoignage nu, face caméra, sans autre apprêt de mise en scène que celui de la nuit tombant, tant sur elle que sur nous, spectateurs, face à la narration d'une vie que broya la machine maoïste.
Les Inrockuptibles
Il y a ainsi, dans [le film], un effet de cinéma d'une simplicité désarmante et pourtant proprement hallucinant (...). Il décuple en tout cas l'amour que nous pouvons éprouver pour le cinéma quand il devient un art et pour ses fabricants quand ils lui font tellement confiance.
Positif
Ce dépouillement radical, presque trivial, offre au spectateur un écran blanc sur lequel projeter les images du "récit hypnotique" de celle qui a survécu au goulag chinois.
TéléCinéObs
Après l'éblouissant "A l'ouest des rails", le cinéaste chinois signe un nouveau documentaire fleuve où il prouve, une fois encore, que radicaliser la forme et miser à la fois sur la durée (plus de trois heures), la fixité du cadre et la quasi-absence du montage, est le meilleur moyen pour optimiser l'écoute et la transmission de ce témoignage capital.
L'Express
Le concept est intéressant, mais, malheureusement, un peu pénible. Même si l'histoire de cette femme est passionnante, on sent parfois le temps passer.
Télérama
Trois heures de quasi-monologue en longs plans fixes, des images sombres, parfois à la limite de la visibilité : la parole de madame Fengming se mérite. Mais elle vaut la peine : ses souvenirs intimes fournissent un éclairage passionnant - et terrifiant - sur l'histoire contemporaine de la Chine (...).
Première
On peut être bouleversés, mais l'austérité formelle nuit cruellement à l'impact du film.