Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
[Ce] film me laisse désemparé. (...) Je vois bien que [Truffaut] essaie de poursuivre sa longue confidence mais une vitre s'est interposée entre l'écran et moi, et le fil est rompu par où passait l'émotion. (...) Dans le caveau où il s’est enfermé, le héros meurt d’asphyxie : le film et le spectateur aussi. 09/04/1978
Libération
par G.R
Tout dans ce film est faux, figé, ennuyeux. Et par-dessus le marché, Truffaut n’a rien à dire (…) Avancement en âge, inquiétude de sa propre mort…(...) Ici, “on frôle le fantastique” prétend Truffaut : Non ! On le rate. 08/04/1978
Charlie Hebdo
par La Rédaction
Du vivant qu’il interprète, [François Truffaut] fait un mort-vivant (puis un mort tout court) (…) [Il] n’exprime jamais la vie. Mort d’un ami. Mort de la femme aimée. Morts à la guerre. Mort. Mort. Mort. Il prend tous les prétextes (…), toute la névrose excessive du souvenir pour que la mort enfin l’habite. À la fin, c’est gagné. On est morts aussi. D’ennui. D’ennui. D’ennui.
Le Journal du Dimanche
[Ce] film me laisse désemparé. (...) Je vois bien que [Truffaut] essaie de poursuivre sa longue confidence mais une vitre s'est interposée entre l'écran et moi, et le fil est rompu par où passait l'émotion. (...) Dans le caveau où il s’est enfermé, le héros meurt d’asphyxie : le film et le spectateur aussi. 09/04/1978
Libération
Tout dans ce film est faux, figé, ennuyeux. Et par-dessus le marché, Truffaut n’a rien à dire (…) Avancement en âge, inquiétude de sa propre mort…(...) Ici, “on frôle le fantastique” prétend Truffaut : Non ! On le rate. 08/04/1978
Charlie Hebdo
Du vivant qu’il interprète, [François Truffaut] fait un mort-vivant (puis un mort tout court) (…) [Il] n’exprime jamais la vie. Mort d’un ami. Mort de la femme aimée. Morts à la guerre. Mort. Mort. Mort. Il prend tous les prétextes (…), toute la névrose excessive du souvenir pour que la mort enfin l’habite. À la fin, c’est gagné. On est morts aussi. D’ennui. D’ennui. D’ennui.