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    Martyrs
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    3,0
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    1 274 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 novembre 2012
    spoiler: 3 étoiles seulement car images trop dures et on a l'impression que le réalisateur se délecte dans l'horreur. Au-delà de ça, c'est un film sur les non limites de la cruauté au nom de la science et de la recherche, et c'est bien cela que le film veur montrer à mon avis. A ne pas revoir
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 août 2016
    J'ai été un peu déçue par ce film. Je ne m'attendais pas à ce que j'ai vu. Bien que les images soient prenantes, le maquillage bien réalisé, et les actrices excellentes, le scénario m'a laissée perplexe.
    Le film se sépare en fait en 2 parties: la 1ère, vraiment bien réalisée et chocante, montre Lucie, histérique, se rendant chez ceux qu'elle pensent être ses bourreaux, et les assassiner froidement, sans aucune pitié. En quelques minutes, le père, la mère et les deux enfants ne sont plus. Sa copine Anna lui vient en aide, pour vaincre son déséspoir et ses crises de folies. spoiler: Cette partie s'avère être très bonne, jusqu'à la mort de Lucie.Cet évènement marque la transition entre la 1ère et la 2de partie.

    La seconde partie montre la découverte des atrocités réalisées dans les sous sols de cette maison de l'horreur. Oui mais voilà, ca traine un peu en longueur, les scènes de tortures sont assez répétitives, et c'est pour moi de la pure violence gratuite très détaillée, ce qui n'est pas forcément utile. Puis on découvre que cette torture est réalisée par un groupe de personnes, une sorte de secte, dont l'explication de "pourquoi cette torture gratuite?" tient en quelques mots et n'est pas vraiment crédible: spoiler: découvrir ce que l'on voit après la vie.
    Et pour finir, cette maltraitance ne servira finalement à rien, puisque cette fameuse découverte ne sera jamais révélée.
    En résumé, 45 premières minutes prometteuses, mais les 45 suivantes sont décevantes, diffiilement supportables par leur cruauté et sans grand intérêt.
    C'est pas le film du siècle!! Juste un film sympa sans grande réfléxion.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 novembre 2012
    Je n'ai jamais tremblé devant un film d'épouvante la raison étant que je me complais très bien dans ces ambiances glauques et que le gore à tendance à me faire rire tant il est bien souvent exagéré à outrance.
    Pour vous situer, je n'ai pas réussi à regarder ce film jusqu'au bout ! Le seul film que j'ai vu de toute ma vie qui ait réussi à me faire tourner la tête et donner la nausée... Vraiment absolument infecte, tant dans les images que dans sa psychologie.

    Je l'ai tout de même regardé une seconde fois (je savais alors à quoi m'attendre).
    Le dénouement est intéressant et l'histoire n'est pas sans intrigue accrocheuse, vraiment, je pense qu'il s'agit d'un bon film au final, les acteurs sont vraiment très bons (ce qui ajoute encore plus de réalisme à ces scènes déjà épouvantablement réalistes) et on peut compter sur de nombreux rebondissements. Martyrs passe du paranormal à l'ultraréalisme dérangeant de façon intelligente mais incroyable inssoutenable !! A regarder si vous avez le coeur bien accroché et n'êtes pas trop "empathique" sinon vous souffrirez autant que les personnages du film... Je vous le garrantis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 novembre 2012
    Film choc, dégueulasse pour le côté gore / torture mais surtout dérangeant vis à vis de ce qui se passe dans la tête des bourreaux... Malheureusement, je pense qu'à notre époque, il y a des choses cachées bien pires que ce qui est présenté dans ce film...Je ne connaissais pas Morjana Alaoui, elle joue formidablement bien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Ce film est tout simplement horrible. Violence gratuite pas vraiment soutenable!
    Jan F
    Jan F

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2012
    aussi fascinant et addictif qu'un tour en grand huit hyper-rapide, à condition d'être soi-même suffisamment voyeur et cruel. Le film repose sur ce prétexte : nous faire ressentir la souffrance absolue, celle qui pousse la victime au-delà de la mort et qui permet de la transfiguration en martyr. D'où un grosse dose de mystique de monoprix, des effets spéciaux un peu goth, et tous les ingrédients des films-qui-font-peur : trognes horrifiques, fantômes, agonies qui n'en finissent pas, bourreaux très méchants, bruits effrayants, violence illimitée, sang, sang, sang, des baquets de sang... et des propos qui se veulent subversifs sur les milieux de notables qui se paient des victimes pour assouvir leurs désirs. Tout y passe, tout, comme si le but était de faire le film gore culte de la décennie.
    Facile dans le propos, mais intéressant dans le traitement des séquences et le côté graphique.
    Dropben
    Dropben

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 novembre 2012
    Le film se décompose en deux parties, la 1ère qui ressemble à un film d'horreur de série B rempli de clichés et franchement très mal jouée, et la 2ème où l'histoire commence, mais qui se résume à un enchainement d'actes violents. Tout ceci aurait pu tenir la route, la fin étant certe de très mauvais gout mais on comprends enfin ou le scénariste veut en venir, mais c'est mal ficelé on s'ennui dans un 1er temps puis on s'interroge devant des actes de barbarie... ok, à oublier
    DeSaintJean
    DeSaintJean

    4 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    La mise en scène est sophistiqué, l'intrigue ne faiblit que rarement, l'interprétation des filles est remarquable mais la violence finit par devenir éprouvante. A voir jusqu'à la fin et surtout ne pas lâcher en cours de route !
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    Je ne suis absolument pas fan des films d'horreur, et n'étant pas masochiste, comme je le proclame au frontispice de ces critiques, je ne vais que très rarement partager le plaisir glauque des ados et des ados attardés venus déguster leur dose hebdomadaire dératisations et de scénarios inconséquents. Pourtant, la diversité des critiques ("une telle intensité baroque, crépusculaire, explosant sans temps mort...", selon Libé, et "l'ineptie d'un scénario prétentieux aux relents misogyno-religieux", d'après Paris-Match), les tergiversations de la commission de classification des films (qui l'avait d'abord condamné au néant distributionnel en l'interdisant aux moins de 18 ans), et l'interview du réalisateur sur le site Oh my gore ! m'ont convaincu de fsurmonter mes réticences habituelles.

    La première scène nous montre une petite fille ensanglantée et en sous-vêtements qui pousse une porte métallique, filmée par une caméra portée, et qui se met à courir dehors, comme Kim Phuc fuyant le village de Trang-Bang. Puis un film super-8 tourné par les médecins qui ont recueilli Lucie, qui la montre refusant tout contact avec les autres enfants de l'institution, avant qu'elle n'accepte la protection d'Anna. On découvre alors que le film est projeté à Anna pour qu'elle aide les policiers qui enquêtent en vain pour retrouver les tortionnaires de son amie.

    Après une scène dans leur chambre où Lucie sent une présence maléfique, et qui contient déjà toute la panoplie du genre (grincements métalliques, voix d'outre-tombe, montage syncopé et décadrages brutaux), on se retrouve quinze ans plus tard, avec une scène qui nous rejoue parodiquement l'ouverture du film : une porte s'ouvre, une petite fille court en hurlant... avant d'être rattrapée par son frère qui veut récupérer ce qu'elle lui a piqué, morte de rire. Suit un petit déjeuner familial joué (intentionnellement ?) avec autant de légèreté qu'un best-off d'Hélène et les Garçons, avant que la quiétude dominicale ne soit troublée par la sonnerie de l'entrée. Le père descend, ouvre la porte, et se trouve face à une Lucie encagoulée qui lui tire dessus à bout portant.

    Je raconte ce début de film, car il montre une conception élaborée, tant du point de vue du scénario que de la mise en scène, nettement supérieure à l'à peu près de rigueur dans bien des films du genre, comme "Sheitan" ou "[Rec]". Le scénario notamment révèle bien des surprises : histoire de vengeance de prime abord, puis un glissement à la "Psychose" vers la schizophrénie (la créature que voit Lucie est-elle réelle ?), avant de basculer encore deux fois dans des univers différents, localisés de plus en plus profondément, symbole d'une descente aux enfers (le premier film de Pascal Laugier ne s'appelait-il pas "Quatrième sous-sol" ?).

    Selon Pascal Laugier, "Martyrs" est "un film qui annonce une mauvaise nouvelle. Quelque chose comme"Le Monde est Mort". C'est un film malade. Peut-être même une maladie parvenue à son stade terminal. Il me semble impensable, en ce moment, de faire des films légers et optimistes. L'idée même m'écoeure". De nombreux critiques ont violemment critiqué le réalisme et la répétitions des tortures infligées à ses personnages, parlant de "prétexte à peine voilé pour se rincer l'oeil et assouvir au passage quelques fantasmes sadiques". L'accusation me semble injuste, car cette intention morale que revendique le réalisateur se voit dans son travail : le plus insupportable n'est pas tant la violence infligée aux victimes, mais bien l'organisation dépassionnée et bureaucratiquesdes bourreaux.

    Plus contestable est sans doute sa caractérisation du sujet comme la réponse à l'interrogation : "au bout, tout au bout de la violence, est-ce qu'il y a quelque chose ?", et cela explique sans doute les reproches de prétention. Ainsi, tout le discours sur les martyrs débité par une sosie bouffie de Simone de Beauvoir, sorte de New Age inversé, frise le ridicule. D'ailleurs, tous les passages dialogués sonnent faux, ce qui justifie encore plus la définition de Pascal Laugier du jeu attendu d'un acteur de film d'horreur : "C'est dur d'être juste quand le film ne repose pas sur le dialogue, sur le "bon mot", mais sur des actions simples comme marcher dans la rue, ouvrir une porte, etc..."

    De ce point de vue, les deux actrices qui portent le film s'en sortent différemment. Mylène Jampanoï insuffle une véritable énergie à son personnage, évoquant dans ses bons comme ses mauvais aspects l'Isabelle Adjani de "Possession". Loin de la bougeoise casablancaise de "Marock", Morjana Alaoui réussit à imposer à la fois sa densité et sa fragilité dans ce rôle où elle s'est tant investie (trois fractures et six semaines d'hôpital !). Notons aussi que ce film a été le dernier de Benoît Lestang, le maquilleur et concepteursdes diverses créatures.

    Grâce à un scénario habilement ficelé et une réalisation soignée, Pascal Laugier parvient à proposer un film qui marquera probablement l'histoire du genre en France, et qui suscitera sans doute chez les spectateurs des réactions aussi contrastées que celles de la critique.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    ce film est une veritable claque!une sensation physique organique de la douleur physique on aime ou pa
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Un des meilleurs films d'horreur ? Oh que oui.
    "Martyrs" est un chef d'oeuvre, qui arrive à ne jamais tomber dans la caricature ou dans le tout gore. C'est aussi un film intelligent, qui a un vrai but : montrer la folie des êtres humains. Les dix dernières minutes sont choquantes, non dans le sens des images mais plus dans le contenu. On se dit "tout ça pour... ça".
    "Martyrs" ne lésine pas au niveau des passages d'horreur visuel : l'écorchement à vif, le casque incrusté dans la tête, les taillades un peu partout sur le corps, les coups de fusil et bien sûr la fameuse femme (qui fait vraiment froid dans le dos, surtout quand on connait son passé). L'ambiance est elle aussi effrayante, l'absence de musique favorise ce point. On se sent oppressé, mal.
    Les actrices sont excellentes, surtout la sublime Morjana Alaoui qui signe un rôle proche de la perfection.
    "Martyrs" est un des meilleurs films d'horreur, à regarder d'urgence. Un classique !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 octobre 2012
    gros film choc et bien réalisé. on pas l'habitude de voir des trucs qui vont si loin mais il faut dire que celui dépasse tout. Ca veut pas dire que le film n 'est pas bon au contraire. Il est bien réalisé et les images sont prenantes ainsi que l 'hisoire qui est pas mal. Ca aurait quand même pu être un peu moins trash surtout à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 octobre 2012
    WOUAH ! Quelle claque ! Ce film est tout simplement génial ! Un bon scénario, un très bon jeu d’acteur, de la peur, un message général et une fin qui donnent à réfléchir : bref une merveille !
    El Wray
    El Wray

    58 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2013
    "Faut se laisser aller, je crois." Petite fille, Lucie a été séquestrée et maltraitée. Quinze ans plus tard, croyant avoir retrouvé ses agresseurs, une famille en apparence ordinaire, elle sonne à leur porte et bute tout le monde. Son amie Anna la rejoint sur les lieux du crime et mesure l'ampleur de la situation tout en exprimant, paniquée, sa perplexité vis-à-vis de la culpabilité de ces pauvres gens. Les choses prendront ensuite une tournure inattendue... Il était évident qu'un tel film soulèverait une polémique. Et ça, Pascal Laugier en avait conscience, pas une seconde il n'a rêvé à un accueil globalement chaleureux. Que voulez-vous, les spectateurs sont trop habitués à ce qu'on les caresse dans le sens du poil - y compris les glabres -, d'ailleurs les films d'horreur les plus connus du grand public ne sont-ils pas également les plus drôles, les plus légers ? Ce sont bien ceux-là qui banalisent la violence et la transforment en une source de gags certes pas toujours déplaisants (moi-même je prends plaisir devant cette connerie de "Destination finale", ou bien "Piranha 3D", ou encore le dyptique "Hostel"). Ici, Pascal Laugier (un français, youpi !) prend le parti de rendre cette violence détestable à tous points de vue, et ainsi frapper le spectateur de plein fouet. De ce fait, "Martyrs" n'est pas véritablement immoral, en tout cas nettement moins que les divertissements comico-gore évoqués plus hauts et qui pourtant ne dérangent personne. Non, ça n'est pas indécent dans la mesure où l'intention est clairement de choquer, de faire mal sans chercher à embellir ou comiquifier la violence (autant le dire tout de suite, le mot "comiquifier" n'existe pas, donc inutile de déranger ton dictionnaire confortablement installé dans l'étagère). Ici, on la voit telle qu'elle est vraiment, atroce et repoussante, et ça n'est ni drôle ni beau. Bien entendu, Laugier ne limite pas son oeuvre à cet unique désir d'écoeurement, qui sans qualité formelle ou narrative serait juste vain et malsain. "Martyrs" est en effet un brillant exercice de cinéma, qui parvient, pardonnez ma grossièreté, à nous foutre la gerbe tout en nous scotchant à l'écran, absorbés, hypnotisés par la force des images et le jeu criant de vérité des actrices principales. Une contradiction, un paradoxe, un miracle. C'est donc avant tout en tant qu'expérience émotionnelle viscérale que doit être vécu ce film, et non comme une démonstration gratuite de la violence, car le propos est en vérité plus subtil. Avec sa structure novatrice (notamment par le changement soudain de protagoniste), son absence de manichéisme et son scénario anti-conventionnel, "Martyrs" peut se vanter de se situer, sur le fond, bien au-delà du simple film de genre. Soulignons entre autres le caractère atypique des tortionnaires, loin des clichés du psychopathe excentrique : nous avons ici affaire à des gens en apparence normaux, bien sapés, ultra-organisés et disposant de moyens financiers importants. Ils exercent leurs tortures froidement, comme s'il s'agissait de rituels, de simples corvées à remplir (attitude étrange qui nous est magistralement expliquée à la fin). Dieu que c'est troublant, tellement plus affreux qu'un banal malade mental ! Mais bien que "Martyrs" soit déjà redoutable sur le papier, l'impact n'aurait pas été aussi fort sans le génie de la mise en scène. Peu dialoguée et rarement accompagnée de musique (Laugier opte plus souvent pour un brouillard sonore oppressant), cette plongée en huis-clos dans la souffrance s'avère d'autant plus difficile à supporter que son réalisme est à la limite de l'insoutenable, que ce soit dans la puissance de l'interprétation ou la réussite des maquillages de Lestang. Pourtant, le plus dérangeant dans "Martyrs", ce ne sont pas les séquences de torture et de meurtres, si atroces soient-elles, car la puissance narrative finit par surpasser la puissance visuelle, celle qui nous a déjà sonnés sans réserve pendant 1h30 ; je fais bien sûr allusion à la révélation finale, ce twist redoutable qui nous expose, en s'appuyant ingénieusement sur l'étymologie du mot "martyr", la perversité démentielle dont peut faire preuve l'être humain spoiler: dans la religion comme dans la science, afin repousser les limites du savoir
    . A ce moment précis du film, on a presque envie de dégueuler. Certains trouveront sans doute ce dénouement tiré par les cheveux, et pourtant, en y réfléchissant bien et en considérant avec un minimum d'attention certains aspects de la société actuelle, il est tout ce qu'il y a de plausible. Beaucoup de sceptiques (ou devrais-je dire "esprits étroits qui crachent sur ce qu'ils ne comprennent pas") s'interrogent sur la visée de ce métrage, pourtant la réponse est si simple : heurter le spectateur dans son confort habituel, montrer la violence et la cruauté pour mieux les lui faire haïr. Quand, en plus, c'est fait avec un tel talent, il n'est d'autre choix que de crier au chef-d'oeuvre. Et puis il n'y a pas de mal à être un peu secoués de temps en temps dans notre quotidien si dénué de sentiments... Pas vrai ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2012
    je ne m'attendais pas du tout à ça. très lugubre, noir, sombre j'en ai eu des frissons. le film ne nous lâche pas du début à la fin.
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