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Shelby77
163 abonnés
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1,0
Publiée le 22 octobre 2016
Critique de "Martyrs". Waow j'ai enfin ce chef-d'oeuvre qu'est "Martyrs" et j'ai été martyrisé par sa médiocrité. Si ce film avait pour but principal dégoûter les spectateurs bravo c'est réussi. Enlevez la violence dégagée et les images insoutenables de ce films, il ne reste pas grand-chose. Le synopsis est une grosse arnaque car il ne prend qu'une petite partie du film. Que dire des acteurs ? A part la protagoniste qu'on suit jusqu'à la fin , les autres personnages n'ont aucune crédibilité. Martyrs devait dégager un message profond et nous envoyer à un autre degré de lecture que le spectacle insoutenable. Alors que la justification de tels actes de sauvageries ne tient pas la route une seule. Ce film a été une expérience douloureuse pour moi à oublier très vite. 1/5
Film sans aucun intérêt, j'ai perdu 1h30, le pire c'est que c'est à la fin du film qu'on apprend le "pourquoi" du film et en plus pas de réponse à cette question!
Ca fait des mois, voire des années que je repoussais le visionnage de ce film. Il faut dire que tout ce que j'en avais entendu me rendait un peu frileux. Et puis ce soir, j'ai finalement pris mon courage à 2 mains et je me suis lancé. J'en ai vu des films d'horreur dans ma vie, mais là... oh, pu-rée! En fait, j'imagine bien une bande d'adolescents se dire qu'ils vont aller se marrer au cinoche en regardant un film d'horreur, tomber sur celui-ci, et au bout de même pas 5 minutes : silence de mort dans la salle, plus personne rigole. Là, c'est du sérieux, c'est du glauque, c'est du malsain, bref c'est un film d'horreur pour les purs et durs. C'est le genre de film, tu en ressors sans voix. D'ailleurs, je ne sais pas trop quoi dire, je n'ai en rien l'envie de divulguer la moindre parcelle du scénario pour que tous ceux qui le verront un jour se gardent la surprise totale. Ca va tellement à l'encontre de tout. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Ce film, ça n'est pas une claque, c'est un gros coup de poing dans ta face!
Déconcertant, Martyrs, qui semble amoncelé trois courts métrages sans véritable connexion, apparaît comme une œuvre horrifique différente. Cassant les codes du genre le long métrage insère une dimension fantastique, mystique et religieuse dans des phénomènes post traumatiques réels et violents. Connecté au concept de pré-mort, état précis où la victime voit la vie après la mort, et la monopolisation de tous les secteurs par les riches organisations, Martyrs, très difficile a regarder, mélange les genres. Malgré tout le metteur en scène semble se perdre dans son message, part dans trop de directions différentes, et signe finalement un film vide de sens, à cause d'un esprit trop brouillon. Martyrs reste incontestablement impressionnant soulevant des concepts religieux, scientifiques, métaphysiques, éthiques et politiques.
Si l'idée de départ pouvait s'avérer intéressante, ce Martyrs s'enlise dans une bêtise affolante ponctuée de scènes d'une violence et d'une cruauté extrêmes. Un navet nauséeux. On n'abordera même pas la linéarité artificielle du scénario, le mauvais jeu des actrices, la complaisance du récit mais surtout la stupidité de ce scénario horrifique sur fond de commérages pseudo-mystiques.
Chef d’œuvre, très originale et histoire très captivante. Bravo à ce réalisateur FRANÇAIS qui a également réalisé le merveilleux ghostland on ne peut qu’être fière de notre patrie. Vive la France vive pascal launier
Rares sont les films d'horreur français qui m'ont marqué et "Martyrs" en fait définitivement partie! Psychologiquement éprouvant et traumatisant, il ne vous laissera pas insensible. C'est sombre, malsain à souhait, dérangeant, brutal et j'en passe. Les acteurs sont très bons (Mention spéciale à Mylène Jampanoï et sa beauté sauvage), le scénario est des plus intéressants avec ses twists surprenants. Un film qui marque. Un chef-d'oeuvre d'une rare intensité.
Ne vous attendez pas à avoir peur dans ce film, ce n'est pas le but. L'idée du film, qui ne comporte quasi aucun scénario sinon un semblant d'explication gratuite (pour justifier) à la fin, est tout simplement de montrer de l'ultra violence aussi près que possible, avec un déferlement d'actes de tortures et de tueries plus gores les uns que les autres. Vous prenez du sang, des coups, de la peau, des viscères plein la figure pendant 1h40. Certains quittent la salle au fur et à mesure du film, sans doute trop aspergés. Bref, un film d'horreur comme les français savent le faire, c-a-d sans nuances, sans limites, sans scénario, pour le seul plaisir de montrer tout. A part les amateurs décérébrés du genre et le réalisateur (à enfermer?), on préfèrera les bons films d'horreur US ou asiat, qui reposent au moins sur un scénario et sur des bases solides (religion, histoire, mythes, etc.). A EVITER !
Après un Saint Ange inégal, empreint des cinémas espagnol et japonais, le réalisateur français Pascal Laugier s'attèle à l'œuvre d'un film pour le moins original mais sans réel synopsis ; l'histoire d'une fille, ayant été enlevée dans sa jeunesse et ayant réussi à s'échapper, retrouve ses agresseurs et sonne à la peur... Ni plus ni moins. La surprise est donc à son comble après quelques teasers intrigants. La surprise, puis la claque et l'émerveillement, Laugier recréant littéralement le cinéma de genre français... Gore, terriblement violent, dérangeant parfois, émouvant à d'autres moments, Martyrs surprend indéniablement. Pourtant, ça n'est pas parce qu'il y a du sang que c'est un film d'horreur. Ça n'est pas parce que c'est gore que c'est est une énième tentative française de faire du torture-porn influencée par Saw et consorts. Et ce n'est pas parce le début du film se passe tel que décrit dans le synopsis que c'est une histoire de vengeance. Martyrs est une œuvre unique, à part entière, totalement maîtrisée par son créateur et littéralement habitée d'un réalisme surprenant. Une claque donc. Un nouveau départ pour le film de genre. Une réflexion. Une simple réflexion sur un mot. L'interprétation est juste (pas un seul débordement), la réalisation exemplaire (Laugier fait preuve d'un savoir-faire méticuleux et d'une simplicité monstrueuse), les maquillages réalistes et le scénario hallucinant de réflexion et de créativité. Les décors sont des acteurs à part entière, baignant dans une ambiance froide, glacée, étouffante. La fin est tout simplement majestueuse et originale. Bravo M. Laugier, vous avez tenu votre pari (surprendre) et vous rejoignez les maitres du genre.
"Martyrs" ou l'une des plus grosses claques que j'ai prise au cinéma. Je me souviens parfaitement être sorti complètement éprouvé de ce film. Pascal Laugier nous plonge dans un univers malsain au possible et d'un glauque à toute épreuve. Autant la première partie est passionnante et angoissante quoique déjà difficile à supporter sans sourciller mais alors passée l'heure de métrage, la violence gratuite devient absolument insupportable et la torture est autant physique que psychologique pour le spectateur. C'est l'une des très rare fois où j'ai failli sortir avant la fin de la séance tellement j'étais mal à l'aise et la déception fut grande lorsque intervint l'épilogue inattendu mais surtout frôlant le ridicule. J'étais persuadé de ne plus jamais le revoir et pourtant je l'ai retenté afin d'avoir un avis moins tranché et peut être également plus honnête car s'il est vrai que les scènes gores et de tortures sont insoutenables, il faut bien reconnaitre que le réalisateur atteint le but souhaité, à savoir choquer, voire dégouter. On ne peut nier non plus que les interprétations de Mylène Jampanoï et Morjana Alaoui sont époustouflantes et que le scénario bien que tordu au possible est plutôt intelligent. Alors oui, c'est à déconseiller aux âmes sensibles voire même plus mais dans le cinéma de genre on a tout de même rarement vu aussi extrême et il est clair que la réalisation, notamment en terme de maquillage, est excellente. Je ne sais toujours pas dire si j'aime ou non ce "Martyrs" mais il ne peut laisser indifférent et il marque clairement et durablement les esprits, de ce point de vue au moins il est réussi. Quand on aime le genre, il faut vraiment l'avoir vu au moins une fois, à ses risques et périls ...
Honnêtement, je n'ai pas aimé ! Si j'ai mis 1/5, c'est uniquement pour la bonne prestation des deux actrices principales : Morjana Alaoui et Mylène Jampanoï. En fait, ce que j'ai détesté dans ce film français, c'est tout simplement la tournure que prend le scénario (même si c'est inattendu) : spoiler: l'histoire est divisée en deux parties ; autant la première à réussie à me maintenir en haleine grâce à son suspens mais la seconde qui n'a plus pour thème la vengeance mais plutôt l'Au-delà ne m'a pas convaincue . Martyrs est aussi un film très très gore, même trop gore (même si généralement ils sont mauvais, il ne faut pas sous-estimer les films d'horreurs français sur ce niveau là ; je dois même avouer que je l'ai regardé avec les dents serrées) car les scènes de torture, de violence, où il y a beaucoup de sang n'apportent pas grand chose à l'histoire. Bref, au lieu de faire un long-métrage aussi gore, aussi malsain, ils auraient dû faire un thriller psychologique avec une ambiance angoissante. Il y a un dernier détail qui est commun à presque tout les films français du genre (Ils, À l'Intérieur, Promenons-nous dans les Bois ect...) que je souhaiterais évoquer : ce sont les dialogues qui sont pourris voire parfois inexistants. À ne pas regarder à table et à ne pas tenter de regarder si vous êtes fragiles en voyant ce genre de long-métrages (il aurait dû garder son interdiction aux moins de 18 ans selon moi) !
Alors oui, il est extrêmement violent et assez dur à regarder, mais contrairement à la plupart des films d'horreur récent qui n'ont pour but que d'effrayer, on a ici la terreur avec une critique scientifique derrière. Et tout le côté graphique avec le maquillage est assez surprenant et bien réalisé. Ce n'est pas trop mon genre de film, mais il m'a effrayé et fait réfléchir, et pour un film d'épouvante c'est parfait. Bravo Laugier et les actrices parfaites, surtout la deuxième partie avec la descente aux enfers d'une des deux héroïnes.
Ce film est bien un film français = Too much , scénario improbable , une morale à gros sabots , des tartines de violence inutiles et gratuites , des longueurs loooonnguuues ( certaines scènes durent plusieurs minutes sans qu on ne comprenne pourquoi ) , aucune subtilité . Le dernier sévice que subit la fille m a fait éclater de rire tellement c était gros alors que ce n ' était pas précisément le but .... .Bref un film pour ados grotesque par ses excès avec l intention poussive de faire dans le gore , sans aucune subtilité ou finesse psychologique .Tellement grossier et convenu que ça n ' a plus aucun effet . Regardez le film " the girl next door" qui est mille fois plus dérangeant , choquant inquiétant alors que toutes les scènes de torture sont seulement suggérées . Un film pour ados , parce qu il n y a ue les ados pour etre impressionnés par une violence gratuite et sans aucun but , par un scénario baclé , par des scènes de torture de deux ados qui se veulent marquantes mais qui sont en fait grotesques avec un coté voyeuriste et sexualisé qui leur est destiné , par une mystique à deux balles mylenefarmerienne destinée à des esprits faibles et enfin par un film mal filmé mal réalisé , dont les 3 /4 des scènes ressemblent techniquement à un telefilm de TF1 . D ailleurs, la plupart des posteurs qui défendent ce film sont des ados . Il n y a pas de hasard .Bref un film pourri avec un réalisateur attardé .
Sensible ? Passez votre chemin. Martyrs est un film structuré sur la souffrance, et on y est dés le début du film. Ce dernier est complet, tant par l'histoire que par les plots-twist que je trouve excellent bien amené. Le jeu des actrices principales est correct (on va dire que ce n'est pas ça qui va valoir sa bonne note au film, mais c'est plus que passable disons), la fin est mystérieuse et laisse au spectateur le choix. Il y a t-il vraiment quelque chose après la mort ?
La critique a créé une attente, une perspective à l'échelle de ma déception. Le découpage du film en une multiplicité des genres, et ses conclusions, me laisse témoin d'une recherche qui n'aboutira jamais. Le trauma d'ouverture accélère l'amusement du jeu et reste la partie la plus réussit. Les jonctions laissent s'engouffrer le sujet vers une conclusion qui ne peut qu'être hâtive. Comme pour The Secret (2012), Laugier n'est perfectionniste que dans ses ouvertures.