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Votre avis sur La Planète des singes ?
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Dommage que l'énormité de certaines incohérences rendent l'histoire très peu vraisemblable. Cependant, repositionnée dans son époque, La Planète des Singes apporte tout de même quelques éléments de réflexion sur la condition de l'homme (religion, évolution, tolérance, etc.), éléments que l'on peut certes trouvés naïfs aujourd'hui.
Caine78
Évidemment, cela ne fait pas tout à fait le même effet lorsque vous venez de lire le roman de Pierre Boulle quelques jours auparavant. Et pourtant... Je trouve même, d'une certaine façon, qu'ils sont très complémentaires. L'un n'a pas forcément les qualités de l'autre, et vice-versa. L'essentiel étant clairement que Michael Wilson et Rod « La Quatrième Dimension » Serling aient fait un travail d'adaptation absolument remarquable, changeant énormément de choses vis-à-vis du livre, presque toujours avec succès. Ce n'est pas que c'est mieux ou moins bien : juste différent, ces choix se révélant toujours cohérents avec l'univers créé pour l'occasion. On y perd peut-être un peu en profondeur, notamment dans cette logique du « grand remplacement » simien, ou encore cette idée que les singes ne font, ni plus ni moins (voire moins), ce que nous faisons à de nombreuses espèces animales sur la Terre, le personnage de Nova étant ici plus décoratif qu'autre chose. Mais y gagnons aussi en efficacité, en action, ce qui était presque obligatoire, le récit original en proposant finalement très peu
spoiler:
(la « chasse à l'homme » exceptée)
. En définitive, seule la structure globale et l'esprit de l'auteur sont réellement respectées, ce qui était évidemment l'essentiel, donnant presque l'impression d'une œuvre originale, dont on ne connaîtrait l'histoire que très partiellement, ce qui ne peut être que le signe d'une adaptation réussie. Pas mal de modifications également du côté des protagonistes, et notamment du héros, presque romantique dans le roman, ici doté d'un cynisme assez dingue pour l'époque, interprété par un Charlton Heston monstrueux de présence et de charisme, plutôt bien entouré par une troupe d'acteurs dont le maquillage saisissant a marqué l'Histoire de la science-fiction. Quant au dénouement, on le connaît depuis par cœur, difficile, donc, de vraiment s'en émouvoir, mais force est de reconnaître, encore aujourd'hui, qu'il a de la gueule. Franklin J. Schaffner est à mon sens un cinéaste très sous-estimé, cette « Planète des singes » étant, certes, son plus grand fait d'armes (du moins commercial), mais dont la carrière, de façon générale, serait grandement à redécouvrir et à réévaluer.
. En définitive, seule la structure globale et l'esprit de l'auteur sont réellement respectées, ce qui était évidemment l'essentiel, donnant presque l'impression d'une œuvre originale, dont on ne connaîtrait l'histoire que très partiellement, ce qui ne peut être que le signe d'une adaptation réussie. Pas mal de modifications également du côté des protagonistes, et notamment du héros, presque romantique dans le roman, ici doté d'un cynisme assez dingue pour l'époque, interprété par un Charlton Heston monstrueux de présence et de charisme, plutôt bien entouré par une troupe d'acteurs dont le maquillage saisissant a marqué l'Histoire de la science-fiction. Quant au dénouement, on le connaît depuis par cœur, difficile, donc, de vraiment s'en émouvoir, mais force est de reconnaître, encore aujourd'hui, qu'il a de la gueule. Franklin J. Schaffner est à mon sens un cinéaste très sous-estimé, cette « Planète des singes » étant, certes, son plus grand fait d'armes (du moins commercial), mais dont la carrière, de façon générale, serait grandement à redécouvrir et à réévaluer.
GyzmoCA
La planète des singes premier du nom est une référence dans le monde de la science fiction. Franklin J. Schafffner, réalisateur de Papillon et Patton, adapte l'oeuvre de Pierre Boule à l'aide d'un scénario initié par le créateur de la quatrième dimension et c'est une grande réussite.Charlton Heston est convaincant dans le rôle principal et participe à une fin mythique, une des plus mythiques de l'histoire du cinéma. A voir et à revoir.
Premier film d’une saga devenue culte, un chef d’œuvre du septième art. Merveilleux et éternel !
Film culte de 1968, "La planète des Singes" de Franklin ner restera le chef d’œuvre de la saga. Certes il a pris un certain coup de vieux ( en même temps il date de 1968 donc bon ), certes les masques de singes sont presque ridicules ( j'insiste sur le "presque" ) mais ce n'est pas pour autant qu'il en deviens nul ! Sa mise en scène est toujours aussi efficace, que ce soit les costumes ou les décors ( autant intérieurs qu'extérieurs ) qui livrent au film un aspect esthétique tout à fait remarquable. On prend du plaisir à contempler les décors de la civilisation singe, tout comme on prend du plaisir à contempler les superbes paysages ( notamment au début du film, quand les trois astronautes débarquent ). L'interprétation est elle aussi à louer avec un Charlton Heston magistral, qui porte sur ses épaules toute la haine du monde. "Haine du monde" oui, car ne nous y trompons pas, le film est incontestablement une œuvre engagée ( Schaffner ayant modifiée la fin ) contre la guerre froide à une période où la guerre nucléaire n'a jamais été aussi proche. La réalisation est excellent également, avec de nombreux plans dignes des plus grands chefs d’œuvres ( en même temps c'en est un ) tel que le procès ou encore la scène dans la grotte. La réalisation quand à elle est si efficace que le suspens est maintenue jusqu'au bout, en nous révélant plusieurs indices ( la poupée ) qui déboucheront sur une scène finale magistrale, et l'une des plus grandes du cinéma ( la caméra qui voit tout d"abord le visage de Charlton Heston se décomposer, puis la caméra qui se baisse petit à petit pour que l'on finisse par voir la couronne de la célèbre statue, tout bonnement jouissif ! ). Bref, un chef d’œuvre dont la fin est une des plus belles du 7éme art.
Cinéphiles 44
La Planète des Singes de Franklin J. Schaffner est le premier film du roman de Pierre Boulle. Réalisé en 1968, on sait que plus tard, le roman sera multiplement adapté. L’histoire débute comme un film de science-fiction, où l’équipe de l’engin spatial Icare traverse le temps et l’espace et s’écrase en le 25 novembre 3978 sur une planète qu’ils vont devoir découvrir. La musique inquiétante et les décors désertiques instaurent un climat de suspense et lorsque la vie se montre, La Planète des Singes prend une tournure effrayante. Le réalisateur fait avancer son scénario dans plusieurs genres très bien maîtrisés. Jamais la dernière partie, où les singes parlent, n’est synonyme de comédie. Bien au contraire, les chimpanzés sont le reflet d’une civilisation qui juge de façon permanente, le reflet de l’Homme, de nous. Si le réalisateur prend des libertés par rapport au roman sur la fin, elle n’en est pas moins impressionnante de subtilité. Alors que La Planète des Singes est un divertissement, il est également un film sur l’absurdité de notre monde et la tolérance.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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La Planète des Singes (1968) de F.J. Schaefner avec C. Heston, R. Macdowell
L’année 1968 fut un grand cru pour la science-fiction au cinéma, Stanley Kubrick adapta le roman 2001, L’odyssée de l’espace de Arthur C. Clarke. Puis il y eu l’adaptation de la nouvelle « La Planète des singes »du français Pierre Boule. Toute la magie du film vient du dénouement final qui diffère totalement de l’œuvre originale. Dans le livre, des astronautes français de XXVIème siècle débarquent sur une planète dirigée par les singes, où l’homme n’est qu’un animal primitif. Pour quelqu’un qui n’a jamais vu le film, on pourrait croire qu’il en est de même pour le colonel Taylor (Charlton Heston) et ses acolytes dans le film, excepté le fait qu’ils sont ricains et qu’ils viennent du XXème siècle. Un film culte avec une fin en suspend qui ne l’est pas moins (bonjour Madame Liberté !!! on bronze sur la plage ?!). Un très grand souvenir lors de mon premier visionnage dans les années 80. Une très belle restauration pour la sortie Blu-Ray niveau son et image
L’année 1968 fut un grand cru pour la science-fiction au cinéma, Stanley Kubrick adapta le roman 2001, L’odyssée de l’espace de Arthur C. Clarke. Puis il y eu l’adaptation de la nouvelle « La Planète des singes »du français Pierre Boule. Toute la magie du film vient du dénouement final qui diffère totalement de l’œuvre originale. Dans le livre, des astronautes français de XXVIème siècle débarquent sur une planète dirigée par les singes, où l’homme n’est qu’un animal primitif. Pour quelqu’un qui n’a jamais vu le film, on pourrait croire qu’il en est de même pour le colonel Taylor (Charlton Heston) et ses acolytes dans le film, excepté le fait qu’ils sont ricains et qu’ils viennent du XXème siècle. Un film culte avec une fin en suspend qui ne l’est pas moins (bonjour Madame Liberté !!! on bronze sur la plage ?!). Un très grand souvenir lors de mon premier visionnage dans les années 80. Une très belle restauration pour la sortie Blu-Ray niveau son et image
Superbe !! Très grand film !! Extremement interessant à tous les points de vue ... j'adore !! A voir absolument !!
🎬 RENGER 📼
Après s’être égarée dans l’espace-temps, une navette spatiale américaine s’écrase sur une planète inconnue. Les astronautes vont rapidement découvrir qu’ils ne sont pas seuls. Elle est peuplée d’humains primitifs et de singes très évolués.
Il s’agit ici de la toute première adaptation du roman éponyme de Pierre Boulle, qui sera suivie d’une flopée de suites (4 pour être précis, entre 1970 & 1973). Le succès est tel, que deux séries verront le jour (l’une en prise de vues réelles, de 14 épisodes en 1974 et l’autre, en animation, de 13 épisodes en 1975). Il faudra attendre plus de 30ans pour qu’un remake voit le jour en 2001, suivi d’une nouvelle saga (on en compte 3 actuellement, entre 2011 & 2017).
A la réalisation de ce premier volet, on retrouve Franklin J. Schaffner (Papillon - 1973) qui offre un magnifique premier rôle à Charlton Heston (Ben-Hur - 1959). La première chose qui frappe ici, c’est la facilité avec laquelle le film nous tient en haleine jusqu’au dénouement final spoiler: (quand le héros découvre qu’en réalité, il est sur Terre (et non sur une planète inconnue), devenue méconnaissable car détruite par les guerres humaines et réappropriée par les singes)
. Le réalisateur nous offre une vision spectaculaire et peu rassurante de notre avenir où les singes sont devenus civilisés en l’absence des hommes. Ils sont donc devenus la race supérieure, quand les rares humains restants ont été relégué au rang inférieur, redevenus primitif et considérés comme des animaux.
Une œuvre intrigante, intelligente et brillante, tant dans ses propos que dans sa mise en scène. Une œuvre visuellement bluffante, magnifiée par ses décors en extérieur et bien évidemment, ses superbes make-up simiesques qui vaudront à John Chambers de se voir couronné d’un Oscar.
Ce premier opus est rapidement devenu un succès d’où ses nombreuses suites qui n’ont pas tardé à voir le jour. Rapidement devenue une œuvre de référence en matière de science-fiction (40ans après, on continue toujours et encore d’en faire des adaptations), un classique de la Sci-Fi, intemporel et qui nous subjugue avec toujours la même ferveur.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Il s’agit ici de la toute première adaptation du roman éponyme de Pierre Boulle, qui sera suivie d’une flopée de suites (4 pour être précis, entre 1970 & 1973). Le succès est tel, que deux séries verront le jour (l’une en prise de vues réelles, de 14 épisodes en 1974 et l’autre, en animation, de 13 épisodes en 1975). Il faudra attendre plus de 30ans pour qu’un remake voit le jour en 2001, suivi d’une nouvelle saga (on en compte 3 actuellement, entre 2011 & 2017).
A la réalisation de ce premier volet, on retrouve Franklin J. Schaffner (Papillon - 1973) qui offre un magnifique premier rôle à Charlton Heston (Ben-Hur - 1959). La première chose qui frappe ici, c’est la facilité avec laquelle le film nous tient en haleine jusqu’au dénouement final spoiler: (quand le héros découvre qu’en réalité, il est sur Terre (et non sur une planète inconnue), devenue méconnaissable car détruite par les guerres humaines et réappropriée par les singes)
. Le réalisateur nous offre une vision spectaculaire et peu rassurante de notre avenir où les singes sont devenus civilisés en l’absence des hommes. Ils sont donc devenus la race supérieure, quand les rares humains restants ont été relégué au rang inférieur, redevenus primitif et considérés comme des animaux.
Une œuvre intrigante, intelligente et brillante, tant dans ses propos que dans sa mise en scène. Une œuvre visuellement bluffante, magnifiée par ses décors en extérieur et bien évidemment, ses superbes make-up simiesques qui vaudront à John Chambers de se voir couronné d’un Oscar.
Ce premier opus est rapidement devenu un succès d’où ses nombreuses suites qui n’ont pas tardé à voir le jour. Rapidement devenue une œuvre de référence en matière de science-fiction (40ans après, on continue toujours et encore d’en faire des adaptations), un classique de la Sci-Fi, intemporel et qui nous subjugue avec toujours la même ferveur.
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Julien D
Même si la vue de ces singes qui parlent un anglais parfait à de quoi laissé dubitatif, on se doit de reconnaitre d’inégalable qualité de ce chef d’œuvre de la science-fiction. La réussite de cette première (et de loin la meilleure) adaptation du roman de Pierre Boulle est due, d'une part, à la confrontation entre Charlton Heston, dans un de ses plus grands rôles, et des créatures que le maquillage rend impressionnants et qui, aujourd'hui, seraient remplacés par de ridicules avatars numériques, et, d'autre part, à la façon très intelligente dont est retourné la sacro-sainte idée de la supériorité de la race humaine sur la nature. Il s'agit donc d'un excellent pamphlet philosophique dont l'image finale est inoubliable.
Une référence ! Ce film a 45 ans et il n'a pas vieilli du tout et qui nous fait toujours réfléchir. La scène finale est restée dans la mémoire collective comme une des plus marquante du cinéma. Charlton Heston y est impérial.
Cette adaptation d'un roman du français Pierre Boulle est un classique du cinéma de science-fiction. Perdu dans l'espace, un vaisseau spatial américain s'écrase sur une planète inconnue en l'an 3978. Les astronautes vont petit à petit découvrir que non seulement la planète abrite la vie mais surtout que les grands singes en sont l'espèce dominante et les humains une sous-race qualifiés d'"animaux".. En plus de ses effets et maquillages révolutionnaires pour l'époque, "La planète des singes" est remarquable pour son scénario ambitieux offrant un effet miroir sur la nature humaine : les primates ont construit leur propre civilisation, évoluée sur bien des points
spoiler:
(leur rapport avec la nature, des inventions comme l'appareil photo, le langage)
mais comme les hommes en retard sur d'autres spoiler: (par exemple la science et la religion ne sont pas séparées, comme c'était le cas avant que des hommes comme Galilée ne fassent des découvertes majeures)
. Ils refusent d'accorder aux hommes le titre de singe en vertu du "droit simien" et s'en servent de cobayes de laboratoires, alors que dans la réalité c'est exactement l'inverse.. Le film offre ainsi une profonde réflexion sur la nature humaine et sur les ravages qu'elle peut engendrer (la scène finale du film reste l'un des twists les plus célèbres de toute l'histoire du cinéma et est parfaitement ancrée dans un contexte de Guerre froide et donc de menace nucléaire). Pour un budget (minuscule) de 5,7 millions, le film réussit à nous emporter en nous offrant de somptueux décors désertiques spoiler: (la scène où l'on voit les astronautes marcher pendant plus de 10 minutes traduit le gigantisme de la planète)
et des masques de singes très convaincants. La bande-originale du film est percutante et dérangeante, elle colle à merveille à l'univers déshumanisé du film. Attention chef-d’œuvre..
mais comme les hommes en retard sur d'autres spoiler: (par exemple la science et la religion ne sont pas séparées, comme c'était le cas avant que des hommes comme Galilée ne fassent des découvertes majeures)
. Ils refusent d'accorder aux hommes le titre de singe en vertu du "droit simien" et s'en servent de cobayes de laboratoires, alors que dans la réalité c'est exactement l'inverse.. Le film offre ainsi une profonde réflexion sur la nature humaine et sur les ravages qu'elle peut engendrer (la scène finale du film reste l'un des twists les plus célèbres de toute l'histoire du cinéma et est parfaitement ancrée dans un contexte de Guerre froide et donc de menace nucléaire). Pour un budget (minuscule) de 5,7 millions, le film réussit à nous emporter en nous offrant de somptueux décors désertiques spoiler: (la scène où l'on voit les astronautes marcher pendant plus de 10 minutes traduit le gigantisme de la planète)
et des masques de singes très convaincants. La bande-originale du film est percutante et dérangeante, elle colle à merveille à l'univers déshumanisé du film. Attention chef-d’œuvre..
selenie
Un film de SF original, avant-gardiste (pour l'époque) et mené à la perfection (quel défaut ?!). Charlton Heston charismatique et un scénario malin quinous offre une des plus belles fins du cinéma... Chef d'oeuvre absolu de la SF.
La planète des singes, un véritable classique du septième art qui, datant quand même de 1967, n'a pas vieillit ! C'est assez paradoxal de voir que les projets les plus ambitieux et les plus risqués sont ceux qui marchent le mieux et sont ceux dont on se souvient le plus ( cf. Star Wars, Les dents de la mer ... ) et La planète des singes est dans ce cas. Parti de rien, ce film va quand même faire un véritable carton jusqu'à devenir cultissime : l'histoire est tout simplement passionnante et originalement intelligente, les maquillages des singes sont bien sûr d'une grande qualité et Charlton Heston trouve ici pour moi son meilleur rôle. Doté d'une histoire qui a de l'ampleur, ce film fera l'objet de nombreuses suites et remakes mais il restera facilement le meilleur de tous. La planète des singes restera un chef-d'oeuvre de la science-fiction ponctué par une fin mythique !
Un chef d'oeuvre. Je l'ai vu recemment, je connaissais malheureusement la fin bien avant de voir le film (merci l'affiche du film) mais au delà de ça, ce film est d'une grande qualité et critique habilement ce qu'était (est?) le monde durant la guerre froide. Un vrai symbole !
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