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    Les Dents de la Mer
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    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2012
    Des effets spéciaux vieillissant, mais une intensité dramatique rarement égalé et un scénario impeccable empêchent ce chef d’œuvre de prendre la moindre ride...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    Un grand classique de Spielberg désormais vieillissant en termes d'effets spéciaux qui ne finit pas de surprendre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    Qautre ans aprés "Duel", qui montrait déjà l'étendue du potentiel du cinéaste le plus bankable de tous les temps, Steven Spielberg revenait (en force et en forme) avec "Les dents de la mer". Véritable passionné pour la culture cinéphilique, le maestro aura sur son passage, à titre indicatif, populariser l'un des inspecteurs les plus influents de la télévision : Columbo. Dire que la contribution de Spielberg est moindre, serait insulter une grande partie de l'héritage qu'il laisse au séptiéme art. A la sauce Hitchcockienne, Spielberg suggére la peur plus qu'il ne la dévoile et laisse planer le suspense, l'angoisse et la terreur dans chacun de ses plans, sans ne jamais brusquer les événements. Pourtant issu d'un tournage chaotique, où maints conflits naissérent et la maniabilité du requin mécanique contestable, "Les dents de la mer" s'en est vaillament sorti. Sa notoriété n'a céssé de croitre de jour en jour, d'année en année, de décennie en décennie, pour devenir l'un des cultes les plus incontournables de l'histoire. La mise en scéne est une démonstration de virtuosité, qui fait pâlir les amateurs dés la scéne d'ouverture. Telle une menace fantômatique, le requin rôde mais ne se dévoile jamais. Aussi, quand une jeune fille téméraire se glisse dans les eaux tiédes de la mer en pleine mer, elle est loin de s'imaginer ce qui l'a guette sous les calmes vagues. Et pourtant...inoubliable, ce prologue laissera à lui seul une trace, si bien que de nombreux vacanciers la joueront moins opportunistes quand il s'agira de profiter de la chaleur de l'été pour se rafraichir. Découpé en plusieurs parties, "Jaws" ne souffre d'aucune lenteur rythmique narrative et s'oriente, plan aprés plan, vers une solution d'apparence déséspérée. Les autorités locales, malgré l'insistance de Roy Scheider (impeccable) chef de police, ne prendront aucune décision hâtive afin de ne pas bousculer les enjeux économiques de l'été (dont le jour de l'indépendance qui se prépare). L'argent est roi, la stupidité des hommes pointée du doigt. Mais aprés diverses attaques meurtriéres d'un certain solitaire, ces rustres mangeurs de dollars finiront par capituler. Apprennant enfin le sens du mot "responsable", le maire finira par déclarer la chasse ouverte. Voilà donc qu'un océanographe (Richard Dreyfuss), un chasseur de requins cynique et pittoresque (Robert Shaw) et notre chef Brody feront équipe dans l'intérêt économique et vital de cette plage touristique. L'Orca, petit chalutier que l'on a bien du mal à voir supporter les assaults successifs du predateur, va conduire notre petite équipe vers la taniére du monstre. Aprés de multiples stratagémes, idées vagabondes et tentatives épuisées, arriveront-ils à s'en débarasser ? Steven Spielberg n'oublie pas de joncher son récit d'indications autour des protagonistes. Aussi, on sait d'où ressort l'excentricité caracterielle de Quint et ce qui l'améne à s'auto congratuler, de même que certains mettront leurs peurs de côté pour leur survie. L'instinct primaire prend le dessus. Tels des requins, les hommes se lévent de leur torpeur et agissent. L'ensemble est brillament orchestré par John Williams qui signe une bande originale aussi cultissime que le sont les notes de Carpenter ("La nuit des masques") lors de chaque extrait précédant l'arrivée du requin. Steven Spielberg, entouré d'une équipe impliquée, offre une légende du cinéma avec "Les dents de la mer" et devint le réalisateur d'époque le plus adulé. Comme quoi, l'horreur râllie les égos. Merci Spielby.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 novembre 2012
    Le film entier est un ramassis de clichés, rien n'est cohérent. Du Spielberg tout craché.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2019
    Steven Spielberg réalise son deuxième long métrage pour le cinéma avec « les dents de la mer ». On peut être étonné d’une telle maîtrise pour un quasi débutant mais le choc que constitua « Duel » quatre ans auparavant donnait déjà une sérieuse indication sur les possibilités du jeune homme qui entre temps avait fourbi ses armes à la télévision, notamment sur le pilote de la série "Columbo". C’est une riche idée qu’ont eu les producteurs Richard D. Zanuck et David Brown d’acheter les droits d’adaptation du livre éponyme de Peter Benchley sorti en 1974. Le projet ébauché, Steven Spielberg est vite entré dans la partie. Le tournage fut chaotique notamment à cause d’un conflit avec le syndicat des techniciens de plateaux et des difficultés rencontrées avec le requin géant mécanique peu maniable. Grand admirateur d’Hitchcock, alors encore en activité, Spielberg calque un peu sur « Jaws », les ressorts dramatiques déjà éprouvés avec succès pour « Duel ». Si le camion a été remplacé par un requin, et l’automobiliste craintif de la vitesse par un garde côte développant une phobie pour l’eau, le simple mano à mano de « Duel » a été enrichi d’autres personnages qui donnent à « Jaws » une toute autre dimension, notamment au niveau des moyens de production. La grande leçon du maître Hitchcock que met immédiatement à l’œuvre Spielberg, est que la peur n’est jamais aussi grande que lorsque le danger est suggéré plutôt qu’exposé crûment. C’est sans doute pour cette raison que les imperfections très visibles de l’animation du requin mécanique nuisent peu à la réussite du suspense. Le trop sous-estimé Jacques Tourneur avait fourni une superbe démonstration de l’efficacité du procédé en 1942 avec « La féline » où l’on ne voit jamais la panthère autrement que par des jeux d’ombres portées. Fort de toute cette science, Spielberg filme une scène d’ouverture inoubliable où le requin à l’œuvre sur sa première victime est omniprésent alors que jamais présent à l’écran. L’effet sera tel que tous ceux qui prendront leurs vacances au bord de la mer les années suivantes auront une petite pointe d’angoisse dès que leurs pieds ne toucheront plus le sol. La première partie du film expose clairement la lenteur des autorités à prendre la mesure du drame qui se joue sous prétexte des fameux enjeux économiques qu’il ne faut surtout jamais mettre en péril au pays de l’argent roi. Il faudra quelques attaques bien sanglantes pour que la raison finisse par l’emporter. L’entêtement du maire joué par un sublimement huileux Murray Hamilton aura des conséquences bien plus néfastes que celles qu’auraient engendré une attitude responsable. Depuis les mœurs politiques ont un peu évolué sous la pression des médias omniprésents, sombrant parfois dans un recours au principe de précaution à la limite du ridicule. Spielberg saupoudre cette première partie de tous les ingrédients utiles pour nous faire agréablement patienter avant l’affrontement final qu’il a su habilement nous mettre en bouche avec les présentations pittoresques de Quint le chasseur de requins (Robert Shaw), sorte de capitaine Achab ayant lui aussi un compte à régler avec une partie de la faune aquatique et de Matt Hooper, le jeune scientifique (Richard Dreyfuss) chargé d’équilibrer la très forte charge émotionnelle mise par Quint et Brody (Roy Scheider) dans la capture du monstre. Chauffé à blanc, le spectateur peut embarquer à bord de l’Orca pour l’assaut final. Cette seconde partie un peu plus convenue est sans doute un petit ton en dessous de la première. Chacun des trois protagonistes a ses propres motivations pour venir à bout du grand blanc. Quint, le plus impliqué, nous explique lors d’un court répit accordé par la bête comment présent à bord du croiseur Indianapolis pendant la Deuxième Guerre Mondiale il a assisté au massacre de tous ses coéquipiers par des squales affamés après que leur navire a fait naufrage. C’est une lutte à mort qu’il entend livrer, une lutte qu’il aurait aimé mener seul. Contre leur gré, il va donc entraîner les deux autres dans un combat suicidaire que Spielberg teinte d’un léger parfum de fantastique. Sans doute mort vivant depuis le massacre auquel il assista, Quint rejoindra ses frères d’armes dans la gueule du requin mettant fin à un traumatisme des rescapés qu’il n’a jamais pu dépasser. Plus réjouissant et conforme à l’optimisme de rigueur après une telle frayeur, Brody aura lui surmonté sa peur de l’eau. Tout ceci reste quand même cher payé la leçon de natation ! On ne peut pas conclure sans rappeler l’apport essentiel de John Williams dont la musique précédant l’arrivée du requin est désormais aussi célèbre que celle de Bernard Herman pour la mythique scène de douche de « Psychose ». C’est la précocité de Spielberg qui frappe le plus concernant « les dents de la mer ». Hitchcock qui avait connu des débuts plus laborieux en éprouva une certaine jalousie refusant de recevoir son jeune collègue sur le tournage de « Family Plot ». Comme quoi le monde des réalisateurs est fait aussi de petites bassesses
    belo28
    belo28

    70 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Une économie de moyens qui rend le film incroyablement intemporel et surtout créatif! Jamais un temps mort et des trouvailles autant visuelles que scénaristique sont légion! Interprétés par des comédiens avec une conviction rare pour ce genre de film! Définitivement un des grands moments du cinéma américain des années 70! INCONTOURNABLE!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 août 2012
    Un must dans le genre ! Le film qui ouvrit la voie à de nombreux films d'épouvante sans tomber dans le gore ou la lourdeur..je dirais même : un best sellers !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 août 2012
    Ce film est une légende, aucun ne le surpasse dans le même genre !
    ForestEnt
    ForestEnt

    2 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2012
    Un précurseur. Ca a été depuis refait un millier de fois. Pourtant, ça se laisse revoir 40 ans après. Ca prouve talent et créativité.
    Dex et le cinéma
    Dex et le cinéma

    685 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2015
    Spielberg signe avec talent un film est incroyablement stressant. Les séquences réalisées par le maître, le tout sur la musique de John Williams sur ce requin monstrueux sont superbement réalisées ! Malgré la ridicule mode des années 70 , le film na pas du tout vieillit. Il contient quelques scènes mémorables( je parle bien sur de l'attaque où on voit pour la première fois le requin). un grand film qui a marqué d'une pierre blanche l'histoire des blockbusters et du cinéma !
    Jean G.
    Jean G.

    30 abonnés 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2012
    Sang, suspens, surprise, ennui. Un coktail pas trop mal mais qui manque de goût, de scénario. Mais pour un sujet comme celui-là l'histoire ne peut pas aller bien loin non plus...
    Kalie
    Kalie

    61 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2012
    Meilleur film de prédateur dans l'histoire du cinéma, c'est à la fois un film catastrophe, d'horreur, de suspense etc. Il est parsemé de scènes spectaculaires, fortes en émotions notamment lors des attaques. Ces scènes sont filmées souvent en contre-plongées qui épousent le point de vue du requin. Soutenu par la célèbre musique de John Williams, le résultat est encore plus terrifiant. En ne montrant pas tout ce qui se passe sous l'eau, le réalisateur fait travailler l'imagination du spectateur à plein régime. La chasse au requin dans la seconde partie du film reste pour moi un summum du cinéma. Certaines scènes sont inoubliables. Par exemple lorsqu'en appâtant à l'arrière du bateau, le shérif Brody voit la gueule du squale surgir des eaux sous son nez. En sueur, il recule vers la cabine et dit d'une voix tremblante au capitaine que le bateau lui paraît trop petit !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 août 2012
    souvent copié mais jamais égalé !!! un film certes qui date mais a ce jour il reste le meilleur dans le genre !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 août 2012
    Je n'ai jamais compris pourquoi ce film est reconnu comme un des films les plus effrayants possibles: on se fait chier pendant les deux heures du film car le réalisateur à l'idée génial de nous faire encore une fois son drame débile de la famille qui est triste pour je ne sais quelle raison. Et dans tout ça, les scènes d'attaque du requin sont trop peu nombreuses (environ cinq en tout!). Les effets spéciaux sont dépassés tout comme le jeu d'acteur. Pourquoi avoir mit trois étoiles alors? Car le film malgré tout ses mauvais points arrive à nous effrayer de l'eau grâce notamment à la musique culte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 août 2012
    Si la première partie pleine d'angoisse et d'horreur m'a séduit, la deuxième qui se résume à la chasse un peu moins; on perd en suspense et en tension et le film se ramollit, dommage... Mais le film n'en reste pas moins d'une qualité indéniable !
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