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Votre avis sur Les Dents de la Mer ?
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Troisième long-métrage pour Steven Spielberg, "Les dents de le mer" est également le tout premier blockbuster, un film qui a marqué les esprits et même l'histoire du cinéma. Se plonger dans ce film, c'est étudier la naissance du cinéma Spielberg, un cinéma qui bercera plusieurs générations et qui révolutionnera la production cinématographique. "Les dents de la mer", c'est un film à la maîtrise technique et visuelle impressionnante, une oeuvre qui sait jouer avec nos peurs et nos attentes pour nous surprendre et nous transporter. Voir ce long-métrage, c'est aussi bien entendu faire l'expérience de la superbe bande originale de John Williams, assurément l'une des plus marquantes du septième art. Ce film est également porté par un trio d'acteurs inoubliable, à savoir Roy Scheider, Robert Shaw et Richard Dreyfus, qui sont tout simplement parfaits. Comment ne pas évoquer également la superbe scène d'introduction ou ne pas mentionner toutes les répliques cultes qui jalonnent le long-métrage. "Les dents de la mer" c'est tout ça et en même temps tellement plus, un film certes imparfait, mais surtout un classique impérissable doublé d'une oeuvre culte indémodable et indispensable.
Nicothrash
Unique film d'épouvante du maître Spielberg à ce jour, "Les Dents de la Mer" marquera durablement les esprits et contribuera même malheureusement à la mauvaise réputation du requin de manière générale. A l'heure d'aujourd'hui, les effets spéciaux restent encore assez impressionnants et d'autant plus que la CGI n'existaient pas à l'époque, tout n'était que trucages et maquettes à l'image de "Star Wars" deux ans plus tard, le résultat est pourtant plus que probant et Spielberg démontrait déjà toute son aisance à la mise en scène derrière la caméra. En effet, sans parler de l'affrontement avec le monstrueux grand blanc en pleine mer, il ne montre jamais grand chose finalement avant ça, tout ou presque est suggéré et cette bande-son géniale n'accentue que trop bien l'angoisse ambiante et de tous les instants. "Les Dents de la Mer" premier du nom deviendra clairement un maître-étalon dans le genre et de nombreuses productions en découleront directement avec un schéma narratif souvent semblable, à savoir le garant d'une plage faisant passer son intérêt pécuniaire avant le risque encouru des vacanciers. Bref, cette petite pépite a gardé toute sa force et reste toujours aujourd'hui l'un des plus angoissant et réussi film d'épouvante.
Nyns
Steven Spielberg au début de sa carrière frappe un grand coup avec ce Jaws au milieu des années 70. Le requin tueur est devenu culte et l'horreur qu'il a véhiculée avec. C'est surtout l'utilisation du code sonore quand il intervient tout dans la suggestion, voire presque du réflexe de Pavlov maintenant, qui a fait de ses attaques sanguinaires de purs moments de frissons, authentiques à l'époque, nostalgiques aujourd'hui j'imagine. Il fonctionne encore parfaitement pour la forme, concernant le message un peu moins, écologie oblige... Désormais j'ose espérer que l'on trouverait dommage de se focaliser sur l'aspect purement carnassier et l’instinct assassin du squale, quand on sait aujourd'hui que n'importe quel prédateur s'attaquant à l'homme est souvent à cause de ce dernier... Bel remise en cause de la vision encore une fois raté, de l'emprise de l'homme sur l'animal. M'enfin, c'est une autre époque, et finalement ce film a le mérite d'avoir très bien vieilli visuellement, grâce à un savoir faire Spielbergien tout à fait minutieux, minimaliste, mais très efficace. La dernière partie donne le véritable mal de mer. Bon le requin ne fait plus du tout vrai on est d'accord, mais ça passe autant que les premiers Star Wars dans la mesure ou cela participe au mythe, attachant et sympathique. Après Duel, Spielberg instaure le blockbuster grand spectacle qui deviendra sa marque de fabrique, avant de finalement basculer complétement dans le cinéma grand public, grand spectacle et familial.
J'aime vraiment bien les films de cette époque là (1975 - 1985) quand ils sont bien filmés : ils ont un charme indéfinissable qu'on arrive plus à vraiment reproduire, même quand on essaye, un peu comme les artistes qui essayent de refaire du funk ou de la disco maintenant et qui n'arrivent jamais à reproduire le véritable son de l'époque. Quelques exemples de films qui sont dans ce cas là : Shining évidemment, Taxi Driver, Poltergeist, ou justement ce Jaws. La dernière fois que je l'ai vu, c'était il y a au moins 25 ou 30 ans (ça ne nous rajeunit pas tout ça), mais je ne me souvenais vraiment pas que c'était si bien filmé, avec des plans pareils. Au delà de ça, ce qui fait la force de ce film, c'est son rythme : il a eu beau durer 2 heures, je n'ai pas vu le temps passer. Seul bémol pour moi : la musique. En effet, si la musique d'angoisse est vraiment très réussie, il y a une deuxième musique que l'on entend par moments, beaucoup plus guillerette, et qui m'a un peu gâché le film. C'est d'ailleurs un type de musique typique des films de ces années là (et plus particulièrement des films de Spielberg) et qui me gâche souvent les films. Ici, on y a droit par exemple lorsque l'un de nos héros tire au harpon sur le requin et commence à le poursuivre : on est en plein dans l'action, il est censé y avoir de la tension, alors pourquoi mettre cette musique guillerette ?
Bref, ne boudons pas notre plaisir : très bon film!
Bref, ne boudons pas notre plaisir : très bon film!
HamsterPsycho
Un monument du thriller et de l'horreur et le seul à avoir exploité le potentiel horrifique des squales (hormis le récent the shallows qui se voulait d'ailleurs une sorte d'hommage). Même si les effets spéciaux ont bien évidemment vieilli, le propos et la réalisation gardent leur puissance.
Tout, absolument tout est parfait dans ce film. Le meilleur film de requin, 40 ans après ça sortie il reste inégalable. Spielberg est un génie. Les acteurs sont fascinants surtout Robert Shaw en vieux loup de mer solitaire. Un pur bonheur.
un bon film aventure et horreur qui mélange bien les 2 même si ce film ne fait pas particulièrement peut voir pas du tous . Le problème de ce film c'est qu'il a fait croire au gens du monde entier que les requins attaquer les gens juste comme alors que c'est totalement faux les requins n'attaque pratiquement jamais les hommes car ll est allergique à notre chaire . et il faut le rappeler ! un caméo de Steven Spielberg très furtif mais très bien venue .
Autrefois ayant vu ce film petit, je peux dire que mon avis n'a pas changé en le regardant de nouveau hier soir. Il représente pour moi l'un des meilleurs thrillers de Steven Spielberg. Le film est présenté tel une poésie qui mêle à la fois horreur et humour. On prend plaisir à voir cette chasse au requin prenant l'aspect d'un vrai moment de plaisir et nous dévoile ainsi les merveilles de l'univers maritime. Le requin bien qu'ayant pris quelques rides est une pure réussite. Cet animatronique de plus de 7 mètres montre que les effets pratiques ont beaucoup plus de talents que les effets numériques comme quoi les anciens trucages étaient les meilleures, ainsi que les prises avec un vrai requin sont très bien réalisées laissant ainsi paraître la magie du trucage. Le trio Roy Sheider en chef de la police, Robert Shaw en loup de mer et Richard Dreyfuss en scientifique océanographe explosent le niveau de leur préstation qui est pour moi bien plus qu'excellente. Ainsi cette oeuvre met à l'épreuve l'Homme face à une force de la nature dans un milieu qui lui paraît vaste et inconnu mais qui est néanmoins dangereux et inadapté pour celui ci.
Génial , un film qui nous surprends du début à la fin ,des personnages attachants et Papa Steven ♥. Impossible de s'endormir devant .coup de dent♥ !
Sympathique sans plus ce film de Spielberg disons que c'est un film pop corn (à ne pas renverser si on le visionne en 3D). Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Autrefois ayant vu ce film petit, je peux dire que mon avis n'a pas changé en le regardant de nouveau hier soir. Il représente pour moi l'un des meilleurs thrillers de Steven Spielberg. Le film est présenté tel une poésie qui mêle à la fois horreur et humour. On prend plaisir à voir cette chasse au requin prenant l'aspect d'un vrai moment de plaisir et nous dévoile ainsi les merveilles de l'univers maritime. Le requin bien qu'ayant pris quelques rides est une pure réussite. Cet animatronique de plus de 7 mètres montre que les effets pratiques ont beaucoup plus de talents que les effets numériques comme quoi les anciens trucages étaient les meilleures, ainsi que les prises avec un vrai requin sont très bien réalisées laissant ainsi paraître la magie du trucage. Le trio Roy Sheider en chef de la police, Robert Shaw en loup de mer et Richard Dreyfuss en scientifique océanographe explosent le niveau de leur préstation qui est pour moi bien plus qu'excellente. Ainsi cette oeuvre met à l'épreuve l'Homme face à une force de la nature dans un milieu qui lui paraît vaste et inconnu mais qui est néanmoins dangereux et inadapté pour celui ci.
Dans ce film on distingue deux actes: les attaques du requin, puis la traque. On a ici un exemple de film où le suspens est parfaitement mis en scène.
Spielberg décide, au début, de ne pas nous montrer l'assassin, mais seulement la victime qui crie et qui se fait amener sous l'eau. Avant l'attaque, pour ajouter plus de suspens, une musique inquiétante, qui deviendra plus tard culte, est rajoutée ainsi qu'une caméra subjective sur le chasseur. Voilà pourquoi ce film a plu au public, moins on en montre au spectateur, plus il s'imagine les caractéristiques du tueur et plus il est attiré vers le film.
Dans le deuxième acte, on voit enfin le requin et on découvre, petit à petit, sa taille et sa puissance.
Pour faire durer le suspens et ne pas nous ennuyer dans cette longue traque, on retrouve les mêmes éléments qui avaient marché dans "Duel".
Spielberg décide, au début, de ne pas nous montrer l'assassin, mais seulement la victime qui crie et qui se fait amener sous l'eau. Avant l'attaque, pour ajouter plus de suspens, une musique inquiétante, qui deviendra plus tard culte, est rajoutée ainsi qu'une caméra subjective sur le chasseur. Voilà pourquoi ce film a plu au public, moins on en montre au spectateur, plus il s'imagine les caractéristiques du tueur et plus il est attiré vers le film.
Dans le deuxième acte, on voit enfin le requin et on découvre, petit à petit, sa taille et sa puissance.
Pour faire durer le suspens et ne pas nous ennuyer dans cette longue traque, on retrouve les mêmes éléments qui avaient marché dans "Duel".
Depuis, j'ai peur des requins à tort 😃
Ou comment donnant la frousse en ne montrant pas grand chose et en laissant germer la graine de la peur dans les tête des spectateurs.
Ou comment donnant la frousse en ne montrant pas grand chose et en laissant germer la graine de la peur dans les tête des spectateurs.
Yannickcinéphile
Gros classique, Les Dents de la mer, premier du nom, est un excellent film de monstre, qui garde toujours autant ses qualités, notamment pour susciter la peur.
L’intérêt majeur du film est en effet d’être réellement angoissant. Distillant quelques effets horrifiques toujours top (notamment dans le final), le métrage montre peu le requin, mais chacune de ses apparitions est mémorable, et la tension et le suspens sont savamment entretenus par un réalisateur au top, qui parvient toujours à avoir l’idée choc pour marquer son spectateur (sur la plage bondée par exemple). Peu spectaculaire a priori, malgré quelques séquences impressionnantes, Les Dents de la mer est entièrement porté par un rythme très fluide, des idées entrées dans les « lieux communs » du genre tant elles furent reprises, et par une capacité à laisser penser du début à la fin que le requin, délicieusement sadique, peut aussi bien perdre que gagner.
Doté d’une mise en scène rigoureuse, d’un cadre judicieusement choisi, et ménageant avec une rare intelligence ses effets horrifiques, Les Dents de la mer est très peu critiquable sur la forme, avec, en sus, une bande son entrée dans la légende. Pour ma part, ce Jaws est la preuve qu’avec un budget somme toute réduit, et sans effets numériques outranciers, il est tout à fait possible de créer un film luxueux et puissant.
Le casting est convaincant. Ce n’est peut-être pas l’argument massue du film, mais honnêtement, difficile de ne pas trouver logique un Robert Shaw en Quint, un Richard Dreyfuss en savant, et un Roy Scheider en sheriff. Très bon choix au final, avec des acteurs à la hauteur, et quelques seconds rôles délicieusement piquant, notamment le fameux maire. Murray Hamilton était loin de se douter que son personnage allait devenir probablement le type le plus connu du cinéma catastrophe, c’est-à-dire le maire totalement débile prêt à tout pour sauver la fête de la courgette ou du hareng saur, même à braver les pires catastrophes.
Je ne m’étendrai pas outre mesure sur Les Dents de la mer, car il est dur de ne pas répéter ce qui a déjà pu être dit à son sujet. Excellent métrage, j’aurai plutôt eu tendance à lui donner un 4.5, notamment par le caractère un peu redondant du scénario, dans la première patrie, mais surtout car certaines scènes sentent le déjà-vu. Mais en vérité, c’est parce que depuis Jaws énormément de films l’ont copié, et pas forcément pour le mieux. Aussi, je me dois quand même de donner 5.
L’intérêt majeur du film est en effet d’être réellement angoissant. Distillant quelques effets horrifiques toujours top (notamment dans le final), le métrage montre peu le requin, mais chacune de ses apparitions est mémorable, et la tension et le suspens sont savamment entretenus par un réalisateur au top, qui parvient toujours à avoir l’idée choc pour marquer son spectateur (sur la plage bondée par exemple). Peu spectaculaire a priori, malgré quelques séquences impressionnantes, Les Dents de la mer est entièrement porté par un rythme très fluide, des idées entrées dans les « lieux communs » du genre tant elles furent reprises, et par une capacité à laisser penser du début à la fin que le requin, délicieusement sadique, peut aussi bien perdre que gagner.
Doté d’une mise en scène rigoureuse, d’un cadre judicieusement choisi, et ménageant avec une rare intelligence ses effets horrifiques, Les Dents de la mer est très peu critiquable sur la forme, avec, en sus, une bande son entrée dans la légende. Pour ma part, ce Jaws est la preuve qu’avec un budget somme toute réduit, et sans effets numériques outranciers, il est tout à fait possible de créer un film luxueux et puissant.
Le casting est convaincant. Ce n’est peut-être pas l’argument massue du film, mais honnêtement, difficile de ne pas trouver logique un Robert Shaw en Quint, un Richard Dreyfuss en savant, et un Roy Scheider en sheriff. Très bon choix au final, avec des acteurs à la hauteur, et quelques seconds rôles délicieusement piquant, notamment le fameux maire. Murray Hamilton était loin de se douter que son personnage allait devenir probablement le type le plus connu du cinéma catastrophe, c’est-à-dire le maire totalement débile prêt à tout pour sauver la fête de la courgette ou du hareng saur, même à braver les pires catastrophes.
Je ne m’étendrai pas outre mesure sur Les Dents de la mer, car il est dur de ne pas répéter ce qui a déjà pu être dit à son sujet. Excellent métrage, j’aurai plutôt eu tendance à lui donner un 4.5, notamment par le caractère un peu redondant du scénario, dans la première patrie, mais surtout car certaines scènes sentent le déjà-vu. Mais en vérité, c’est parce que depuis Jaws énormément de films l’ont copié, et pas forcément pour le mieux. Aussi, je me dois quand même de donner 5.
Je vénère ce film un peu comme une bible, je ne souhaite participer à aucune guerre sainte, à chacun son interprétation.
Le requin est un animal fascinant, la tragédie de l'indianapolis s'est réellement produite et l'explosion de la bombe atomique le 6 et 9 Août 1945 au Japon également...ce film est un livre d'histoire.
Le requin est un animal fascinant, la tragédie de l'indianapolis s'est réellement produite et l'explosion de la bombe atomique le 6 et 9 Août 1945 au Japon également...ce film est un livre d'histoire.
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