Généralement étant enfant, on passe par les films les plus douillets aux films les plus matures. Moi, pour Spielberg, je suis passer de E.T à Jaws. Il faut se dire que ce film as quand même près de 40 ans, et que malgré c'est âge honorable, étant jeune il nous fera toujours sursauter. Petite anecdote ( qui n'intéresse personne, mais je l'expose quand même ) : Lorsque je l'ai regarder pour la première fois, quand il y a le plan sur Schneider qui balance la pâté et qu'un sillon de sang commence à se créer et qu'à ce moment la tête du squale monstrueux crève la surface de la mer lisse, j'ai sursauter de peur. Parce qu'on ne s'y attendait pas du tout. 12 ans plus tard, mon cousin de huit ans, regarde Jaws pour la première fois à mes côtés. Quand le requin apparaît de nouveau en ouvrant une gueule hérissée de dents triangulaires, mon cousin sursaute de peur. Voilà. La dose de peur injecter dans ce film n'est pas énormissime, mais suffisant pour obtenir une réaction évidente chez le ( jeune ) spectateur. Attention, je ne dit pas que ce film est pour les enfants ( Il est sorti, déconseiller au -12 ) ce que je veux dire, c'est que malgré l'âge, le frisson de la peur du requin est toujours subsistant. C'est le second film de Spielberg après Duel, qui était très bon, et vous pouvez déjà remarquer les points communs entre ces deux film. Ceci est l'histoire d'un homme pourchasser par un camion en plein désert, tandis que Jaws est l'histoire d'un requin blanc qui terrorise une ville touristique isolée. Le scénario tient sur un postite, il est vrai, mais l'on ne peut reprocher à Spielberg de respecter globalement l'esprit du livre. Quelques petits éléments sont supprimer dans le film, comme l'histoire de l'adultère entre la femme de Brody et Hooper, mais ce n'est pas grave, ça aurait été ennuyeux de l'incorporer dedans. Brody, chef de la brigade d'Amity, responsable de la mort d'un enfant vas donc se lancer à la poursuite du Requin Tueur à l'aide de Matt Hooper ( Remarquablement interpréter par Dreyfuss ) et de Quint, le tueur de requin, incarner par le regretter Robert Shaw.. Ce film expose tout les types de peurs d'un homme, toute ses craintes, et la tension, alimentée par la musique de John Williams, ne fait qu'augmenter à chaque fois qu'un baigneur se jette à l'eau. Le film est très bien réaliser, le requin n'apparaît que peu de fois, ce qui accentue nos idée à propos de sa taille, de son gabarit, et de son visage, car il faut bien attribuer un visage à cet ange de la mort, les personnages sont creusés ( Surtout Quint ) et beaucoup de scènes reste irréprochable dans le souci de transmettre le frisson au spectateur : Je cite bien sur le traveling compensé de Spielberg à un moment clé du film. Dans son ensemble, ce thriller reste une grand oeuvre.