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janisaire
102 abonnés
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3,5
Publiée le 27 novembre 2012
se et une bonne surprise je m'attendais a pire mai pas du tout le scénario et très original les acteur joue bien la réalisation et correcte lse film a le mérite d’être original même si si il sai quelque défaut sai un film a voir.
Virulent constat des mentalités WASP et de la dérive sectaire républicaine (d'où le titre). Kevin Smith frappe fort avec un long métrage âpre et sans concession. Sans manquer d'égratiner le sacro-saint Act Patriot. Les personnages ont chacun leur quart d'heure de misère et aucune partie n'en sort indemne spoiler: (sauf les âmes innocentes telles les enfants). ouf ! La réal' est carré, les interprètes sont investis et la violence est bien distillée. Malgré des monologues messianiques obligés, on ne s'ennuie pas une seconde. A voir !
Film qui critique ouvertement les dérives sectaires et les intégristes catho ainsi que les méthodes brutales de la police. à voir en VOST. Le flim passe par plusieurs genres, mais reste cohérent malgré quelques questions laissées en suspend. Je pense aussi que le film veut dénoncer les mauvais cotés de la constitution des USA ainsi que le Patriot Act...
Oui j'aime Kevin Smith et oui ce film a plein de faiblesses mais un film fait avec conviction et honnêteté sur la dérive continue d'une Amérique perdue dans son puritanisme et sa violence que les années Bush n'ont pas arrangé et où le sacro saint premier amendement laisse la place à toutes les dérives. Une société où internet permet un accès sans limite à la pornographie et où les prêcheurs en tout genre vous promettent les flammes de l'enfer.
Le premier 1/4 d'heure est intéressant, avec le kidnapping de trois jeunes obsédés par une secte intégriste complétement barrée. Sauf que les dits intégristes sont plutôt mou du genoux et qu'il ne se passe pas grand chose. Du coup le film part un peu dans tous les sens, une absence de rythme se fait cruellement ressentir et Kevin Smith peine à surprendre le spectateur. Un film quelconque qui ne restera pas dans les annales.
Assumant pleinement l'horreur, la violence et la noirceur de son récit, Kevin Smith signe un come-back inattendu avec un "Red State" qui - il le sait et nous aussi - est d'ores et déjà son chef-d'oeuvre, empreint de la férocité et de l'indépendance qu'il a toujours désirées. Et Michael Parks est vraiment un putain d'acteur !
Film assez décevant. Le reverand joue son rôle à merveille ainsi que John goodman mais on n'est pas complètement embarqué par le film même si cela fait réfléchir serieusement au sujet des sectes.
Film qui vaut le coup d'oeil, juste pour son engagement, et pour ces messages qu'il veut faire passer. Parce que le reste n'est pas génial. Le fait de passer de genre en genre, tantôt teen-movie, tantôt film d'horreur, tantôt thriller, tantôt action, aurait pu être une bonne idée, mais là ça ne fonctionne que moyennement. En fait ça passe un peu vite, je pense que le problème est là. Le réalisateur n'a pas assez posé les choses. Côté acteur, pour ma part, j'ai trouvé le tout pas mauvais, mais loin d'être convaincant. Mais bon, ce n'était pas un mauvais film en soi, j'ai quand même passé un bon moment.
Mais comment peut on réaliser et produire une MERDE pareille?! Franchement, sans intérêt. Les acteurs sont mauvais, on s'ennuie du début à la fin et certaines scènes ne sont même pas crédibles(ex: le mec armé qui ne tire pas alors qu'on essaie de le tuer...) Bref, ne perdez pas votre temps avec cette daube!
assez captivant mais bien trop court et acteurs pas tous très convaincants... Je pense essentiellement à John Goodman qui ne convient pas du tout à son rôle de flic un peu dépassé par les évènnements. L'ensemble est aussi beaucoup trop court, on a pas le temps de creuser un minimum ce sujet de la religion et la croyance excessive qui donne l'impression à certains d'être des prêcheurs de bonne paroles et le fait que ce film traite sur la religion catholique, chrétienne, est assez intéressant puisqu'on nous assomme avec les mise en garde contre l'islam extrêmiste en oubliant que de l'autre côté et de tous les côtés d'ailleurs, il y a des extrêmes qui ne sont absolument des exemples à suivre et à écouter. Bref, je pense qu'il aurait fallu le développer un peu plus pour rendre le tout très dénonciateur et plus passionnant. Là l'impression globale est que l'on a impression d'un travail bâclé.... pas un mauvais film tout de même!
Un chef d'œuvre ! Sans concession et magnifiquement interprété. Ça commence comme Hostel pour virer vers le siège de la secte de Waco. Ici le fanatisme religieux est blanc et tout aussi terrifiant que lorsqu'il porte une barbe. Une claque.
Kevin Smith, plus habitué aux comédies (Clerks I & II - 1994/2006 , Dogma - 1999 & Zack et Miri font un porno - 2008) change radicalement de registre avec Red State (2011), une satire sociale, véritable pamphlet où, par le biais de trois parties bien distinctes, il y dépeint une Amérique que l’on voit rarement au cinéma. Démarrant tel un banal teen-movie, sans crier gare, il enchaîne ensuite avec un portrait au vitriol d’une secte d’extrémistes religieux comme on n’en voit qu’aux Etats-Unis (très fortement inspiré du révérend Fred Phelps, célèbre pour ses prises de positions extrêmement homophobes et racistes) avant d’y livrer un véritable assaut (clin d’œil volontaire au "siège de Waco " en 1993) tout en prenant soin d’y dénoncer entre autre le "Patriot Act", véritable reflet d’une Amérique prête à tout contre le terrorisme. Budgété à seulement 4 millions de $, cette petite production nous prend aux tripes et ne relâche pas une seule fois notre attention, en grande partie grâce à la mise en scène efficace de Kevin Smith, mais (et surtout) grâce à la distribution où l’on retrouve dans les principaux rôles John Goodman, Michael Parks (magistral dans la peau d’un gourou fondamentalisme religieux ultra-homophobe qui aligne les sermons à rallonge) ou encore Melissa Leo (hélas sous-exploitée). Kevin Smith remonte dans notre estime après le pitoyable Top Cops (2010), en nous offrant un thriller qui dénonce et lève le voile sur des non-dits et en crachant volontairement à la gueule de tous ces extrémistes.