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    Désengagement
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    27 critiques spectateurs

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    Niko0982
    Niko0982

    68 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2008
    C'est dur, très dur de comprendre ce film. On a l'impression que c'est un grand bordel. Mais ce n'est pas le cas du tout. Ca vaut la peine de faire travailler un peu ses méninges.
    m19bg43
    m19bg43

    7 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2008
    Si on aime Amos Gitai....Moi pas...long et ininteressant...plaisant sans doute pour une certaine intelligencia de gauche
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 avril 2008
    Démarrage lent, situations embrouillées. On a du mal à placer les personnages. Puis vient la lumière, la vérité éclate. Ambiguité des sentiments entre les faux frère et soeur, situation trouble parfois. Obligation pour Anna (Juliette Binoche) par décision testamentaire de son père mort à Avignon de retourner chercher sa fille abandonnée dans une colonie de Gaza en pleine période de désengagement. Alors tout s'accélère, engueulades, séances d'entraînement des policiers israéliens, expulsions des colons, destruction totale des lieux abandonnés. Après s'être retrouvées, mère et fille de nouveau séparées par le départ d'un bus de colons expulsés...C'est quelques heures après la projection que l'on remet tout en place pour enfin comprendre les tenants et aboutissants de ce film qui parraît particulièrement confus.Barbara Hendricks assise en tailleur et chantant du Mahler n'est pas à son avantage...
    cristal
    cristal

    181 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2008
    Un train qui se dirige vers Avignon. Un israélien passe devant les compartiments, et demande du tabac à une femme, israélienne elle aussi. Cinq minutes après, ils s'embrassent. Les vitres du couloir sont ouvertes, et l'élan du train laisse passer bruyamment un vent frais. Cette rencontre, magnifique dialogue de l'amour quasiment improvisé, est le point de départ du nouveau film de Amos Gitaï (chouchou du festival de Cannes), et illustre rapidement la suite du film, tout du moins son but. A travers les frontières (à signaler, le train traverse la frontière puisqu'il n'est pas encore à destination, d'où le choix de proposer cette scène comme un point incertain des relations), relier des personnages, des petits drames aux grand drames, rapprocher des gens qui ignorent tout de l'autre. Mais "Désengagement" n'est en aucun cas un film choral. Divisé en deux parties (la première, en France, où l'homme du train fait le deuil de son père avec sa demie-soeur excentrique), Gitaï tente d'organiser un discours de paix, et en dehors de la tension avec la Palestine (magnifiquement esquissée lors d'un vague instant derrière des barbelés), un discours de paix entre tous les pays. S'il rassemble pour l'occasion un casting universel (Juliette Binoche, Hiam Abbass, Jeanne Moreau, Barbara Hendricks) et particulier car il réussit à s'incruster à n'importe quel moment, à n'importe quel endroit avec un naturel saisissant, son mécanisme lui-même touche à l'épure et à la puissance fondée, universel aussi dans sa manière d'aborder le problème de la tension naissante au bord d'un drame personnel. Pour autant, sans lui reprocher sa construction tripartite (la scène d'ouverture dans le train + celle, plus tard, sur la zone de chargement, forment les transitions respectives entre la partie en France et celle en Israël), on pourra vite juger Gitaï sur d'autres choses ; une en particulier : cette France enlaidie qu'il filme comme des toilettes, esquivée dans sa grisaille morne. On pourra vite me ra
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Désengagement, c'est le sentiment que l'on ressent face au film d'Amos Gitaï lorsque le film se finit. La première partie, qui se déroule à Avignon, est d'un terrible ennui, au détour d'une Juliette Binoche nue et magnifique et d'une Barbara Hendricks chantant du Malher en tailleur. La symbolique semble plutôt inaccessible et le rythme est quasi-absent, avec pourtant une structure linéraire plutôt évidente. C'est quand Ana et Uli reviennent dans les colonies que Gitaï se montre plus inspiré, plus intense avec de belles scènes dont la dernière entre un frère et une soeur. On a le sentiment de passer à côté de l'essence de ce film, tellement il accuse de longueurs et de creux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2008
    Un sujet fort mais traité sans un véritable parti pris, il pose juste la caméra pour nous montrer comment ça se passe, ce qui est bien mais je n'ai pas compris l'intéret dans ce cas là de nous montrer autant de chose sur ces personnages, je n'ai pas compris la relation mère-fille, qui est quoi, où, quand, comment, au final on voit les israéliens face au israéliens mais on en sort sans trop quoi en penser ce qui est vraiment dommage
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Le film bien que comprenant des longueurs est une véritable expérience empirique au sens kantien du terme.
    La première partie est marquée par la lourdeur, le cloisonnement, presque la folie. Anna jouée par une remarquable Juliette Binoche est une femme blessée, à la dérive. Sa nonchalance, sa façon de se tenir penchée, de vaciller à tout moment, exprime une fragilité dont le spectateur n'a pas encore les explications.

    Le testament du père, personnage absent mais central, déclenche la seconde partie du film. On comprend qu'Anna est tombé enceinte très jeune et qu'elle n'a du abandonner l'enfant qui aujourd'hui est institutrice dans une colonie à Gaza. Pour des convenances sociales, poussée sans doute par son père, Anna s'est mariée avec un homme qu'elle n'aime pas. Aujourd'hui ce père, lui demande par voie testamentaire de donner à sa fille-en main-propre-l'argent qui lui revient.

    Cette seconde partie se passe sur les terres israéliennes entre les barbelés et les check point. Anna part à la recherche d'une fille qu'elle ne connait pas. En plein désengagement des colonies israélienne, ce voyage est un retour sur ses origines, pour elle qui ne parle pas hébreux.

    Ce désengagement est un déchirement pour la société israélienne. Cette partie filmée presque comme un documentaire nous montre la scission qui excite entre israéliens. Les colons, et les religieux refusent le désengagement. L’armée, elle a le devoir de faire évacuer la zone. Les cris, les chants, les bruits des bulldozers tout cela rend assez fidèlement les difficultés auxquelles est confrontée Israël aujourd’hui. Anna retrouve sa fille dans la colonie, et donne l'impression de s'être retrouvée elle-même, jusqu'au moment jusqu'au moment où elles sont de nouveaux séparées.

    Entre individus et société israélienne, Gitai prend le parti de ne pas choisir. Si le dégagement des uns est une déchirure, il est pour certains une obligation dans une optique optimiste de processus de Paix. Anna elle au cont
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2008
    Je suis fort peu convaincu par la 1ère partie du film en France avec beaucoup de scènes caricaturales. La deuxième partie, située à Gaza, est nettement plus réussie sur un fait d'actualité très récent. On attend forcément mieux d'un réalisateur tel que Amos Gitai, plus à l'aise pour filmer la réalité qu'il connait bien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 avril 2008
    Un film qui vaut le détour pour le scénario et les acteurs..un peu de mal à rentrer dans l'histoire et finalement un moment dramatiquement appréciable .
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2008
    Séduisant dans sa première partie (la séquence dans le train avec la divine Hiam Habbas, les obsèques du père, le jeu décalé de Binoche), le récit s'enlise un peu avec le road-movie dans la bande de Gaza. Voulant brasser les thèmes des crises familiales et politiques, mais ne les traitant que partiellement, Amos Gitai ne retrouve pas force de "Free Zone" mais signe une oeuvre respectable.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 avril 2008
    Des critiques a la base elogieuses nous ont donne envie d'aller voir un film dt le sujet etait interessant.
    Que de longueurs...
    Que de scenes intutiles...
    Amos Guitai souhaite aborder differents themes sans pourt autant en approfondir aucun.
    Film faussement intellectuel.
    Profondement decevant...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 avril 2008
    La première partie du film peut surprendre par son calme (un deuil serein). On peut la trouver un peu longue, mais sa durée me semble nécessaire pour souligner le contraste avec la seconde partie dominée par les chants, les cris et la violence.
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