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    Désengagement
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    2,2
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    27 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Désengagement, c'est le sentiment que l'on ressent face au film d'Amos Gitaï lorsque le film se finit. La première partie, qui se déroule à Avignon, est d'un terrible ennui, au détour d'une Juliette Binoche nue et magnifique et d'une Barbara Hendricks chantant du Malher en tailleur. La symbolique semble plutôt inaccessible et le rythme est quasi-absent, avec pourtant une structure linéraire plutôt évidente. C'est quand Ana et Uli reviennent dans les colonies que Gitaï se montre plus inspiré, plus intense avec de belles scènes dont la dernière entre un frère et une soeur. On a le sentiment de passer à côté de l'essence de ce film, tellement il accuse de longueurs et de creux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 mai 2008
    Un vrai faux chef d'œuvre. Que de longueurs à des moments qui n'ont pas lieu d'être. Le film est ennuyant et manque totalement de profondeur sur un sujet ou il y'a tant à dire... dommage, le réalisateur à rater le coche à mon goût.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 avril 2008
    Démarrage lent, situations embrouillées. On a du mal à placer les personnages. Puis vient la lumière, la vérité éclate. Ambiguité des sentiments entre les faux frère et soeur, situation trouble parfois. Obligation pour Anna (Juliette Binoche) par décision testamentaire de son père mort à Avignon de retourner chercher sa fille abandonnée dans une colonie de Gaza en pleine période de désengagement. Alors tout s'accélère, engueulades, séances d'entraînement des policiers israéliens, expulsions des colons, destruction totale des lieux abandonnés. Après s'être retrouvées, mère et fille de nouveau séparées par le départ d'un bus de colons expulsés...C'est quelques heures après la projection que l'on remet tout en place pour enfin comprendre les tenants et aboutissants de ce film qui parraît particulièrement confus.Barbara Hendricks assise en tailleur et chantant du Mahler n'est pas à son avantage...
    Planques Y
    Planques Y

    1 abonné 85 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2008
    Juliette BINOCHE est extraordinaire dans ce film assez mistérieux mais qui vous invite généréreusement à en partager les émotions intimes.
    D'un train italien à la bande de Gaza, l'humain se transporte et la situation gère son attitude, ses réactions, et aussi sa relation avec l'autre...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2008
    Je suis fort peu convaincu par la 1ère partie du film en France avec beaucoup de scènes caricaturales. La deuxième partie, située à Gaza, est nettement plus réussie sur un fait d'actualité très récent. On attend forcément mieux d'un réalisateur tel que Amos Gitai, plus à l'aise pour filmer la réalité qu'il connait bien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 avril 2008
    J'ai découvert et aimé Amos Gitaï en 2005 avec son film Free Zone (où les deux actrices principales dont Natalie Portman qui était magnifique et Hanna Laslo qui a reçu le prix d'interprétation féminine au festival de Cannes). Pour son nouveau film j'étais enthousiaste pour aller le voir. l'histoire me paraissait intéressante. malheureusement la première partie du film est assez sinistre voire incompréhensible. La seconde partie est beaucoup plus intéressante car elle est chargée d'émotion. L'histoire de cette famille se retrouve au milieu de l'histoire en marche de tout un pays. Cette fois ce n'est pas que la prestation de Juliette Binoche qui fait l'attrait du film (bien qu'elle soit toujours aussi belle et avec une présence énorme encore une fois). La mise en scène et les images parviennent à montrer le désarroi de toute une société. Amos Gitaï a ce grand talent pour transformer son film en documentaire sur la colonisation israélienne en Palestine.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 août 2010
    Désengagé, c'est un peu le sentiment que l'on ressent à la fin du film d'Amos Gitaï. La faute à un film dont la première partie se veut symbolique, et ancrée dans un Occident qui n'a pas vraiment sa place dans cette histoire ou si peu. Les errances d'Ana et d'Uri dans le grand appartement d'Avignon nous laissent totalement indifférents, sauf au détour du peignoir entrouvert de Juliette Binoche. Le film gagne en densité et en force lorsque les caméras filment les colonies et les retrouvailles intenses entre une mère et sa fille. Malheureusement, on ne parvient jamais à être convaincu par ce Désengagement, qui ne porte que trop bien son nom.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 août 2009
    Le contexte est historique : Israël évacue ses colons de la bande de Gaza, en 2005. C’est évidemment son armée qui est chargée de la besogne, et ce n’est pas facile, car il faut le plus souvent chasser de force les colons, au besoin en démolissant leurs maisons.

    Ce passage n’occupe dans le film que la dernière demi-heure, je conseille donc aux spectateurs que l’histoire contemporaine intéresse d’arriver avec une heure de retard !

    Auparavant, on aura dû subir l’histoire fumeuse d’une Française qui, pour une histoire d’héritage, doit se rendre en Israël afin d’y retrouver sa fille, qu’elle a dû abandonner vingt ans plus tôt dans un kibboutz, on ne saura pas pourquoi. Elle la retrouve, la réunion des deux femmes est chaleureuse, mais la fille fait partie des colons évacués. Drame.

    C’est empesé, mal construit, alourdi par une interminable et inutile chanson que Barbara Hendricks psalmodie au chevet d’un mort ; Juliette Binoche surjoue et se ridiculise ; et l’on assiste une fois de plus à cette absurdité, courante au cinéma : une notaire française (Jeanne Moreau) et une héritière française (Juliette Binoche, donc), dans un cabinet notarial d’Avignon, ville française, procèdent à l’ouverture d’un testament... et ne parlent qu’en anglais !

    C’est le plus mauvais film d’Amos Gitai, qu’on retrouve uniquement dans deux plans-séquences, sa spécialité, à la fin du film : les retrouvailles muettes des deux femmes, et l’expulsion des colons israéliens. Sans ces deux plans, très riches en personnages et en actions diverses, très organisés, magistraux comme chaque fois que Gitai se souvient qu’il est metteur en scène, il ne serait pas utile de voir Désengagement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 avril 2008
    Un film qui vaut le détour pour le scénario et les acteurs..un peu de mal à rentrer dans l'histoire et finalement un moment dramatiquement appréciable .
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 juin 2008
    Ce film laisse l'impression désagréable que ça aurait pu être beaucoup mieux. Trop d'aspects du scénario (surtout dans la première partie) restent non élucidés à la fin du film et du coup on ne comprend pas ce que ça peut apporter au film... La deuxième partie en palestine est plus usante, éprouvante qu'émouvante. Il me semble que le thème du désengagement, véritable déchirement aurait pu être mieux exploité. Deux étoiles pour la magnifique interprétation de Juliette Binoche et la géniale première scène du film!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Le film bien que comprenant des longueurs est une véritable expérience empirique au sens kantien du terme.
    La première partie est marquée par la lourdeur, le cloisonnement, presque la folie. Anna jouée par une remarquable Juliette Binoche est une femme blessée, à la dérive. Sa nonchalance, sa façon de se tenir penchée, de vaciller à tout moment, exprime une fragilité dont le spectateur n'a pas encore les explications.

    Le testament du père, personnage absent mais central, déclenche la seconde partie du film. On comprend qu'Anna est tombé enceinte très jeune et qu'elle n'a du abandonner l'enfant qui aujourd'hui est institutrice dans une colonie à Gaza. Pour des convenances sociales, poussée sans doute par son père, Anna s'est mariée avec un homme qu'elle n'aime pas. Aujourd'hui ce père, lui demande par voie testamentaire de donner à sa fille-en main-propre-l'argent qui lui revient.

    Cette seconde partie se passe sur les terres israéliennes entre les barbelés et les check point. Anna part à la recherche d'une fille qu'elle ne connait pas. En plein désengagement des colonies israélienne, ce voyage est un retour sur ses origines, pour elle qui ne parle pas hébreux.

    Ce désengagement est un déchirement pour la société israélienne. Cette partie filmée presque comme un documentaire nous montre la scission qui excite entre israéliens. Les colons, et les religieux refusent le désengagement. L’armée, elle a le devoir de faire évacuer la zone. Les cris, les chants, les bruits des bulldozers tout cela rend assez fidèlement les difficultés auxquelles est confrontée Israël aujourd’hui. Anna retrouve sa fille dans la colonie, et donne l'impression de s'être retrouvée elle-même, jusqu'au moment jusqu'au moment où elles sont de nouveaux séparées.

    Entre individus et société israélienne, Gitai prend le parti de ne pas choisir. Si le dégagement des uns est une déchirure, il est pour certains une obligation dans une optique optimiste de processus de Paix. Anna elle au cont
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 avril 2008
    Des critiques a la base elogieuses nous ont donne envie d'aller voir un film dt le sujet etait interessant.
    Que de longueurs...
    Que de scenes intutiles...
    Amos Guitai souhaite aborder differents themes sans pourt autant en approfondir aucun.
    Film faussement intellectuel.
    Profondement decevant...
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