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Lucile Énergéticienne
1 critique
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1,0
Publiée le 24 décembre 2022
Je suis en train de regarder ce film, c’est d’un ennui extraordinaire. Ennuyeux voir énervant, car les choix des protagonistes sont d’une stupidité extraordinaire. Tous les choix qui sont faits pour la survie sont totalement illogique. À noter : ce film nous aura fait profiter de la meilleure pub Coca-Cola de tous les temps. Pour ce qui est du cannibalisme, spoiler: voir des êtres humains parquet, dans des conditions terribles avec des membres amputés. Attendons le supplice de leur mort. Étant parfois battu ne me surprend absolument pas en tant que Vigan, car les animaux vivent de nos jours, exactement la même chose. Je ne vois pas non plus, comment il est possible qu’aucun animal n’est survécu. Que ce soit les insectes, les animaux qui vivent sous terre, ou même les chiens et les chats qui sont extrêmement prolifique sur cette planète.
Idem pour les poissons dans l’océan. Si il y avait un problème avec l’eau, effectivement il n’y aurait plus de poisson , mais, si il y avait un problème avec l’eau, que ce soit des océans ou des lacs forcément l’eau douce ne serait plus potable. Encore une fois une incohérence. C’est important dans le sens où tout le film tourne autour de la nourriture, le cannibalisme étant évoqué assez rapidement, donc si le film tourne autour de la nourriture, il faut que le récit nous donne de bonne justification pour prouver qu’il n’y a pas d’autres choix pour se nourrir.
Parmi les choix débiles, nous avons :spoiler: la première chose que le narrateur explique c’est que une de ses principales préoccupations sont les chaussures. Il a des espèces de chaussettes faite avec des morceaux de plastique. Mais par contre à chaque fois qu’il rencontre des cadavres qui ont des chaussures neuves, ou des gros tas de chaussures. Il n’en récupère aucune. il dit également que le froid est une de ses préoccupations principales, mais il traverse le ruisseau avec ses chaussures en prenant soin de bien marcher dans l’eau. Là aussi c’est débile, ça n’a aucun sens. Idem quand il se baigne dans la rivière avec son fils pour aller sous la cascade. Si sa préoccupation principale c’est le froid. Considérant qu’il n’y a pas de serviette, que son fils aura ses vêtements mouillés, et que les chaussures sont aussi mouillé… Je ne vois pas comment dans un contexte pareil, on pourrait faire un tel le choix.
Le voyage mouvementé d'un père et son fils qui luttent pour leur survie. Il n'y a pas vraiment d'action mais on ne s'ennuie pas. On sent vraiment le danger présent partout. Les deux principaux acteurs jouent très bien leurs rôles.
Grâce à un fort parfum d’authenticité dû à des effets spéciaux magistralement utilisés, deux acteurs au sommet de leur art, des scènes en tous genres au réalisme brut de décoffrage, le tout magnifié par des décors désertiques où chaque signe de vie peut être perçu comme une menace de mort, John Hillcoat se révèle plus que jamais inspiré par son sujet et signe avec cette adaptation du roman éponyme "La route", un film (prophétique ?) questionnant la foi en l'avenir et en l'être humain. Il est toutefois regrettable que cette œuvre d’une grande puissance soit polluée par un symbolisme religieux bien trop prégnant et typique des réalisations américaines récentes. Cela étant, tout bon fan de post-nuke qui se respecte se doit de le voir !
Un Film poignant avec du suspense, de la compassion, histoire tragique de personnes qui sont au bord de la survie après un holocauste nucléaire. A voir absolument si vous aimez la science fiction apocalyptique.
Bon film malgré une apocalypse qui sort de nul part et invraisemblable , ensuite le cannibalisme trop répétitif on ne voit pratiquement que ça mais bon pas le plus dérangeant . Le casting pour l’enfant à vraiment était bâclé ! Ce gosse une vraie tête à claque dès qu’il parle houaou stressant et un jeu à te donner envie d’arrêter de regarder ce jolie film , merci à l’acteur principal VIGGO MORTENSEN qui a le talent de sublimer tous les rôles qu’il joue , cela équilibre la balance car ce jeune c’est une catastrophe... Sinon un très bon film .
C'est bien difficile de noter ce film. L'image est belle - parfois trop on se croirait dans un clip - mais on s'ennuie faute d'enjeux et de tension. Quand on a vu "Le fils de l'homme", ce film paraît bien mou. Reste le joli message sur la nécessité de lutter contre sa nature profonde (égoïsme, peur de l'autre,...).
La Route est un film assez particulier. Il possède une ambiance très sombre et très pesante tout au long du film, je ne m'attendait pas à autant de noirceur , que ce soit dans les décors où les thèmes abordés. Ce n'est pas un film qui plaira à tous. En effet c'est un film basé sur la contemplation des décors et des relations entre les personnages , le scénario n'est qu'au second plan ici. Le film pose des questions sans donner des réponses, souvent on se demande pourquoi le monde est comme ça, ou pourquoi les gens agissent comme ça. Mais aucune réponse à nos questions n'est donné pendant le film. C'est un peu tourné à la manière d'un documentaire sur l'environnement : on regarde juste , rien de plus. C'est vraiment perturbant au début, mais si vous réussissez à accrocher, alors il y a de forte chance que vous aimiez le film. La fin cependant elle est trop idylliques et peu originale, ce qui contraste avec le reste du film et c'est dommage. En bref c'est un très beau film de contemplation, qui ne fait que nous montrer le monde, et la cruauté dans lequel les gens vivent (encore plus difficile qu'une apocalypse zombie). Il nous montre ce qu'il en est du monde, après c'est à nous d'imaginer les réponses à nos question.
Film magnifique et terriblement noir... Cette fin du monde : on peut y croire, cette lutte pour survivre : on ne veut même pas l'imaginer, et c'est ce qui fait froid dans le dos... Est ce que notre futur ressemblera à ça ? Si vous n'avez pas le moral, ce film ne vous redonnera pas le sourire mais vous fera réfléchir, cogiter bref, on en sort pas indemne. Une claque !
« La route » de John Hillcoat issu du roman éponyme de Cormac Mc Carthy couronné d'un prestigieux prix Pulitzer, est sorti en 2009. Nous sommes 10 ans après un cataclysme – a priori nucléaire – ayant tout détruit, faune et flore avec un champs dévasté de cendres, un monde sombre et froid, où 2 survivants - le père (Viggo Mortensen) et son fils de 10 ans (Kodi Smit-Mc Phee) - essaient de survivre poussant dans un caddy quelques effets personnels. Le père veut se rendre dans le sud du pays pour y retrouver de la chaleur et la mer… mais il faut essayer toujours de trouver à manger et se protéger de bandes armées revenues au cannibalisme. Le père et son fils vont ainsi découvrir un manoir où dans la cave cadenassée se trouve une réserve de nourriture, des hommes. Puis par chance un abri anti-atomique encore intact qui leur apportera un peu de réconfort et surtout moult boites de conserve alimentaire. La route se poursuit vers le sud avec d’autres rencontres toutes incertaines. Arrivés au bord de la mer qui n’est plus bleue, le père meure en laissant à son fils un pistolet avec une seule balle au cas où… Un couple avec 2 enfants se rapproche de lui, lui disant qu’il les suivait depuis longtemps… mais comment pour le fils savoir s’ils sont « gentils » ou non ? Un film fort bien réalisé avec une très belle lumière grise et morne. Un film de près de 2 h où malgré le sujet, le spectateur est tenu en haleine et finit par ressentir ce monde post-apocalyptique où l’espoir n’est qu’une possibilité. Un bémol : l’inévitable canette de Coca-Cola trouvée dans une maison en ruines.
The Road est un film qu'il faut évité de regarder un soir de déprime. Rarement un monde post apocalyptique nous est apparu aussi sombre, où l'espoir s'est éteint depuis longtemps et où l'humanité vacille vers le cannibalisme (symbole d'un "retour à l'animalité", à une perte de conscience humaine). Viggo Mortensen et Kodi Smit-McPhee jouent un père et son fils errant dans ce monde désolé. Le scénario est extrêmement simple et l'intrigue est prévisible du début à la fin. Malgré tout, les thématiques, pour certaines rarement exploitées au cinéma sont très bien traitées (le suicide, le cannibalisme, croire au bonheur quand tout semble perdu, notre relation à l'altérité). Sur cette dernière, elle offre des moments très intéressants spoiler: lorsque les deux personnages sont confrontés aux autres survivants (notamment le passage avec le vieil homme qui est magnifique) . C'est émouvant et réussi sans avoir la prétention d'être un grand film !
Flemme de mettre en page épisode je ne sais pas combien. Voici donc quelques notes que j'ai prise : Décors mortuaire, sentiment de désolation, photographie sombre, grise, il y a une vraie ambition artistique c'est évident, des plans très beaux/ Ça paraît réaliste, on a pas l'impression de voir une bouillie numérique ou de fond vert/ Première partie du film a la narration intéressante avec ces flashbacks puissant, 10 ans auparavant avec la mère du petit, jouée par une excellente Charlize Theron, ou l'on voit un quotidien de plus en plus dure jusqu'à atteindre la Mort ou au moins le départ de cette dernière/ Ce que j'aime bien c'est que on nous ne donne pas le pourquoi de ce qui s'est passé sur terre car les hommes eux même ne le savent pas, ça rajoute au sentiment d'immersion et de proximité avec les 2 personnages principaux/ Très peu de vraies scènes d'actions mais des moments toujours tendu, voir glauque et crade à cause de cette atmosphère pesante, comme les rencontres avec les groupe d'homme armés ou avec des espèces de lépreux ou je ne sais quoi dans le sous sol d'une maison abandonné/ Malheureusement le film ne rajoute presque rien dans son propos, ce n'est pas vide non plus, mais c'est trop classique/ Des relations bien exploré, père et fils forcément, même si je trouve que le côté émotion est un peu trop accentué, on essaye de nous faire tirer des larmes (ce qui n'a pas fonctionné sur moi), notamment à cause de ces pianos et violons en fond/ Un film sans réel but, on y suit le parcours de ces 2 solitaires dans ce monde mort, jusqu'à cette fin très ouverte/ On retrouve la vie d'avant le temps d'un instant dans le bunker pour le père, on en découvre un nouveau pour le fils)
Un mode apocalyptique ou meme Walking Dead ressemblerait à un paradis l'amour d'un père qui veut préparer son fils à faire face à un monde sans futur, si lui le père devait disparaitre, en lui donnant un amour de tous les instants qui est obsessionnel. Si vous voulez voir Viggo Mortelsen et Charlize Théron et en plus avoir le moral dans les chaussettes, c'est le film qui vous faut regarder Sinon , ce dernier vaut valeur par le jeu et la photo mais alors il est triste