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Vagelios
43 abonnés
975 critiques
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0,5
Publiée le 11 juillet 2008
Plutôt un film d'horreur "comique" qu'une comédie gore. N'étant pas du tout un fan du genre de l'épouvante,je regrette d'être allé le voir car même au niveau de l'humour il y a rien de marquant.
Il est où le film? normalement on trouve dans un film des acteurs, un sénario, des dialogues, et si il est comique des blagues et de l'humour, et d'horreur si ça provoque le dégout!... je crois qu'on a du se tromper dans la description de ce .. "truc" ! Au moins avec un nanars on se marre bien ! Mais là c'est affligeant! Une punition exemplaire et céleste!
Une bande de pieds nickelés décident d'enlever une (pulpeuse) jeune femme pour demander une rançon. Première difficulté, il s'agit de la fille d'un gangster notoire. Deuxième difficulté, l'organisateur du rapt est flanqué de deux acolytes vraiment pas doués. Troisième difficulté, la jeune femme se révèle très peu coopérative. Quatrième difficulté, le papa gangster envoie deux Coréens armés de hachoirs à viande aux trousses des ravisseurs pour les transformer en sushis. Cinquième difficulté, la jeune femme parvient à s'évader, prenant un des ravisseurs en otage pour aller se réfugier chez le serial killer du coin. Le film se divise en deux parties, la première ressemble à une comédie anglaise avec des dialogues qui ne font pas toujours mouche, mais certaines situations sont plutôt drôles et parviennent à nous faire sourire. La deuxième partie se passe dans la ferme du tueur psychopathe et ça devient franchement gore. L'ensemble est assez inégal. N'étant pas amateur de gore, la cette partie m'a franchement déplu. Les amateurs de gore drôlatique y trouveront (difficilement) leur compte, les autres feraient mieux d'aller voir ailleurs. Un nanar à regarder entre potes ... au second degré bien sûr ! Deux étoiles ... plus une demi-étoile pour la plastique de Jennifer Ellison.
Une comédie horrifique British, qui change des prods du genre côté US. Comique de situation, des gags qui tienne le coup et où l o' à pas trop le temps de s ennuyer même si pour le casting certain ont plus de mal pour le côté comédie et vice versa. L histoire nous réserve de bonne surprise et un final convenable avec le reste du film. 2nd degré évidemment. Amateur de zombies, la c est le cas mais de la façon des Anglais... Bref le film ou il ni ya pas a réfléchir et où il suffit de se détendre et par moment o. Esquisse un petit sourire. L humour va entièrement avec l histoire même si quelques incohérences ou des moments qui pèche un peu mais sont vite rattrapé par la situation. Donc pas un échec mais u. Film comique à tendance horrifique sans quel soit effrayante. L ensemble marche tout de même. Pourquoi pas
C'est un film marrant avec une grande dose d'humour anglais. Il y a des scènes hilarantes certes. Il faut regarder ce film comme film de minuit avec beaucoup de chips proche de soi. Car effectivement il y a beaucoup d'incrédibilité dans ce film, mais c'est cela le cinéma justement. Il faut franchement rester au second degrés pour accepter ce film certes. L'humour anglais.
Ça démarre comme un polar léger à la sauce Guy Ritchie puis ça vire à la parodie de massacre à la tronçonneuse bourré de gore et d’humour noire. C’est amusant sans être révolutionnaire, cela tient avant tout grâce à la générosité des acteurs et à des effets spéciaux et maquillages de bonnes facture.
Comédie british totalement loufoque mais qui revolutionnne le genre. Bondé de situation plaisante, meme derengante, on en oublit pas moins le scenario, basé sur 2 abrutis qui se retrouvent piégé par malfrat totalement dérangé !!
Comédie horrifique comme on n'en fait plus beaucoup qu'il faut prendre au 4ième degré, au moins. Imaginez: deux frères loufoques qui kidnappent la fille d'un mafieux en demandant une rançon et qui se retrouve dans un cottage proche d'une ferme abritant une famille style "La Colline a des Yeux " ou autre "Détour Mortel". Très comédie british au début, le film verse dans une seconde partie dans l'horreur à l'ancienne c'est à dire avec tripes et boyaux au sol, sans oublier les scènes obligatoires de coupage de tête, de visites de charnier etc etc. Rien n'est oublié dans le style, ni les Chinois mafieux envoyés par le père de la fille aux énormes pare-chocs, source d'ailleurs de tous les problèmes ... Un film à prendre vraiment pour ce qu'il est et qui vous fera rire et ... vomir! Pour amateur de comédie avec sang et tripes ...lol
Mmmhhhh... Bof ! Je n'ai pas trop aimé le film « Bienvenue au cottage ». Le début du film est trop long à démarrer... A dormir debout malgré la présence de l'humour noir tres british ! Trop plat, ce film ! Au bout de 40 minutes, on voit arriver enfin des scènes gores... Ce film m'a fait penser au film « Massacre à la tronçonneuse »... On voit un grand malade au visage défiguré, tuer les kidnappeurs d'une jeunne belle femme ! Bof ! Je ne vous conseille pas d'aller voir ce film, même si vous adorez les films d'horreur... Ce serait une perte de temps !
Le kidnapping étant une situation cinématographique qui dégénère invariablement, il semble dès le début évident qu’il en sera de même pour celui qui sert de point de départ à ce “Bienvenue au cottage”. Surtout lorsque ce sont deux branques comme David (Andy Serkis, le Gollum du “Seigneur des Anneaux”) et Peter (Reece Shearsmith) qui en sont à l’origine, que leur victime (Jennifer Ellison) est aussi sexy qu’insupportable lorsqu’elle s’avère très forte pour jurer comme une charretière, et qu’un psychopathe tout droit sorti d’un ersatz de “Massacre à la tronçonneuse” rôde dans la coin, prompt à leur souhaiter la bienvenue au carnage. Sauf que lorsqu’il s’agit, pour lui, d’aborder le genre horrifique, le Britannique Paul Andrew Williams règle son pas sur celui de ses compatriotes Edgar Wright (“Shaun of the Dead”) et Christopher Smith (“Severance”), en associant le gore à une bonne rasade d’humour so british. Un humour qui apparaît davantage dans la première partie de l’histoire, lorsque chaque personnage prend, peu à peu, de l’épaisseur, pendant que Williams confirme les qualités d’écriture que son premier long métrage, le très glauque “London to Brighton”, laissait entrevoir, et repousse l’arrivée de l’horreur. Laquelle finit tout de même par pointer le bout de son nez, au cours d’une deuxième partie parsemée de références à des classiques du genre, non sans que l’humour ne continue à fonctionner à plein régime, même en pleine boucherie. Un deuxième essai en tous points réussi pour Paul Andrew Williams qui trouve le bon équilibre entre le rire et l’effroi, et confirme qu’il est bel et bien un cinéaste à suivre.
11/20 : BIENVENUE AU COTTAGE commence par une première partie légèrement ennuyeuse du à un rythme monotone et à des séquences pas nécessairement drôles. En ce qui concerne les acteurs, ceux-ci sont sympathiques tel Reece Shearsmith, incarnant Peter le looser, Andy Serkis dans le rôle de David le meneur ou encore Steve O’Donnell, interprétant Andrew le baziot enrobé. Quant à la vulgaire Jennifer Ellison (à l’allure de Paris Hilton) dans le rôle de Tracey, celle-ci aurait plutôt tendance à agacer qu’à faire rire. Le fait d’entendre son langage charretier toutes les cinq minutes, peut devenir un peu barbant. Dès que le tueur à la gueule complètement défigurée, vêtu d’une salopette et d’une chemise de bûcheron entre en scène, le rythme s’accélère et le film devient alors plus passionnant. Nous rions face à ces répliques et ces situations complètement cocasses. Le réalisateur Paul Andrew Williams nous livre avec BIENVENUE AU COTTAGE, une comédie horrifique très simpliste qui semble bâclée par moments. Malgré ses défauts, ce film nous offre tout de même quelques scènes délirantes.
Bien loin de son affilliation à SHAUN OF THE DEAD ou SEVERANCE (c'est du gore, c'est anglais alors c'est la même chose...merci les critiques), THE COTTAGE tire sa force de toute son originalité. S'il n'est pas transcendant du début jusqu'à la fin et qu'il y a quelques longueurs (l'éternelle transition entre la partie thriller et la partie horreur arrive bien tard), le film reste un pur moment d'hilarité, portés par deux acteurs principaux délirants. S'éloignant de tous les clichés du genre d'abord pour dévoiler le destin de deux paumés qui n'ont rien compris au kidnapping et qui tombent d'embûches en embûches (c'est savoureux à souhait et rempli d'humour noir), la deuxième partie joue sur le décalage entre ce gros monstre volontairement kitsch et les réactions des protagonistes. L'un tente de se battre et le menace de déchirer une photographie de famille, l'autre crie comme une fillette et la pauvre victime continue d'ouvrir sa grande gueule et d'insulter ses agresseurs. Des situations qui font que le film a quelque chose de très attachant à défaut d'être totalement révolutionnaire. Mais après tout, tous les films ne prétendent pas à révolutionner le genre, loin de là, et c'est peut-être la grosse qualité du film: un film qui ne vise pas plus haut que son public, les fans d'horreur. Les autres, pas la peine de rester dans la salle et de le massacrer sur le net, on sait que ce n'est pas fait pour vous.
Une amusante comédie horrifique qui, non contente de nous faire voir Andy Serkis sans effets spéciaux (trop rare), joue sur tous les clichés du film de kidnapping passés à la sauce "Massacre à la Tronçonneuse". Malheureusement, le film est un peu lent à prendre ses aises, un peu comme un vieux Diesel qui tousse, mais une fois lancée la machine délirante ne s'arrête pas et multiplie les scènes gore et décalées. Le film est amusant même s'il n'est pas inoubliable sur le plan de l'interprétation. Idéal pour une soirée pop-corn tranquille.
J'ai vu un film... qui m'a emmené bien loin dans le gore, gore... Alors que je m'attendais (sans avoir aucun a priori) à voir une comédie anglaise de facture classique, mais néanmoins décalée, j'ai été emmené du côté noir de l'horreur... Et parfois pour atteindre des sommets de tout... Les retournements de situations sont désopilants, la narration hilarante, et les situations loufoques... mais entre ces moments-là, on est dans un jeu de massacre de la plus belle espèce... Les papillons de nuits sont à l'honneur dans la nuit de l'horreur... Et ça va loin, assez pour avoir envie à des moments de tourner la tête, mais, bon, on continue jusqu'à la prochaine vague de sang... Les comédiens sont vraiment supers, avec leur tête au bout de leur cou... et même après, d'ailleurs ;). Et le truc le plus incroyable, c'est qu'on finit par être soulagé lorsque le noir retombe, et qu'on se répète "Là, la fin est proche"... "là... la fin est proche"... jusqu'à ce que la lumière s'allume...