Derniers Avis : Les Seigneurs de la mer - Page 3

Exceptionnellement délicieux! Plus qu'un reportage, un hymne aux requins...n'hésitez plus et filer voir ce documentaire qui est bien plus que ça...
Informez, alertez, faites le bouche à oreille de ce film criant de vérité et qui réhabilite (pour ceux qqui en douterez encore) l'une des espèces les plus fascinantes et importantes de notre univers...

Le film à voir absolument !
Avis à ceux qui n'aiment pas les documentaires barbants, ce n'en est pas un !!!
Il y a une vraie histoire, celle de Rob Stewart, qui lutte pour la survie des requins, massacrés en toute impunité dans nos océans tous les jours !
Il ne s'agit pas que de la survie de ces espèces, il y va de notre survie à nous tous !

SAVE THE SHARKS !

On le sait depuis des années qu'une grande partie des requins sont en voie d'extinction en grande partie à cause du trafic d'ailerons. Ce film-documentaire est intéressant dans la mesure où les documentaires tv ne suffisent apparemment pas à sensibiliser les gens. Les moyens pour endiguer cette mafia sont dérisoirs puisque les gouvernements sont laxistes ou corrompus. Et encore, on ne montre qu'une infime partie de ce génocide animal. Des chiffres : La France est le 2ème pêcheur de requins en Europe après l'Espagne, 1/3 des ailerons présents sur les marchés de Hong-Kong viennent d'Europe, 1/4 des espèces de requins des côtes de l'atlantique nord-est est menacée de disparition, presque 1/2 pour la méditerranée... le problème, c'est que, lorsqu'il n'y aura plus de requins (à cette allure d'ici 15-20 ans), on ne sait absolument pas quelle catastrophe écologique ça engendrera. Et tout ça pour le pognon. Normal quoi. Bon, pour le film, il faut aussi faire la part des choses : Rob Stewart donne aussi des infos erronées sur la soit disante zentillesse des requins qui n'attaquent que 5 personnes par an dans le monde. Il y a quand même 3 espèces véritablement dangereuses et 5-6 potentiellement dangereux. Ca fait peu sur les 400 espèces de requins mais c'est réel. Pour finir, les images sous-marines sont de toute beauté, bien que l'on puisse être un peu perplexe quand aux couleurs un peu trop vives pour être naturelles. Le gros problème rencontré c'est que le discours de base de ce film est trop manichéen. Les bonus contiennent un documentaire sur la pêche à la baleine pratiquée par les Japonais sous couvert de recherche scientifique. On voit encore là toutes les difficultés qu'ont les associations pour lutter contre cet autre massacre. Elle est belle l'évolution de l'homme. Au siècle dernier c'étaient les animaux à fourrure. Qui sommes-nous pour décider du sort de certaines espèces au nom du pognon ?

un très bon documentaire qui nous prend aux tripes et nous fais voir la réalité des choses ! Save The Sharks

jamais un documentaire n'avait été aussi poignant,réussite en tout point.

Mouaip. Je m’attendais à un reportage sur les requins. J’ai eu une espèce de pamphlets mal assumé sur les bien-fondés d’un comportement agressif (et très dangereux) sur des pêcheurs qui doivent gagner 1$ par jour de travail. Je ne reproche pas la volonté qu’a le réalisateur de faire prendre conscience de ce massacre organisé et lucratif d'un animal vraiment magnifique. Mais la fin ne justifie pas les moyens. Vraiment cette scène d’abordage mené par le bateau de Greenpeace est consternante.
Et puis cet espèce de travail de broderie autour, pour nous montrer combien c’est dur d’être un activiste m’intéresse assez peu je dois dire.
Dommage ça partait d’une très bonne intention je crois.

Documentaire très intéressant sur les requins. Cela ne fait toujours mal au coeur de voir comme
l'être humain est irresponsable, et irrespectueux envers les autres - humains ou animaux.

Un sujet sérieux et quelques images choc valent une étoile. Mais n'est pas M Moore qui veut. Alors on a une bonne idée de départ distillée dans un océan de paroles, des idées peu argumentées, répétées deux voire trois fois... Tout sonne creux, rien n'est scientifiquement prouvé. Ensuite, cela dérive vers un reportage type "envoyé spécial" où notre beau-gosse-réalisateur-super-héros affronte la justice et la Mafia Porto-ricaine, évite la prison, sauve sa jambe gangrainée et échappe à une mort certaine!
Narcissique à souhait... Une question nous tarraude alors: Où sont les requins ? Toutes les images sous-marines semblent sorties d'archives. Seule une séquence en introduction est réellement impressionnante où l'on voit Rob Stewart tenant dans ses bras un gros requin étrangement sympathique. On reste sur notre faim... De plus, le message du film est on ne peut plus clair: tuer les requins c'est pas bien... mais encore une fois, moi qui écoute bien sagement toutes les recommandations qui nous sont données à grand renfort de médias, qui trie mes poubelles, qui ne laisse pas couler l'eau quand je me brosse les dents et qui ne mange pas de requin... Et bien quand je sors de la salle, je me sens redevable de quelque chose, j'ai envie de dire "pardon" à cette nature qui donne tant et à qui l'on prend tout. Le problème c'est que la cible n'est pas la bonne: je pourrai m'excuser encore longtemps, les requins continueront de se faire couper les ailerons... Alors pourquoi ne pas donner au grand public le seul moyen de réellement prendre conscience de ce fléau: montrer la nature telle qu'elle est, immensément belle, sans ce gros lourdeau d'Homme qui fout tout en l'air. On est venu voir de belles images sous-marines, on repart avec la nausées d'avoir vu des dizaines de plans montrant des milliers de requins, phoques, tortues,etc. se faire étriper, découper, trancher, éventrer, bref, l'Homme n'est pas cool. On le savait déja.

Qui suis-je? Top! Je suis le héros improbable du premier film d'un jeune biologiste et photographe sous-marin primé dans de nombreux festivals de cinéma documentaire. Doté d'un corps aux lignes parfaites et de dents superbes, je me déplace dans mon élément aquatique avec une rapidité et une grâce qui forcent l'admiration. Les pêcheurs sans scrupules et ceux qui les paient ne sont pas mes amis, je suis je suis...? Rob Stewart, bravo! En effet, bien que passionné par les requins et fortement engagé dans la lutte pour leur réhabilitation et leur protection, le beau Stewart vole outrageusement la vedette aux "seigneurs de la mer" en focalisant trop souvent la caméra sur lui. Sa tentative de déconstruction du mythe du méchant requin (monté en épingle par Spielberg) s'avère prometteuse mais pas totalement efficace. Affaire à suivre.

Intéressant certes le début on aurait dit une propagande pour les requins, les images ne sont pas extraordinaire et le film par en poursuite contre les braconniers. Gros problème de mise en scène le film par dans pleins de sujet différant exemple du problème de la jambe du réalisateur qui se met largement en avant dans ce documentaire qui n'apporte rien de plus qu'au documentaire classique sur arte.

Un documentaire qui ouvre les yeux sur la toute réalité concernant les requins. Non seuleument les requins ne sont pas ce qu'on pense qu'ils sont, mais en plus ils sont en réel danger. Ce qui veut dire que... nous le sommes !

Alors, arrêtons les mythes, les aprioris sur ces seigneurs de la mer, et combattons contre la pêche aux ailerons !

Un témoignage choc, passionné et très complet sur les dérives de la pêche extensive du requin, fascinant et mystérieux seigneur des mers trop souvent assimilé au mangeur d’hommes qu’il n’est pas. Le rôle régulateur du squale sur son écosystème ainsi que l’impact alarmant de sa probable disparition sont expliqués de manière très didactique, le film apporte de surcroît son lot de merveilles visuelles. Un vibrant plaidoyer en faveur d’un réveil des consciences sur un sujet passé sous silence, conclu par un convainquant appel pour un encadrement législatif international efficace de cette pêche qui tuerait environ 100 requins par minute sur la planète. A reprocher toutefois une mise en scène héroïco-tragique très inappropriée.

Film captivant, meme si l'on ne peut s'empecher de s'interroger sur la véracité des faits avancés.

Les requins n'intéressent personne. Comme les loups, on les croit féroces et ne songeant qu'à dévorer des humains. Merci "Les dents de la mer"! Rob Stewart, jeune biologiste marin, s'inscrit en faux contre ce portrait fantasmatique d'un grand prédateur plus vieux que les dinosaures qui a influencé l'évolution de toute la faune sous-marine. Il aime les requins depuis l'enfance et nage auprès d'eux sans jamais avoir subi la moindre attaque. Son film est un plaidoyer pour une espèce désormais en voie de disparition dans l'indifférence générale. Or cette disparition est une bombe à retardement écologique dont les conséquences sur l'écosystème marin sont imprévisibles. Dans son combat trop solitaire, Rob a pourtant trouvé un allié : Paul Watson, le fondateur de "Greenpeace" et de "Sea sheperd" dont l'"Ocean warrior" parcourt inlassablement les mers à la poursuite des pêcheurs clandestins de la faune protégée. Mais le requin, lui, ne bénéficie d'aucune protection. Au contraire, sa destruction intéresse bien du monde... Paul et Rob révèlent la duplicité du gouvernement du Costa-Rica qui prétend protéger les requins et bénéficie en secret des largesses des mafias asiatiques qui tuent l'animal par milliers... pour ses ailerons uniquement! Car le prédateur des mers est devenu une proie qui épaissit une soupe insipide vendue à un prix insensé. On touche là le fond de l'imbécillité humaine, pour rester polis. La caméra de Rob ne nous fait pas grâce de scènes de carnage où les requins, hissés vivants à bord d'un bateau, sont promptement mutilés et rejetés tels quels à la mer, comme des déchets! Comme le dit Paul Watson : l'homme est une singe nu prétentieux qui s'arroge le droit de vie et de mort sur sa planète. Oubliez vos préjugés sur le requin, allez voir le film de Rob Stewart, pour la compréhension de notre monde, pour soutenir son action solitaire et pour les superbes images d'une splendeur sous-marine que nos descendants ne pourront bientôt plus admirer que sur un écran!