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9 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Chauvin
A tous les titres, La Horde sauvage représente l'archétype du western crépusculaire : mise en cause des certitudes idéologiques, explicitation de la violence et des plus bas instincts (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Robert Benayoun
Peckinpah domine désormais sans conteste l'horizon toujours immense du western, égale les cinéastes qu'il a admirés (…) mais les dépasse aujourd'hui en énergie encore contenue, en force vitale, et en appétit créateur d'en découdre. Positif 112, janvier 70
Repérages
par Grégory Schneider
Ce qui frappe aujourd'hui, c'est ce classicisme larvé, cette façon d'augmenter progressivement la fresque (la fin du vieil Ouest, la fin du monde) en s'appuyant sur le particulier.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Claude-Jean Philippe
On ne peut s'empêcher d'y voir, par delà la volonté du metteur en scène, une œuvre crépusculaire, qui annonce la fin d'un système de valeurs, la déchéance d'un empire. Télérama, 19 octobre 69
Urbuz
par Vincent Malausa
(...) une version terminale et définitive de l'Ouest américain, une vision autarcique, claustrophobe et crépitante d'un monde porté au seuil de son exténuation.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
France Soir
par Robert Chazal
C'est peut-être le meilleur rôle de William Holden et c'est surtout, l'une des compositions les plus parfaites de Robert Ryan, ce grand bonhomme taillé dans le roc que rien ne peut abattre. France-Soir, 18 octobre 69
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean De Baroncelli
Avec "La Horde Sauvage", le western devient opéra barbare et chatn funèbre. Le souffle qui anime le film effacera dans notre souvenir ses outrances inutiles. Le Monde, 18 octobre 69
La Croix
par Henry Rabine
La "prolongation de l'impact" est indéniable, et le spectateur réagit… Mais, à la longue, par la lassitude ! La Croix, 31 octobre 69
Les Inrockuptibles
A tous les titres, La Horde sauvage représente l'archétype du western crépusculaire : mise en cause des certitudes idéologiques, explicitation de la violence et des plus bas instincts (...)
Positif
Peckinpah domine désormais sans conteste l'horizon toujours immense du western, égale les cinéastes qu'il a admirés (…) mais les dépasse aujourd'hui en énergie encore contenue, en force vitale, et en appétit créateur d'en découdre. Positif 112, janvier 70
Repérages
Ce qui frappe aujourd'hui, c'est ce classicisme larvé, cette façon d'augmenter progressivement la fresque (la fin du vieil Ouest, la fin du monde) en s'appuyant sur le particulier.
Télérama
On ne peut s'empêcher d'y voir, par delà la volonté du metteur en scène, une œuvre crépusculaire, qui annonce la fin d'un système de valeurs, la déchéance d'un empire. Télérama, 19 octobre 69
Urbuz
(...) une version terminale et définitive de l'Ouest américain, une vision autarcique, claustrophobe et crépitante d'un monde porté au seuil de son exténuation.
France Soir
C'est peut-être le meilleur rôle de William Holden et c'est surtout, l'une des compositions les plus parfaites de Robert Ryan, ce grand bonhomme taillé dans le roc que rien ne peut abattre. France-Soir, 18 octobre 69
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Avec "La Horde Sauvage", le western devient opéra barbare et chatn funèbre. Le souffle qui anime le film effacera dans notre souvenir ses outrances inutiles. Le Monde, 18 octobre 69
La Croix
La "prolongation de l'impact" est indéniable, et le spectateur réagit… Mais, à la longue, par la lassitude ! La Croix, 31 octobre 69