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Votre avis sur Le Loup de Wall Street ?
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J'avais trouvé Leonardo dans Gatsby, arrogant et insipide, mais là "chapeau bas" ce gars méritait l'oscar haut la main, il est époustouflant, hystérique, arriviste, brillant, agitateur, dirigeant de génie, toxico, défoncé et... Un vrai dingue mégalo que Scorcese est le seul à exploiter à 150 %. Le casting au complet est remarquable : Jonah Hill, Margot Robbie, Jon Bernthal, Jon Favreau, Rob Reiner...
Matthew McConaughey fait un apparition en courtier allumé et Dujardin tente de se faire remarquer, mais sans succès.
Un regard sur Wall Street jubilatoire, sans indulgence voir impitoyable. La débauche semble exagérée, trop de dope, trop de partouze mais l'ensemble est mise en scène avec tellement de talent que l'on déguste avec les yeux le menu gastronomique d'un des plus grand chef du cinéma. Bon ça traîne en longueur: grandeur et déchéance, ça prend du temps... Pour conclure ça reste l'un des films incontournables cette année.
Matthew McConaughey fait un apparition en courtier allumé et Dujardin tente de se faire remarquer, mais sans succès.
Un regard sur Wall Street jubilatoire, sans indulgence voir impitoyable. La débauche semble exagérée, trop de dope, trop de partouze mais l'ensemble est mise en scène avec tellement de talent que l'on déguste avec les yeux le menu gastronomique d'un des plus grand chef du cinéma. Bon ça traîne en longueur: grandeur et déchéance, ça prend du temps... Pour conclure ça reste l'un des films incontournables cette année.
Première chronique de l’année d’un film sorti fin décembre que je n’avais pas vu car j’étais en vacances ! Tout a été dit et écrit sur ce Loup de Wall Street, dernière livraison de Martin Scorcese. L’histoire est vraie, tirée du livre du personnage principal Jordan Belfort, un génial escroc-génie qui avait tout compris des rouages de la bourse, et s’est enrichi complètement illégalement. Le film évoque ces années d’excès, de démesure, de coke, de médicaments en tous genres, de sexe, sont mises en scène de main de maitre. Scorcese donne l’impression d’avoir vingt ans, et réalise ce film avec la fougue d’un tout jeune metteur en scène, pressé, qui filme dans l’urgence, sans tabou, sans fard ni chichi, trois heures au taquet, et franchement j’en aurais redemandé.
Que dire encore de Di Caprio ? Que c’est le meilleur acteur du monde ? Je l’ai déjà dit maintes fois. Le hasard a voulu qu’il soit enfin récompensé hier soir d’un golden globe. Je souhaite qu’il décroche enfin l’oscar qu’il mérite depuis deux décennies. Il y a également l’autre meilleur acteur du monde, Matthew McConaughey, qui n’a malheureusement que deux scènes, dont l’une, celle avec Caprio devrait être montrée (en boucle) dans toutes les écoles de comédiens de la planète. Rencontre au sommet ? Plus encore.
Pour finir c’est le genre de film qu’il faudrait voir trois ou quatre fois tant le contenu et la mise en scène sont riches...presque Fellinien, il y en a partout, tout le temps, ça part dans tous les sens, ça virevolte, c’est un film...cocaïnien ! Vous l’avez compris, je recommande !
Que dire encore de Di Caprio ? Que c’est le meilleur acteur du monde ? Je l’ai déjà dit maintes fois. Le hasard a voulu qu’il soit enfin récompensé hier soir d’un golden globe. Je souhaite qu’il décroche enfin l’oscar qu’il mérite depuis deux décennies. Il y a également l’autre meilleur acteur du monde, Matthew McConaughey, qui n’a malheureusement que deux scènes, dont l’une, celle avec Caprio devrait être montrée (en boucle) dans toutes les écoles de comédiens de la planète. Rencontre au sommet ? Plus encore.
Pour finir c’est le genre de film qu’il faudrait voir trois ou quatre fois tant le contenu et la mise en scène sont riches...presque Fellinien, il y en a partout, tout le temps, ça part dans tous les sens, ça virevolte, c’est un film...cocaïnien ! Vous l’avez compris, je recommande !
Adaptation du roman éponyme de et avec Jordan Belfort, racontant son parcours dans le monde de la finance à Wall Street, qui va rapidement tomber dans la débauche la plus complète.
Arrêtons-nous là pour le pitch. Attachons-nous plutôt à analyser ce qui fait de ce film une réussite quasi-totale.
1 : Martin Scorsese : à 70 ans, le pépé Scorsese veut prouver à tout le monde qu'il en a encore dans le pantalon et décide de se lancer dans un projet épique (le film dure 3 heures et plus avec les scènes coupées). Sa réalisation est magistrale, alternant ses tours de passe-passe habituels à des scènes étonnamment calmes formellement, composées uniquement de champs/contrechamps qui détonnent avec le reste, mais laissent soudainement la pare belle aux acteurs géniaux du film.
2: Le montage : les scènes cultes s'enchainent à la vitesse de la lumière, le film tient 3 heures sans faiblir (sauf peut être un peu vers la fin) et dresse un portrait complet et roboratif de la vie de Belfort.
3: Terence Winter, le scénariste, qui a fait un boulot d'adaptation assez incroyable en essayant de capturer l'essence du roman tout en agençant les scènes de ce dernier à sa façon. Le métrage fait efficacement état de la décadence du monde capitaliste dans son ensemble dans un maelstrom de spectacles tous plus débiles les uns que les autres, paradoxalement jouissifs.
4: La B.O., éclectique et immersive, qui nous plonge bien dans les années 80-90 (avec quelques reprises qui détonnent elles aussi comme celle de "Ca plane pour moi" de Plastic Bertand
5: LEONARDO DICAPRIO (!!!!!) et les rôles secondaires : Que dire de la performance de Dicaprio ? Peut être ne suis-je pas tout à fait objectif vu qu'il s'agit de mon acteur préféré dont je suis un fan absolu mais je considère qu'avec ce film, il dépasse ses propres limites et compose un des rôles les plus marquants de notre décennie (après avoir donné une des meilleures compositions dans un des rôles majeurs de la décennie 2000-2010 avec Aviator...). Complétement halluciné, débridé, sauvage, jouant du "fuck" à outrance (comme du "old sport" ;), transcendant complétement son personnage par l'accumulation de scènes cultes (dans le désordre : la "sodomie" au téléphone, le lancer de nain, la prise de Quaaludes et la scène déjantée qui suit avec Danny, l'engueulade au lit avec sa femme, la scène du yacht avec l'agent du FBI, les motivations de troupes au sein de Stratton Oakmont, la séquence de l'avion, etc...) , Dicaprio délivre une performance hystérique absolument incroyable et maîtrisé de bout en bout, sans doute sa meilleure.
Les seconds rôles sont aussi très bons avec un Jonah Hill très convaincant et drôle ainsi qu'un Matthew Mcconaughey qui signe une des meilleures scènes du film (hum hum hum...), tout comme un Rob Reiner hilarant dans le rôle du père
De la composition de haut vol qui propulse un film déjà excellent au film culte instantané.
Arrêtons-nous là pour le pitch. Attachons-nous plutôt à analyser ce qui fait de ce film une réussite quasi-totale.
1 : Martin Scorsese : à 70 ans, le pépé Scorsese veut prouver à tout le monde qu'il en a encore dans le pantalon et décide de se lancer dans un projet épique (le film dure 3 heures et plus avec les scènes coupées). Sa réalisation est magistrale, alternant ses tours de passe-passe habituels à des scènes étonnamment calmes formellement, composées uniquement de champs/contrechamps qui détonnent avec le reste, mais laissent soudainement la pare belle aux acteurs géniaux du film.
2: Le montage : les scènes cultes s'enchainent à la vitesse de la lumière, le film tient 3 heures sans faiblir (sauf peut être un peu vers la fin) et dresse un portrait complet et roboratif de la vie de Belfort.
3: Terence Winter, le scénariste, qui a fait un boulot d'adaptation assez incroyable en essayant de capturer l'essence du roman tout en agençant les scènes de ce dernier à sa façon. Le métrage fait efficacement état de la décadence du monde capitaliste dans son ensemble dans un maelstrom de spectacles tous plus débiles les uns que les autres, paradoxalement jouissifs.
4: La B.O., éclectique et immersive, qui nous plonge bien dans les années 80-90 (avec quelques reprises qui détonnent elles aussi comme celle de "Ca plane pour moi" de Plastic Bertand
5: LEONARDO DICAPRIO (!!!!!) et les rôles secondaires : Que dire de la performance de Dicaprio ? Peut être ne suis-je pas tout à fait objectif vu qu'il s'agit de mon acteur préféré dont je suis un fan absolu mais je considère qu'avec ce film, il dépasse ses propres limites et compose un des rôles les plus marquants de notre décennie (après avoir donné une des meilleures compositions dans un des rôles majeurs de la décennie 2000-2010 avec Aviator...). Complétement halluciné, débridé, sauvage, jouant du "fuck" à outrance (comme du "old sport" ;), transcendant complétement son personnage par l'accumulation de scènes cultes (dans le désordre : la "sodomie" au téléphone, le lancer de nain, la prise de Quaaludes et la scène déjantée qui suit avec Danny, l'engueulade au lit avec sa femme, la scène du yacht avec l'agent du FBI, les motivations de troupes au sein de Stratton Oakmont, la séquence de l'avion, etc...) , Dicaprio délivre une performance hystérique absolument incroyable et maîtrisé de bout en bout, sans doute sa meilleure.
Les seconds rôles sont aussi très bons avec un Jonah Hill très convaincant et drôle ainsi qu'un Matthew Mcconaughey qui signe une des meilleures scènes du film (hum hum hum...), tout comme un Rob Reiner hilarant dans le rôle du père
De la composition de haut vol qui propulse un film déjà excellent au film culte instantané.
Eric C.
Film hyper rythme, dejante, voir defonce comme le sont les heros du film durant ces 2h30 qui passent tres vite. Aucun tabou, aucun interdit, aucune morale et un Leonardo Di Caprio en mode speed sur tout la duree. C'est parfois too much tant le film ose aller loin et on ne peut que saluer le talent et l'audace de Scorcese qui a 61ans ne se contente pas de films peperes. Des second roles sublimes et cerise sur le gateau la revelation de la sculpturale, sexy, sensuelle et talentueuse Margot Robbie.
Martin Scorcese prouve encore une fois qu'il est encore une valeur sûre du cinéma. Alors j'ai tellement de choses à dire sur ce film que je vais le faire sans rien structurer (parce que c'est ma critique, je fais ques'que j'veux, na !). Alors ouais, c'est géant : 3 heures, ça paraît long, mais ça va à 100 à l'heure, on ne s'ennuie jamais. C'est osé, vulgaire, c'est sûr, mais avec un personnage comme Belfort et un monde comme la finance c'était la chose à faire. Alors ceux qui n'aiment pas les films vulgaires n'aimeront pas ce Loup de Wall Street, mais si vous pouvez vous lâcher, faire abstraction de ça vous adorerez. D'autant plus que toute cette vulgarité sert à démontrer les excès de ces gens. Dans les 2 premiers tiers le film est juste hilarant car complètement décalé : Scorsese nous plonge dans un monde complètement fou mais qui a bien existé. Et on commence tranquillement avec DiCaprio qui lance des nains dans une cible et McConaughey qui dans un flashback recommande la drogue, les prostitués et la masturbation et à partir de là le film, tout comme son protagoniste n'a plus de limite. Le dernier tiers est plus sérieux, plus sombre, après une overdose (volntaire) de débauches. Et le film n'est pas moralisateur, il n'accompagne pas le spectateur pour lui faire la morale, non, c'est à lui de comprendre à quel point cet homme, ses employés et ses amis sont complètement abrutis pas l'argent, que dans un monde qui va aussi mal que le nôtre c'est innommable de jeter de l'argent à la poubelle, de faire abstraction des lois ou d'arnaquer les plus faibles. Ceux qui voient une autre morale ont une araignée au plafond. Ce film c'est son protagoniste principal : malsain, sans aucune limite, complètement fou mais marrant. DiCaprio se donne à fond dans ce rôle d'ordure (rarement je ne l'ai vu péter autant de câbles), Jonah Hill est bluffant dans la peau de ce personnage ridicule et fou, Margot Robbie est magnifique autant qu'elle joue juste, Matthew McConaughey fait une apparition courte et marquante, Jean Dujardin se fera descendre par ses détracteurs mais moi je l'aime bien, et j'aime son personnage. Au niveau de la mise en scène, rien à dire, Scorsese filme toujours aussi bien.
Un biopic sans limite, effrayant dans le fond mais tellement décalé et fun sur la forme.
Un biopic sans limite, effrayant dans le fond mais tellement décalé et fun sur la forme.
(...) Martin Scorsese nous ici signe un véritable petit bijou, une satire terrifiante du temple de la spéculation financière ou les délires ne sont que le reflet d’un monde, qui se résume à l’intervention de Matthew McConaughey : « on ne produit rien, on ne construit rien ; la finance c’est du vent ! ».
Les lubies et autres délires ne comblent aucun vide, à travers Belfort s’exprime les Golden boy version Tony Montana qui dans leurs costards-cravates refusent d’assumer leurs statuts de criminels. Dans ce film, on nous montre que le monde de la haute finance est caractérisé par un cynisme, une folie qui va au-delà des lois, à la manière d’un Patrick Bateman, trader psychopathe des années Reagan dans le roman American Psycho de Bret Easton Ellis.
Le loup de Wall Street est un film jouissif, un monument d’agressivité visuelle, aux dialogues très savoureux et au vocabulaire épicé (...)
Les lubies et autres délires ne comblent aucun vide, à travers Belfort s’exprime les Golden boy version Tony Montana qui dans leurs costards-cravates refusent d’assumer leurs statuts de criminels. Dans ce film, on nous montre que le monde de la haute finance est caractérisé par un cynisme, une folie qui va au-delà des lois, à la manière d’un Patrick Bateman, trader psychopathe des années Reagan dans le roman American Psycho de Bret Easton Ellis.
Le loup de Wall Street est un film jouissif, un monument d’agressivité visuelle, aux dialogues très savoureux et au vocabulaire épicé (...)
bsalvert
Un grand moment de cinéma magnifiquement interprété par Di Caprio. Le tandem avec le réalisateur fonctionne décidément très bien.
PLV : un bon moment de cinéma
PLV : un bon moment de cinéma
Enfoncerais-je des portes ouvertes en notant que Martin Scorsese a tellement de talent que d'un sujet à priori chiant et énervant, il arrive à nous livrer un film exceptionnel, drôle, acerbe et intelligent ? Que DiCaprio, dont le minet tête à claques trop lisse qui sommeillait est mort depuis bien longtemps pour ressusciter dans la peau d'un crack, est une nouvelle fois génial dans un rôle compliqué taillé sur mesure ? Que Jonah Hill est assez bluffant dans un second rôle ubuesque et hilarant ? Que Margot Robbie a déjà beaucoup de talent malgré son jeune âge ? Que Matthew McConaughey arrive à être génial en seulement 10min ? Que ce film fait de Belfort le protagoniste grotesque d'un système grotesque ? Que les 3h passent très vite, que la BO est excellente et la mise en scène quasi parfaite ? Alors oui, je prends ma plus belle masse et je frappe allègrement dans le vide.
Que dire, sinon que c'est du pur Martin Scorcese ? Sexe, drogues, vantardises entre mecs. Ce film équivaut à une injection de testostérone, vraiment ! Je mets 4 étoiles et pas 5 car le film m'a tout de même semblé un peu moins bon que Les Affranchis ou Les Infiltrés...
Tous simplement génial, j'ai vraiment du mal a comprendre comment certains peuvent mettre 1 étoile à ce dernier Scorsese. Si on appréhende un peu les 3h avant de rentrer dans la salle, le film est tellement rythmé que finalement on en redemande presque à la fin. Di Caprio joue encore magnifiquement bien. Une très belle réussite
Tout bonnement sublime, il y'a de l'humour, de la joie, de la tristesse, de l'envie, du dégoût, et j'en passe. Le charme de ce film est l'incroyable prestation de Di caprio : Hallucinant...
Le Loup du Wall Street, un film biopic qui raconte l'histoire de Jordan Belfort, un ancien courtier américain qui s'est converti en tant que conférencier et motivateur. Il fond alors une entreprise de courtage, Stratton Oakmont... Autant le dire, Leonardo Di Caprio, est mon acteur favori, son jeu d'acteur est l'un des meilleurs dans le cinéma actuel. Et il le démontre avec ce film : totalement déjanté, déplacer, culotté, osé ... J'ai encore énormément d'adjectifs pour qualifier ce film qui est pour moi l'une des références du genre biopic dans l'histoire du cinéma. Le scénario respecte l'histoire du principal concerné, l'intrigue est bourrée de rebondissements inattendus. Le film est incroyablement rythmé et un humour sale déplacer qui fait son charme notamment par la réalisation d'un Martin Scorsese au sommet de son art. Par ailleurs avec un tel film, je me demande encore aujourd'hui, pourquoi Leonardo n'a pas encore gagné le moindre oscar ? Avec des long-métrage comme Django, Inception, Titanic et enfin Le Loup du Wall Street, c'est tout à fait, inadmissible, un manque de respect envers un acteur aussi talentueux. Venons-en maintenant, aux acteurs, ils remplissent tous leur rôle avec beaucoup de réussite. Jonah Hill par exemple, fait une prestation remarquable qui est à la hauteur de celle de Leonardo. Et que dire de Margot Robbie, une beauté des plus fatal, elle mérite un 20/20 coefficient 5 au bac. Elle apporte une saveur très sensuelle au film et c'est vraiment génial. Enfin, on peut dire que ce film, peut totalement nous embrouiller la tête, on peut éprouver plusieurs émotions à la fois, un film vraiment intense qui joue même parfois avec nos nerfs. Ainsi, Le Loup du Wall Street est une totale réussite de l'adaptation du roman éponyme. Avec un Martin Scorsese de ce niveau, on ne pouvait que si attendre.
Film biographique totalement caricatural et déjanté, à la fois écoeurant et délirant, servi par un DiCaprio excellent (n'ayant pas peur de se tourner en dérision), des dialogues délicieux et un montage extra-ordinaire (flash-backs, images interposées, plusieurs versions d'une même scène)... Bref, si vous n'avez pas peur d'affronter 3 heures de coucherie et de débauche, Le Loup de Wall Street est vraiment un film de très bon niveau cinématographique.
Note sur notre compatriote Jean Dujardin: tout à fait mauvais dans son petit rôle surjoué... Difficile comparaison avec le maître Dicaprio!
Note sur notre compatriote Jean Dujardin: tout à fait mauvais dans son petit rôle surjoué... Difficile comparaison avec le maître Dicaprio!
The Best Film Ever
Ce film est super !
Les acteurs jouent vraiment bien, l'histoire est énorme, bref on voit pas le temps passer ! :))
Ce film est super !
Les acteurs jouent vraiment bien, l'histoire est énorme, bref on voit pas le temps passer ! :))
Du cinéma total, ample, riche, complexe, jusqu'au boutiste, assumé. Scorsese ne livre pas les clés mais met un loup en pâture, un self-made man qui s'approche trop près du soleil, la quête d'une insatisfaction chronique, Portrait hystérique et électrisant de Jordan Bedfort, d'un homme, d'un système, d'une société, d'une civilisation pratiquement. The today man. Alors quand tu rajoutes des scènes qui marquent instantanément et un acteur comme Di Caprio ou ce panel de seconds rôles étoffés, tu te dis que revoir Le loup de Wall Street est déjà une absolue nécessité, parce qu'il y a encore des choses à y découvrir.
A ceux qui parlent d’obscénité complaisante, d'humour douteux, ou de manque de regard critique de Scorsese envers son personnage, je pense, humblement, qu'ils n'ont rien compris. Scorsese décapite notre société, la rend plus vraie qu'elle-même, dans cette quête vaine et absurde de gloire, d'argent, de plaisirs. Il n'y a qu'avec ce regard outrageux qu'on peut enfin regarder ce que nous sommes droit dans les yeux. Sick society.
Du grand art.
A ceux qui parlent d’obscénité complaisante, d'humour douteux, ou de manque de regard critique de Scorsese envers son personnage, je pense, humblement, qu'ils n'ont rien compris. Scorsese décapite notre société, la rend plus vraie qu'elle-même, dans cette quête vaine et absurde de gloire, d'argent, de plaisirs. Il n'y a qu'avec ce regard outrageux qu'on peut enfin regarder ce que nous sommes droit dans les yeux. Sick society.
Du grand art.
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