Avis : Le Loup de Wall Street - Page 5

C'est un film orgiaque. L'impression que j'ai est que le réalisateur et les acteurs avaient envie de retrouver l'ambiance de la Rome antique. Du sexe, de l'argent, de l'alcool, de la drogue à en être malade. Ça semble bien peu réaliste et l'approche par la bourse semble la seule approche possible pour cette idée de débauche friquée.

Excessif, et tout ce qui est excessif est insignifiant .
Scorcese, faut laisser la place aux jeunes maintenant

très décevant : aucun suspense. Des scènes d'orgie qui n'apportent plus rien à partir de la 3ème. Il n'y a pas de morale : a quoi sert cette description ? Pas d'émotion non plus. Le film est sauvé par di caprio qui joue bien mais dire que cela mérite un oscar c'est beaucoup trop !!

Dans les années 80-90, Jordan Belfort, trader, fait fortune. Pendant 2h50, Scorsese nous invite à suivre son jeune héros dans ses diverses orgies (sexe, drogue, fric,....). On ne doute pas un seul instant qu'en adaptant l'autobiographie du trader, Scorsese cherche à dénoncer les dérives de la finance. Mais on est moins sûr que tous les spectateurs l'accueillent ainsi.

En effet, le film bénéficie d'une mise en image rythmée, laissant place à l'humour et un vocabulaire branché (et souvent grossier). L'essentiel des scènes a pour sujet des partouses, des prises de drogue et des virées en yacht. Tout est outré, dialogue et jeu, mise en scène sans distance, sans jugement. Tout cela est-il minable ou cool ? Scorsese se contente de filmer l'outrance. Les scènes d'orgies se suivent et se ressemblent. Jusqu'à l'écœurement ? Du coup, en plus d'être gênés par le parti pris qui semble être "la forme fait le fond", on s'ennuie rapidement. Même la qualité de la prestation de Leonardo du Caprio, excellent comme souvent, finit par lasser.

Habituellement je suis un grand fan de Martin Scorsese mais là j'avoue que ma déception est grande. Pour dire vrai je ne le trouve plus très en forme depuis 2006 et ses Infiltrés mais là il faut dire que le grand cinéaste new yorkais coule littéralement. Non mais c'est vrai, déjà le sujet est un peu rasoir, déchéance et chute d'un magnat du dollar avec jurons, sexe et fric à gogo sérieux tout manque de tact. On tombe dés le début du film dans le m'a tu vu, la paresse et l'égocentrisme. Etonnant pour un film qui veut promouvoir les idéaux contraires. Le fond est profondément raté ainsi que les acteurs qui livrent leurs performance la plus glaciale depuis leurs début. Aucunes directions de jeu, ils ne font que crier leurs textes, aucuns charismes et leurs personnages de débiles les collent trop a leurs peaux. Donc du balourd dans ce film soit disant dénonciateur mais qui ne fait qu'affirmer les actes peu recommandés de leurs personnages. Marty s'en sort par quelques séquences reussites et originales mais il n'y a réellement pas grnad chose à retenir du Loup de Wall Street.

Trop long, une heure trente aurais largement suffit!! histoire bien écrite, même si on ne comprend pas tout les termes du monde de la bourse, fin qui me fait dire que j'ai perdu trois heures de ma vie pour ça....

La plus grosse déception de l'année. Je me faisais une joie de retrouver le duo Scorsese/ DiCaprio (Gangs of New York; Les Infiltrés...) et au final on a là le film le plus inutile de la décennie.

Ce film enchaine les caricatures du début à la fin! Quel est l'intérêt de faire un film de 3 heures, (C'est long! mais qu'est ce que c'est long!) pour au final voir la même chose, spoiler: Dicaprio qui geule, puis de culs, encore dicaprio qui gueule et puis des culs et ce jusqu'à la fin
. Ah oui entre temps on voit des "scènes comiques" spoiler: Dicaprio qui bave parce qu'il est drogué (ça vous fait rire sérieux)
. Je n'avais jamais vu Leonardo DiCaprio aussi mauvais, il en fait des caisses et ça rend le film encore plus ridicule.

Heureusement que Jonah Hill est là pour redresser la barre spoiler: (ce qui me fait penser à cette scène ridicule encore une fois du yacht dans la tempête)
.

Pour finir le mixage sonore est vraiment raté, et la bande son a détruit mes oreilles (" spoiler: Plastic Bertrand" non mais sérieux, on est où là ?).

Je suis surpris que la presse adore ce film qui pourtant ne reflète en rien la réalité du monde de l'argent et de son utilisation dans "les hautes sphères".

Franchement même "No pain No gain" (qui est une histoire vraie aussi) est mieux.
Vraiment je suis déçu, on m'a vendu un chef d'oeuvre, tout ce que j'ai vu c'est un navet.

Beaucoup de personnes autour de moi attendaient avec impatience que je décoche une critique de ce loup de Wall Street. Si beaucoup l'ont encensé, ce n'est franchement pas le cas chez moi.
Scorscese est d'abords un réalisateur qui est responsable concrètement de la genèse de mon coup de gueule contre ce loup de Wall Street. Je n'ai jamais été fan de son style cinématographique et de sa technicité de réalisation.
Ici avec ce film je savais réellement à quoi m'attendre et le pitch fut surtout intéressant. Jordan Belfort joué par Di Caprio dans un film présentant les méandres de la bourse, j'ai dis franchement pourquoi pas.
Alors voilà comment j'ai gaspillé 2h59 de ma si belle vie devant ce film rassemblant frasques débiles de millionnaires complètement livides psychologiquement... La tentative Scorscesienne était réellement culottée mais la tâche à réaliser était sans doute trop importante pour un réal' comme Scorscese.

Le film est bien construit, réalisé sobrement et de manière linéaire ce qui est certes une qualité rare pour ce genre de film extrêmement long. Mais l'ennui nous envahit très vite et ça c'est franchement décevant. Je ne vous dit pas à quel point on s'en fout complet de ces frasques à répétition de la bande à Belfort et à la longue ça donne une gerbe pas possible.

Scorscese est trop surestimé et ce film aussi, il ne vaut pas les élogieuses critiques à son égard. D'où assister à des scènes de culs exacerbées et des scènes où les protagonistes se droguent à répétition est un chef d'oeuvre ?

Je met 1,5 point car ce film est entré aux oscars (Et je respecte cette cérémonie) et pour la scène entre Matthew Mcconaughey et Dicaprio lorsqu'il chantonnent un air en se frappant le torse.

DiCaprio est toujours aussi doué mais le film ne m'a pas plu. Je me suis ennuyée, presque endormie. Esthétiquement cela n'a pas d'intérêt.

Scénario prévisible, des longueurs, trop de longueurs, quelle bande d'excités. A éviter

Quelle énorme déception ! Sérieusement, ce film fait la quasi apologie du fameux "Loup" et moi, comme un abruti, j'ai payé pour voir ça ! N'y allez pas, c'est du temps et de l'argent perdu. J'en conviens, Léo est toujours aussi parfait et je pense que sans lui ce navet ne serait même pas sorti en France. Monsieur Scorsese sait lui aussi faire du pognon avec les talents des autres et ici, le seul talent que l'on croise c'est la renommée de L. DiCaprio.
D'aucun diront que Scorsese la joue provoc'... Mouai, un peu facile. Je pense honnêtement qu'il s'est lancé dans un projet qu'il n'a pas maîtrisé et qu'il a fini par faire de la daube...
Loin d'être puritain, je n'en suis pas moins totalement opposé à la promotion de l'usage des drogues qui ici coulent à flot sans causer plus de problème que ça. OK, on y voit bien que cela "nuit" à la vie de couple des personnages mais sans plus. Et du coup, aller hop, on se refait un rail et ça va mieux ! Et histoire de se maintenir en forme, orgies, partouzes et autres fiestas se suivent et se répètent en veux-tu en voilà. Si vous voulez voir de belles filles s'envoyer en l'air autant vous offrir un dvd de F. Coppula, au moins les choses seront clairement définies. Là encore, Scorsese a trouvé une bonne technique pour se rincer l'oeil (voir plus) et offre à ses acteurs de très bons souvenirs et images (voir plus aussi) sous couvert de sa renommée : quand c'est lui qui demande à une jolie actrice de se masturber en plein écran les jambes bien écartées, on appelle ça de l'art. Quelqu'un d'autre fait la même chose on appelle ça du porno.
Au delà donc des scènes de sexe inutiles, de l'apologie de l'usage de toutes sortes de substances psycho machin, ce film n'apporte rien. Mais vraiment rien. Tout ce qui y est dit, tout ce qu'on y voit a déjà été dit et vu dans nombre d'autres films mais aussi dans nombre de docus sur les traders, la bourse, wall street... Quant à la présence de J. Du Jardin là aussi, c'est franchement la grosse arnaque de l'année ! La presse en a fait tout un cinéma pour vanter les mérites des acteurs français ! La honte ! Il est très bien dans son rôle, parfait même. Rôle qui le place à l'écran plus ou moins 4 minutes dont quelques secondes en binôme à l'écran avec DiCaprio : wouaw... Et lui aussi a eu droit à sa scène hard avec une magnifique pin-up (20 secondes).
En revanche, j'ai noté l'utilisation du tube de P. Bertrand "ça plane pour moi". Tudieu, v'là t'i pas que la culture francophone envahit le cinéma américain !
Ce film sans genre, est donc non seulement évitable mais à éviter ! Ce n'est absolument pas un portrait de société ni rien, pas une comédie, pas un policier ce n'est rien qu'une longues suite de séquences où les acteurs s'éclatent et d'où on ressort avec le sentiment de s'être fait avoir du prix d'une place de cinéma et de 3 heures de sa vie ! Dire que j'ai loupé Albator pour ce truc !
A bon entendeur...

Alors digne ou pas de Scorcèse, ce film vaut certainement pas une nomination ou encore moins un oscar ;
J’ai eu la vague et désagréable impression de voir une parodie pitoyable de Projet X à Wall Street ou encore un vieux very bad trip pour drogués novices.
On ne retient dans ce film (vu en V.O) que des « fuck…..fucking……….fucker » à tout bout de champ.
Et toute sorte de sujets mélangés en même temps : le sex, l’argent, la drogue, le travail, l’amour, les finances, etc etc……un sacrée bordel toutes les 10 min quoi.
Entre des partouzes d’acteurs vraiment lamentables et honteux qui jouent la débauche comme pas possible. Ou des drogués bureaucrates qui sniffent leur sucre glace de manière pas du tout réaliste (ou sont les yeux rouges, les vrais comportements de toxicos ? Les businessmen en sont-ils exempts car supérieurs ?)
Pendant 3 longuuuuues heures de visionnages, on voit donc du sex, des gros ricains debiles a souhaits, des vieilles nanas à poils et hautement vulgaires, si ce n’est inutiles, de la cocaïne, héroïne comme s’il en pleuvait, des couples stupides et clichés qui font l’amour sur des matelas de dollars, une apologie débile et ratée de l’argent pour les capitalistes, des gags tordus…et j’en passe ! Ce film aurait du s'appeller « Le Fucker de Wall Street » pour pas nous faire perdre notre temps, est juste une immense marmite a thèmes bien dérisoires et sans grande valeur.
En plus de ça, l’ambiance années 70s est drôlement loupée et des vaines allusions ou musiques d’époques passent si mal dans le rendu qu’on ne s’y croit même pas. Seul point positif, la manière de filmer et la technique de prise d’image donnent vraiment l’impression que cela a été filmé à une autre époque. (enfin pas dur avec les bons filtres)
Je retiens également la pathétique prestation de Mc Conaughey mais bonne apparition de in qui casse ce foutu élan de domination americaine. Heureusement il y a quelques passages drôles et loufoques, sinon la perte de temps serait totale.
Evidement Di Caprio est bon acteur, mais cette prestation était a mon sens la plus ridicule de sa carrière.
Bref, était-ce vraiment une critique intelligente ? Etait-ce une dénonciation d’un système capitaliste ou du mode de vie des traders ?
On ne le saura jamais tellement ce fut mal réalisé et raté. Et dans ce cas-là un reportage du style de aurait vraiment mieux valu. Ce film n’apprend rien, ne transpire rien, ce n’est pas moins qu’une grosse perte de temps avec un bon acteur.
Ce film j’ai nommé « Le Lapin de Wall Street » (vraiment trop vendu) sera le bide de l’année. Bravo

Ce qui aurait pu être un film tonique, avec de bons acteurs, se révèle malheureusement un film ennuyeux à cause des longueurs et des redites.
On a l'impression que le réalisateur tourne en rond parce qu'il ne sait pas quelle fin donner à son film.
Quelques belles femmes nous retiennent pour ne pas quitter la salle avant la fin ...

Lourdingue et (fucking) très longue foire aux (fucking) crétins cupides, défonc'manes et érotomanes.
Passé un début assez elliptique, le film tourne en rond dans une description répétitive de scènes de débauche où Scorcese montre à nouveau qu'il est un cinéaste qui aime étaler sa (fucking) virtuosité ( et se plaît à empiler les scènes "poudrées" jusqu'à...l'overdose). Comme souvent chez l'italien speedé, beaucoup de voice-over redondantes et de dialogues interminables entre abrutis acculturés et violents (généralement entourés de bimbos vénales et dénudées - que du beau monde vous dis-je !)... Quant à nous éclairer sur la réalité de la criminalité financière (on doute que chez Lehman Brothers ou Goldman Sachs on ait été aussi "bas de plafond"), malgré le titre, ce n'est pas le propos. Mais quel est donc au juste le propos de ce (fucking) film ?

Un film écoeurant... Une réalisation complaisante et naïve. On ne se passionne pas une seconde pour ce film creux et sans intérêt. DiCaprio est toutefois convainquant en courtier mégalo mais... que l'on trouve le temps long ! C'est juste ennuyeux à mourir...

Rendez-nous le tandem Scorsese-DiCaprio de Shutter Island !