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    Le Loup de Wall Street
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    2 651 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 juin 2018
    Je trouve ce film avec Léonardo Di Caprio ( que j'aime beaucoup comme acteur ) , mise en scène de Martin Scoresse est un film biographique sur la vie de Jordan Belfort inspiré du roman autobiographique du même Jordan Belfort . L'histoire se passe dans les années 1990 . Ce film a un casting plutôt cinq étoiles entre autres Margot Robbie et Jean Dujardin alors en pleine carrière internationale n'a que un petit rôle . Dans la version française du film , les dialogues sont plein de gros mots et la vulgarité à plein vol . On retrouve la voix de Damien Wittecha pour la voix française de Léonardo Di Caprio qui ne l'a plus doublé depuis 2010 . Ce film est le plus grand succès commercial de Scoresese mais je reconnais que c'est un grand réalisateur . Le film dure 3 heures .
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2018
    Dès les premières minutes du film, on sait tout de suite qu'on est chez Scorsese : narration du héros en voix-off, truands, drogue et musique 60's. Seul thème scorsesien absent : la violence. Di caprio est décidément magnifique quand c'est le maître qui le filme. Et c'est étonnamment moderne pour un film fait par un homme de 70 ans qui a déjà tout prouvé. Reste une perte de souffle sur la fin et une chronologie scenaristique un peu trop téléphonée. Mais ça reste un vrai plaisir de cinéma. Merci Martin !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 juin 2018
    Un film sans aucune structure, dénué d’interet, et qui présente des longueurs accablante. De plus, la vulgarité permanente de ce film est à souligner
    Jérémy J.
    Jérémy J.

    14 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2018
    Ce film est top! Mouvementé, déchaîné, touchant, bien ficelé. Clairement on a pas le temps de s’ennuyer une seule seconde. On rigole tout le long et si on rigole pas on est pris dans le film grâce aux moments touchant ou aux moments "suspens". L'histoire est bien ficelé et on a envie de savoir comment cet homme excentrique va finir (bien ou mal?). Et on va pas se cacher que le film et très bien réalisé, les images et les couleurs sont tout simplement excellentes. ET je ne parle pas de Di Caprio qui, comme souvent, brille tout simplement dans ce film. Il participe pleinement avec son actorat à la réussite de ce film! Bref, j'ai mis du temps à le voir, mais je suis loin d'en être déçu.
    Ron Burgundy
    Ron Burgundy

    19 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2019
    Ah la la mon Martin Scorsese préféré, je dois dire que malgré sa longueur de 3 heures on n’a pas le temps de s’ennuyer avec toute cette drogue, tout ce sexe et un peu d’économie aussi. Leonardo DiCaprio aurait mérité un oscar pour ça quand même, il se donne à fond, il est incroyable.
    Je vous le conseille avidement
    Kalie
    Kalie

    62 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2020
    Martin Scorsese signe avec ce film au rythme effréné, un chef-d'oeuvre incroyablement osé et complètement fou sur les dérives de l'argent. La réalisation imaginative (comme spoiler: les événements racontés dans différentes versions par le narrateur
    ) m'a d'emblée captivé. Les scènes de sexe et de drogue, omniprésentes, sont traitées avec humour, sans jamais tomber dans le sinistre. Il faut dire que rien n'arrête l’enthousiasme de ces américains en col blanc, chantres du capitalisme, se croyant libres mais en réalité prisonniers de leurs excès, et ce jusqu'à spoiler: la chute rédemptrice
    . Les dégâts familiaux (couple, enfants) sont d'ailleurs ici vite balayés. Cela rend le film d'autant plus immoral. Les dialogues et situations tarantinesques sont jubilatoires ( spoiler: l'importance de la masturbation chez les traders, pour ou contre le poil chez les femmes, les prostituées présentées par catégorie, la location de nains
    , etc.). Bref, il s'agit de mon film de Martin Scorsese préféré, et de la meilleure prestation de Leonardo DiCaprio à l'écran. Ce dernier donne beaucoup de sa personne dans le film comme la plupart des autres acteurs tel Jonah Hill en roue libre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 mai 2018
    Money sexe and drugs ! Non ce n'est pas du dernier album de Lil Wayne dont on parle mais bien du dernier Scorcese. On y découvre les dessous de Wall Street avec tous les excès que l'on imagine. Léonardo Di caprio nous livre une de ses meilleurs performances dans ce rôle de banquier mégalo boosté à la coke. spoiler: F*ck f*ck f*ck
    Jordan Belfort aime prendre de la drogue autant que les femmes, mais ce qu'il aime le plus c'est l'argent et il est prêt à tout pour construire son empire. Jean Dujardin , Jonah Hill, Matthew Mcconaughey spoiler: B*tch Better Have My Oscar
    ou encore Margot Robbie pour compléter un casting de choc. Ce bon vieux Martin nous en met plein la vue pendant près de 3h, sans que l'on s'ennuie une seule seconde. A voir et revoir sans modération !
    Romain C.
    Romain C.

    82 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2018
    Le Loup De Wall Street réalisé par le génial Martin Scorsese à qui l'on doit plusieurs chef d'oeuvre n'est pas un film commun / courant .
    Ce film montre l'ascension au sommet ,le besoin d'avoir toujours plus d'argent et ce que ça coûte ,la dépendance et le besoin de drogue sans pouvoir sans passer une journée et les problèmes qui en suivent ,les problèmes de couples quand on est comme ceci ,... .
    Les problèmes du film sont que le dialogue vulgaire n'est pas toujours utile ou drôle , (je vais me mettre des gens à dos) DiCaprio est très bon et impliqué dans son personnage mais il en fait parfois trop ,Hill est moyen , Dujardin n'est pas convaincant .
    Le sujet comporte de l'originalité à travers un scénario complexe et rempli de rebondissements et d'inattendu.
    Margot Robbie est très douée et la participation de Connaughey est la bienvenue .
    guy m.
    guy m.

    8 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mai 2018
    C'est un film sur l'excès. Mais l'excès étalé sur trois heure, ça finit par lasser. Les personnages et les situations sont tellement stéréotypés que l'on attend avec impatience l'arrestation de Jordan Belfort pour passer à autre chose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2018
    Un chef d'oeuvre orchestré par notre fabuleux Leonardo Di Caprio qui démontre encore une fois son superbe jeu d'acteur. Le film est certes cru mais prenant et fidèle à ce que penserait monsieur toutlemonde du monde de la finance.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2018
    septiemeartetdemi.com - Quand on est Scorsese, on n'a pas besoin d'avoir peur de ce qu'on fait. Pourtant son œuvre est effrayante ; le loup du titre n'est pas qu'une métaphore, il est incarné aussi dans les trois heures que dure le film, dans le talent de DiCaprio, et il est comme l'esprit flottant au-dessus des orgies de la Bourse de Wall Street. Il y aura tellement de corps nus qu'il faut en parler au partitif plutôt qu'au pluriel : du corps nu, que Scorsese censure avec toute la douceur de sa technique quand il ne le laisse pas paraître intégralement ; ça reste une orgie et il faut bien la montrer comme telle.

    La particularité du film est d'être beaucoup joué en voix off, au point qu'elle n'est plus un outil mais une finalité. Explicative, rythmante, répondue ou ignorée, elle peut constituer des dialogues qui ne se produisent que dans l'imaginaire des personnages. Un détail sans importance, qui ne construit rien mais qui vaut le détour. D'autant que cela nous amène à parler du « jeu off », qui fait s'adresser les acteurs directement à la caméra. Là, c'est le ton qui est suffisamment bien géré pour que ça ne fasse pas tâche d'huile. Et ce n'est peut-être pas un hasard si le « off » est tellement présent, puisque les traders jouent de la voix dans leur profession et qu'ils sont en « off » de l'autre côté du téléphone, pour le client. Le tout peut n'avoir l'air de rien mais c'est comme ça que le spectateur ressent la Bourse comme une arnaque aux proportions de la Grosse Pomme tout en étant irrémédiablement attiré par ses fastes le temps du visionnage.

    Mais le procédé principal autour duquel s'enroule l'intrigue est celui-ci : dans la jungle de Wall Street, les fauves sont nourris de gros morceaux de dialogues, et leur roi n'est pas un lion mais un loup. L'assimilation de ces grands textes déclamés par eux répond de la même technique de laquelle résulte une partie du « off » : l'improvisation, que Scorsese chérit. Elle provoque des conversations qui parfois se mélangent un peu trop pour être plaisantes, mais ce n'est là que la raison qui fait son retour pour nous rappeler que la Bourse est un milieu sauvage.

    On finit sur les défauts ? Tout marche trop bien, pour aboutir sur une partie finale qui est un escalier descendant dans lequel on chute plutôt qu'on marche. La plupart des derniers rebondissements semblent superflus et la fin ne s'attache pas beaucoup de mérite à ne pas être un simple happy end. Le personnage de Jean Dujardin pique pas mal aussi ; il est l'interlude comique dont on aurait pu se passer, qui tue sa propre crédibilité dans un mutisme inexplicable et un sens de la diplomacie qui ferait pâlir un berserker.

    Au global, l'œuvre reste un coup de génie dans la façon de percevoir la vie délurée de certaines personnes parmi les plus riches. Elle dépeint presque aussi bien la dépendance à la drogue que Requiem for a dream et s'en sert pour se métamorphoser tout entière en un trip dont le spectateur peut profiter sans états d'âme. Un trip inoffensif et feelgood, comme en témoigne la scène qui met en parallèle la cocaïne et les épinards de Popeye, dont la consommation permet ni plus ni moins de sauver une vie. Et n'est-ce pas le genre de choses qui fait qu'on aime Hollywood ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Je ne m'attendais pas à cela.
    Je suis très déçu de ce film.
    Leonardo pourquoi as tu accepté de jouer dans ce film dépourvu d'intérêt.
    Film ennuyant à mourir. Trop long. Beaucoup trop de scène tordu. Film très gênant à voir.
    C'est une honte.... un gros navet je vous le déconseillé fortement
    gizmo129
    gizmo129

    99 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2018
    On trouve nombre de critiques dithyrambiques sur le film de Martin Scorcese : Le loup de Wall Strett, et pourtant je ne serais pour ma part pas aussi élogieux. Coté casting, rien à dire, c'est parfait, Di Caprio en fait des tonnes mais le fait bien et sait être touchant quand il le faut tout en étant drôle aussi, la maturité lui va si bien. Les seconds rôles sont costaux aussi, avec notamment un Jonah Hill à contre emploi et un Matthew Macgonogay qui nous sort une scène culte dès le début du film et qui aurait mérité d'être bien plus présent à l'écran par la suite ! Pour la réalisation c'est très propre, comme toujours avec ce réalisateur, mais quand bien même, à quoi sert ce film ? Terriblement long (3h), terriblement fatigant par sa débauche de drogue, d'alcool, de sexe, d'insulte, pourquoi nous faire subir tout ca ? Le sujet aurait pu être bien plus passionnant sans ce partie pris, d'en faire toujours plus, de faire le film avec le plus d'insultes, de montrer du sexe à tout bout de champ, de montrer quelle drogue est la meilleure, etc. Finalement la morale est absente, sauf dans les 5 dernières minutes mais c'est bien peu pour un film de cette longueur... Oui cela reste plaisant à suivre, on peut soit être horrifié par ce monde de la finance et ses excès soit admiratif, mais quoi qu'il en soit cela reste bien loin de la réalité de la finance française voir de nos petites agences de quartier, ne confondons surtout pas tout ! Alors pour ma part, je reste sur ma faim, un traitement moins fou furieux aurait pu être envisagé, et un travail sur le fond plus que la sur forme appréciable. Que retenir du film alors ? Une seule chose, parmi tout ce foutras, la grâce et la beauté vertigineuse de Margot Robbie qui est la fois belle et très bonne actrice, quelle classe !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 février 2018
    Pour la première fois de sa carrière, Martin Scorsese se voit récompensé par l’Oscar et le Golden Globe du meilleur réalisateur pour « Les infiltrés », polar certes divertissant mais qui m’a laissé sur ma faim. Son vingt deuxième long-métrage ? « Shutter Island ». Pour mon premier visionnage, ma réaction est : spectacle subjuguant totalement incritiquable aujourd’hui (attendons un deuxième visionnage pour en comprendre toutes les variantes !). Les deux récompenses citées ci-dessus colleraient mieux à « Shutter Island ». Mais cela n’engage que moi (!). Arrive ensuite le pilote de la série « Boardwalk Empire » qu’il dirige et produisant, au passage, la saison une (l’histoire se passe dans les années 1920 à Atlantic City) ; puis « Hugo Cabret », accueilli ‘à tombeau ouvert’ dès sa sortie (pluie de récompenses, -onze !!- parmi lesquelles le Golden Globe du meilleur réalisateur, méritées car il fait une fois de plus l’éloge du cinéma en invitant l’artiste Méliès dans son cinéma !). Son projet suivant en tant que réalisateur ? « Le Loup de Wall Street ». 2008 étant l’année de crise aux Etats-Unis, le tournage du film est reporté car aucun producteur ne voulait financer un projet aussi coûteux et pharamineux.
    Le scénario de l’adaptation du roman éponyme de Jordan Belfort ? L’ascension et la chute de Jordan, jeune courtier et imposteur de la bourse new yorkaise… .
    Terence Winter, également scénariste des « Soprano », réussit un tour de force en la compagnie de Scorsese : raconter pendant trois heures un spectacle démesuré sur la vie hors norme de Jordan Belfort à qui tout lui vient : argent, pouvoir, femmes, avarice, envie. De cette narration scorsesienne, toujours dans le juste ton, Winter nous invite à suivre cette débauche friquée qui s’apparente davantage à un pamphlet contre les us et coutumes des boursiers que sur l’apanage du gain (énormément facile). Les aventures contées par Terence nous invitent à apprécier Jordan qui se fait l’associé du diable tout en étant ce héros de l’American way of life. Un héros déchu qui ressemble étrangement à un certain De Niro dans « Casino », un Ray Liotta dans « Les affranchis », un Harvey Keitel dans « Mean streets », vous l’aurez compris un thème cher à Scorsese qu’il réussit à remettre au goût d’aujourd’hui. Les séquences d’orgie, tout comme les discours de Jordan nous laissent sans voix et c’est sur un rythme tendu et effréné que l’humour grinçant scorsesien s’incruste dans le métrage, ainsi que les homards que lancent Jordan sur les hommes du FBI (!). Un scénario limpide donc, mais ficelé tel un gangster sortirait son gun : bim ! Le modernisme scorsesien dans toute sa splendeur.
    Ajoutons là-dessus la mise en scène de maître Scorsese : une leçon magistrale de sa part ! L’on ressort tout secoué de ce métrage concocté par le futur réalisateur de « The irishman ». Explosive, abrasive, détonante, dilettante, cette satire sur les gourous financiers foisonne de la technique de Marty qui retrouve ici sa bande fétiche (DiCaprio, Shore, Robertson, Winkler, Sandy Powell, et la collaboratrice de la toute première heure : l’indétrônable Madame Schoonmaker !) qui font tous un boulot d’enfer.
    Avec le réalisateur de « La valse des pantins », mise en scène et bande-son s’allient. « Le loup de Wall street » ne déroge pas à la règle ! La bande sonore proposée par Howard Shore, aidé d’un certain assistant nommé Robbie Robertson, nous prouve la passion du gamin de Little Italy pour le blues et le rock. On se prend à reconnaître Bo Diddley, John Lee Hooker, Plastic Bertrand… et donc à vibrer par le sens du rythme donné par le maître. Jubilatoire !
    Un métrage scorsesien est également caractérisé par une direction d’acteurs plus-que-parfaite. Le film sur Jordan Belfort remplit ainsi le contrat : un casting en or nous est ainsi proposé. Dans la peau du courtier argenté : Leonardo DiCaprio. Il est le loup, et le Golden Globe du meilleur acteur remporté est amplement mérité. Une composition hallucinante pour un rôle de gourou qui lui sied à merveille. Crions tous au loup : aoooouuuuuh ! A ses côtés, on trouve Matthew McConaughey (primé par l’Oscar du meilleur acteur pour « Dallas buyers club »), irrésistible dans la peau du mentor de Jordan, Jonah Hill (« Supergrave », « War dogs ») en affreux trublion et meilleur copain de Belfort et qui trouve dans ce rôle le passant comique du « Loup de Wall street », et Margot Robbie (ici révélée par Scorsese, et aujourd’hui connue pour avoir joué dans « Suicide squad ») qui forme avec DiCaprio un couple charnel, étincelant et déchirant. Avec également Rob Reiner, Jean Dujardin et Jon Favreau qui se renvoient la balle avec une répartie communicative. Vive les loups !
    Pour conclure, « Le Loup de Wall Street »(2013), une production Scorsese, DiCaprio & Winkler et cinquième collaboration DiCaprio/Scorsese, est un biopic pamphlétaire scorsesien à la limite du chef d’œuvre : mmmh mmh… mmh mmh mmmh… !
    Interdit aux moins de 13 ans et accord parental souhaitable.
    PS : mon cycle du cinéaste de Little Italy terminé, je me permets de dire une dernière chose à son sujet. Son film culte : « Les affranchis » ; son film mythique : « Silence » (que je considère actuellement comme le parachèvement de son œuvre).
    Spectateurs, un taxi driver peut-il être un infiltré new yorkais ayant les nerfs à vif ?
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    32 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 septembre 2018
    Un Di Caprio magistral dans le rôle d’un jeune trader particulièrement doué pour vendre tout et (surtout) n’importe quoi à n’importe qui. Jordan Belfort n’obéit qu’à une règle : le profit à tout prix ! Il va alors sombrer dans l’indécence et la dépravation, avec des prostitués à gogo, des drogues toujours plus puissantes et un mépris de la loi et des autorités. Mais malgré toute cette débauche, Scorsese réalise presque un film humoristique avec son loup de Wall Street, si on aime l’humour corrosif... Il en faut toujours plus à Belfort et son équipe qui s’affranchissent allègrement des lois, malgré la pression du FBI. Mais ils ont de quoi payer les meilleurs avocats pour les conseiller et passer au travers des mailles du filet. Une partie de l’intérêt de ce film repose sur cette confrontation entre le FBI (la moralité) et Belfort (l’audace et l’indécence). Un grand film avec un superbe Di Caprio
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