Quelques kilos de dattes pour un enterrement : Critique presse
Quelques kilos de dattes pour un enterrement
Note moyenne
3,1
8 titres de presse
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Le Monde
Télérama
Critikat.com
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Malgré les brimades et les menaces du régime des mollahs, le cinéma iranien n'a jamais été aussi actif, en prise directe sur le désenchantement d'une population comme coupée du monde et qui ne semble même plus rêver à un avenir meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Quelque chose de primitif se dégage de cette farce grinçante oscillant entre violence et humour. Une bonne nouvelle pour le cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par François Forestier
Le regard de Salman Salour sur ces oubliés est tendre, chaleureux, parfois amusé. (...) la critique n'est jamais frontale, mais lointaine et biaisée. C'est d'autant plus savoureux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Plus qu'une découverte, c'est une curiosité.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Saman Salour se livre à une critique de son pays, son administration incompétente.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Mathilde Blottière
Avec humour, Saman Salour capte une terrible solitude dans l'immensité de la steppe iranienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Alice Leroy
[L']incursion [du réalisateur] dans cette direction est plus évidente dans son dernier long-métrage, "Lonely Tunes of Teheran", dont les deux protagonistes, marginaux dans la métropole, semblent tendre un miroir aux ermites rustiques et campagnards de son film précédent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Philippe Jambet
Mues par une obsession clinique du cadre, au détriment de la narration, les premières images sentent la carte de visite destinée aux festivals occidentaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
Malgré les brimades et les menaces du régime des mollahs, le cinéma iranien n'a jamais été aussi actif, en prise directe sur le désenchantement d'une population comme coupée du monde et qui ne semble même plus rêver à un avenir meilleur.
Les Inrockuptibles
Quelque chose de primitif se dégage de cette farce grinçante oscillant entre violence et humour. Une bonne nouvelle pour le cinéma iranien.
TéléCinéObs
Le regard de Salman Salour sur ces oubliés est tendre, chaleureux, parfois amusé. (...) la critique n'est jamais frontale, mais lointaine et biaisée. C'est d'autant plus savoureux.
Cahiers du Cinéma
Plus qu'une découverte, c'est une curiosité.
Le Monde
Saman Salour se livre à une critique de son pays, son administration incompétente.
Télérama
Avec humour, Saman Salour capte une terrible solitude dans l'immensité de la steppe iranienne.
Critikat.com
[L']incursion [du réalisateur] dans cette direction est plus évidente dans son dernier long-métrage, "Lonely Tunes of Teheran", dont les deux protagonistes, marginaux dans la métropole, semblent tendre un miroir aux ermites rustiques et campagnards de son film précédent.
Première
Mues par une obsession clinique du cadre, au détriment de la narration, les premières images sentent la carte de visite destinée aux festivals occidentaux.