Les Noces rebelles
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1 168 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 6 janvier 2013
di caprio et winslet crève l'écran . le couple , la volonté de changement , l'ennui du quotidien , autant de terme abordé dans cette crise de couple , encore une fois trés bien réalisé par Mendes
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 28 janvier 2013
En un mot, ce film est sublime. Kate Winslet et Leonardo DiCaprio - décidément encore lui - jouent à la perfection , et on ne sort pas de ce film indemne. L'émotion est au rendez-vous (les larmes aussi !)
Kilian Dayer
Kilian Dayer

119 abonnés 838 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 décembre 2012
Sam Mendes dirige sa femme, l’actrice Kate Winslet, l’une des premières attachée au scénario, au projet, et Leonardo DiCaprio, reformant pour l’occasion l’un des plus célèbres couples de l’histoire du grand écran, merci James Cameron. Mendes, avec le style que l’on lui connaît, illustre un propos qui tient d’avantage de la psychologie sociale que du véritable récit, jouant avec les peurs de solitude, d’enferment, d’auto destruction de chacun, et ce même si les noces rebelles, un titre français pour une fois formidable, se déroule en l’an 1955 en pleine banlieue aisée américaine. La réussite sociale semble donc ici rimer avec prison dorée, empêtrement dans les méandres d’une vie préconçue et sans surprise pour le lendemain.

Le couple, formidable à l’écran, le contraire aurait été étonnant, que fonde ladite April et ledit Frank est un modèle de réussite d’intégration sociale. Une maison chic, un boulot avec de belles perspectives, des rentrées d’argent confortables, deux enfants, voilà le train de vie, le mode de fonctionnement du couple. Oui, mais ce dernier semble souffrir d’un mal qui ronge chacun d’entre nous, la peur d’un lendemain morne et sans réjouissance. La femme souffre de sa situation, l’homme aussi mais n’aura ni la volonté ni le courage de tout lâcher et de repartir selon les envies de son épouse. De là naît un conflit conjugale, un drame sentimentale qui mènera le public vers un final glaçant, nous faisant ouvrir les yeux sur des soucis de conscience plus ou moins anodin qui peuvent détruire une existence, voire deux ici.

Le tandem Winslet/DiCaprio fonctionne à merveille, et ce même si les deux comédiens ne sont pas les seuls ténors ici présents. Oui, l’on notera la présence de Kathy Bates, mais aussi et surtout d’un certain Michael Shannon, tout simplement excellent. L’acteur incarne la folie, la maladie psychique, tout en étant malgré tout le seul bonhomme à comprendre le besoin d’évasion, la peur de l’insignifiance du jeune couple. A ce titre, les noces rebelles est un film d’acteurs, un film ou le jeu des interprètes fait quasiment toute la différence. Pour le reste, l’on pourra compter sur les talents de Sam Mendes, à son meilleur depuis American Beauty et sur une Bande son signée le formidable Thomas Newman.

Un film au message douloureux mais résolument le reflet de bien des pensées populaires. En vouloir toujours plus sans l’obtenir, vouloir tout lâcher sans en avoir le courage, vouloir changer d’avenir sans les promesses d’un confort présent, le tout débouchant sur une véritable psychose. Infidélité comme seule remède à l’enfermement conjugal, engeulades comme seul discours entre un homme et sa femme, l’on souffrira avec le mari et madame du drame qu’ils se construisent eux-mêmes. La force du film, d’un petit rien, d’une faiblesse d’esprit, Mendes ou le romancier, disons, à la base du récit, nous dirige vers un drame, un pétage de plombs désastreux. Emouvant mais aussi peut-être un peu lisse, si fallait y trouver quelque défaut. 16/20
JohanJett
JohanJett

39 abonnés 209 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 13 décembre 2012
Il y a plus de 10 ans, le couple cinématographique DiCaprio/Winslet étaient les personnages principaux du Titanique sous la direction de James Cameron dont le scenario autour de leur histoire était un roman fleuve à l'eau de rose(jeu de mot mon cher Cappelllo,l’héroïne s'appelait Rose). Dix ans plus tard,le couple récidiviste ,mais cette fois ci,Kate Winslet étant intéressée par le roman de Richard Yates,La fenêtre panoramique en anglais Revolutionary Road choisira elle même le réalisateur, son ex mari Sam Mendes et pour partenaire son ami Leornado DiCaprio,le film deviendra culte.

Après son premier chef d’œuvre,American Beauty,puis Les Sentiers de la Perdition,ensuite celui de Jarhead,les Noces Rebelles est son quatrième grand film qu'il mit en boîte, avant que son ami et compatriote Daniel Craig lui proposera de réaliser le prochain James Bond,Skyfall.

Revolutionary Road est sans doute le film du cinéaste le plus hard,voir peut être le plu difficile ,mais le plus vrai et le plus réaliste que Mendes est réalisé voir même le plus juste sur la manière que le couple américain modèle soit disant parfait alors que en réalité il se détruit par l'usure du temps,la femme des années 50 rêve d'une autre vie,alors que son mari pantouflard veut une vie .plus stable.

Mendes détruit l'image américaine des années 50 et de ses codes,une réalisation super avec un ton de couleur belge/jaunisse et blanc sous la direction de l'un des plus grands génies de la photo,Roger Deakins.

Pour donner un ton léger et sombre,Mendes fera appel à son vieux complice ,le compositeur Thomas Newman,le fils du grand Alex Newman(la conquête de l'Ouest),pour la musique de ce drame teinté de fonds musicaux avec des reflet lumineux de Deakins sur de magnifiques images comme celles des vitres éclairantes de la voiture en pleine nuit sur le visage de Kate Winslet.

Le film du talentueux Sam Mendes à valut une récompense bien méritée à son ex femme ,l'actrice et star britannique Kate Winslet; DiCaprio et elle étaient extraordinaires bien meilleurs que leur rôle dans le Titanique.Les second rôles étaient merveilleusement bien joués,surtout celui de Michael Shannon où celui ci dans son numéro de malade dérangé était le plus sensé,il sera le déclencheur de la vérité sur le jeune couple.

Une œuvre réussit par l'un des plus grands cinéastes de la New Generation,Sam Mendes.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 décembre 2012
Adapté de "la fenêtre panoramique" de Richard Yates, Sam Mendes réussie la transcription de ce roman culte au cinéma. Kate WInslet est géniale et vole la vedette à Di Caprio.
7eme critique
7eme critique

562 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 9 janvier 2014
Puissant ! Sam Mendes nous livre ici une histoire dramatique plus qu'intéressante. Un très bon scénario qui ne cesse d'intriguer grâce à de magnifiques dialogues et des acteurs plus que compétents (on retrouve notre bon vieux duo du "Titanic"). Un couple modèle que tout le monde envie, en tout cas au départ, qui finira par se déchirer avec un tel réalisme. Un rêve pour l'un, qui deviendra finalement le rêve de l'autre, à la recherche d'une vraie sensation de vie pour éviter la fameuse routine destructrice. Les émotions nous envahissent facilement faces à ces belles prestations et cette musique mélancolique. On sait ce que l'on a, on ne sait pas ce qui nous attend si l'on change de vie. "Les noces rebelles" est une digne réalisation qui nous entraîne dans la destruction d'un couple...que l'on enviait.
QuelquesFilms.fr
QuelquesFilms.fr

287 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 juin 2013
Dans la série des films marquants sur des couples qui se déchirent, on avait en mémoire Scènes de la vie conjugale, d'Ingmar Bergman, ou encore Qui a peur de Virginia Woolf, de Mike Nichols. On aura maintenant à l'esprit Les Noces rebelles, de Sam Mendes. C'est une oeuvre terrible sur la frustration, la désillusion, les rêves brisés contre le mur de la réalité et de la banalité. Une tragédie du quotidien, intimiste, violente, cruelle. Le scénario est implacable, les dialogues précis et cinglants. Côté mise en scène, le réalisateur établit un contraste entre des mouvements de caméra souvent très coulants ou caressants (peut-être pour évoquer l'aspect lisse du vernis social) et le bouillonnement intérieur des acteurs. Kate Winslet, subtile et bouleversante, touche à la perfection. Quant à Leonardo DiCaprio, on ne l'a jamais vu aussi bon, même s'il pâtit toujours de son physique d'éternel adolescent. Ces deux comédiens (qui se retrouvent onze ans après Titanic), ainsi que l'incroyable Michael Shannon (remarqué dans Bug, de William Friedkin), donnent au film une intensité psychologique rare. Après American Beauty, Sam Mendes signe une nouvelle attaque, plus dure, moins cynique, contre l'american way of life.
missalila
missalila

9 abonnés 190 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 novembre 2012
Très bon film sur l'histoire de ce couple d'américain qui se voit peu à peu emprisonné dans leur vie rêvée. Le retour du couple Winslet / Di Caprio à l'écran après tant d'année, dans des rôles plus mûrs fonctionne toujours à merveille.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 8 novembre 2012
Un film de sam mendes «American Beauty», plus tragique que ce dernier mais moins inventif. Ce film pour ma part sent trop la performance d'acteur, trop d'artifices.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 5 novembre 2012
Ah, très beau film de Sam Mendes. Le sujet s'y prête : un couple veut briser leur quotidien trop morne. Voici donc de retour, pour notre plus grand plaisir, le couple désormais mythique depuis Titanic, Léonardo DiCaprio et Kate Winslet. Et une fois de plus, ils bluffent par leur interprétation. Ils sont impressionnants tant ils donnent de l'épaisseur à leur personnage. Le film en lui-même est une véritable ode à la vie. Et une réalité qui se fait de plus en plus ressentir. Les gens de notre époque n'osent plus être différents des autres et avoir des projets fous. Fou, ce mot peut trouver deux définitions et on retrouve ces deux définitions dans le film. Fou, comme avoir des idées exceptionnelles, tellement incroyables qu'elles dépassent l'entendement. Fou, comme être atteint de problème mental. Dans un cas, on est actif, dans l'autre passif. Ce couple qui a décidé d'être pour une fois acteurs de leur vie, se retrouvent néanmoins confrontés à leur pire ennemi : le quotidien qu'ils voulaient fuir.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 27 octobre 2012
Revolutionary Road aborde plusieurs sujets qui touchent directement le spectateur : La réalisation de soi, l'impossibilité d'accomplir ses rêves, la hantise de la routine, la déchéance du couple... Ils sont tous d'ailleurs plutôt bien traités. Le duo Winslet/Dicaprio fonctionne à merveille, leur duo dans Titanic est rapidement oublié... Quant aux acteurs secondaires, aucun ne m'a vraiment marqué, à part Michael Shannon, encore une fois très impressionnant. N'ayant pas apprécié le dénouement et les dernières scènes (à part peut-être celle avec le personnage de Dicaprio sur un banc), je reste légèrement déçu, bien que le film possède quelques qualités indéniables.
Yanice A
Yanice A

2 abonnés 49 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 16 octobre 2012
3/5,bien avec une morale et bien joué,mais sans grand interet sinon sa
Cluny
Cluny

84 abonnés 593 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 octobre 2012
La première scène se passe dans une soirée, où dans la foule des gens qui discutent, la caméra isole un homme, Frank, et à l'autre bout de la pièce une femme, April. Ils s'approchent, bavardent, plaisantent, et April raconte à Frank ses rêves de devenir actrice. La seconde scène nous montre Frank dans la salle, April sur scène ; le rideau tombe, applaudissements minimaux, des spectateurs commentent le naufrage en soulignant combien l'actrice a été mauvaise. Dans la voiture du retour, Frank essaie de réconforter sa femme, que cela exaspère, jusqu'à ce qu'il arrête la voiture et qu'éclate la scène de ménage où il tape rageusement la carrosserie pour ne pas la frapper.

On comprend que des années se sont écoulées, qu'ils sont mariés et qu'ils ont des enfants. On comprend surtout à la lumière de cette ellipse magistrale que ce n'est pas la chronique du bonheur conjugal qui sera le sujet du film. D'emblée, le spectateur est plongé dans la contradiction de ce couple, entre un amour qui a existé, basé sur une ambition commune, et qui ne demande qu'à se raviver, et la banalité du quotidien qui devient d'autant plus insupportable à April que ses voisins magnifient unanimement cet american way of life.

Cette banalité est illustrée par la séquence montrant le trajet de Frank de son pavillon à son bureau, où perdu dans une foule de clones habillés comme lui, costard-cravate et chapeau mou, il suit le flot semblable à celui des ouvriers de Metropolis, pour atterrir dans un bureau open space où entre deux cigarettes, il fait semblant de vendre des machines Knox dont il est incapable de préciser l'usage.

Je soupçonne d'ailleurs le malicieux Sam Mendes d'avoir casté des acteurs aux trognes improbables, comme le couple de voisins qui se proclament leurs meilleurs amis, les collègues de bureau de Frank, ou la Mademoiselle Jeanne avec laquelle il couche pour oublier son changement de décade, tout ça pour opposer encore d'avantage le commun des mortels aux Wheeler, "un couple sensationnel, tout le monde le dit", incarnés par les icones Leo et Kate dont l'amour est cinématographiquement légitimé depuis dix ans. Rajoutons pour ceux qui ne sont pas abonnés à Closer que Kate Winslet est Madame Mendes à la ville, et l'on comprendra peut-être ce qui a pu attirer le réalisateur d'"American Beauty" dans cette adaptation du roman de 1961 de Richard Yates.

Je me suis interrogé au début du film pour savoir justement ce que celui qui avait dynamité la middle class dans "American Beauty", égalé Scorcese et Coppola dans "Les Sentiers de la Perdition", et rejoué un Desert des Tartares burlesque dans "Jarhead, la fin de l'innocence", venait faire dans ce récit linéaire et apparemment répétitif d'un couple qui se déchire. Et puis rapidement, la cruauté ironique de Sam Mendes apparaît dans le détail, Shep en pyjama et Milly qui pleure, ou le choix de l'immense Kathy Bates, incarnation pour l'éternité de la menace psychopathe depuis son rôle d'Annie Wilkes dans "Misery" pour jouer Helen, la voisine agente immobilière.

Et puis, la chronique un peu lisse bascule avec l'apparition de John, le fils d"Helen, qui bénéficie d'une permission de sortie de son asile d'aliénés, et qui joue le rôle de l'oracle au cours d'un repas organisé par compassion par April, proclamant notamment : "Beaucoup sont conscient du vide, mais il faut du cran pour savoir que c'est sans espoir". La prestation hallucinée de Michael Shannon, véritable sommet du film, a d'ailleurs été remarquée par l'Academy, puisqu'il a été sélectionné aux oscars dans la catégorie Meilleur second rôle masculin - malheureusement sans grande chance, puisqu'opposé à Heath Ledger.

Dans le Monde, Thomas Sotinel qui n'a pas du tout aimé le film, écrit : "Arrivé au générique de fin, il ne reste rien du souvenir des amants du Titanic, seulement un goût de cendres. C'est peut-être la vraie raison d'être de ce film." Hypothèse intéressante, et corroborée par la scène où Kate s'abandonne à un éjaculateur précoce dans une voiture bien moins glamour que celle des cales du paquebot de James Cameron. Mais cet autodafé -à moins que ce ne soit un exorcisme, vu les liens conjugaux des Mendes - représente bien la principale force de ce film, servi par deux acteurs au sommet de leur art : Leo légèrement empâté, ordinairement lâche, jouant comme un reflet déformé de lui-même, et Kate à fleur de peau, tragédienne enfermée dans le costume de Samantha Stephens, et qui a déjà raflé le Golden Globe.

J'entendais à la sortie du film deux spectatrices déçues (proche réminiscence de la deuxième scène du film). Elles espéraient "Titanic II, le retour" ; elles avaient eu le droit à un film d'auteur austère et intelligent, un film qui se mérite. Tant pis pour elle, et tant mieux pour moi.
http://www.critiquesclunysiennes.com
ned123
ned123

171 abonnés 1 715 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 4 octobre 2012
J'ai vu un film... qui traite d'un thème que chacun sent, plus ou moins, confusément proche de soi, à savoir du temps qui passe, qui casse, qui lasse... De la promesse qu'on a pu se faire, plus jeune face au miroir de la vie, des vœux de bonheur formulés lorsque la vie vous sourit, que l'ont est beaux et insouciants, jeunes et prometteurs... Ce film parle du constat pas toujours simple à appréhender que, peut-être, ce n'est pas ce qu'on croyait...C'est un film d'une ambition folle sur un thème "commun" qu'est l'ennui du couple au quotidien... Alors, certes la vie des années 50 paraît tellement lointaine, mais les préoccupations sont tellement actuelles (le mensonge, la confiance, le partage...). L. Di Caprio et K. Winslet sont époustouflants dans leurs rôles... Et j'ai beaucoup apprécié retrouver M. Shannon II et Katy Bates qui donnent beaucoup d'épaisseurs à des personnages centraux du film, tous deux porteurs d'une vision et d'une parole...
L_huitre
L_huitre

92 abonnés 358 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 septembre 2012
J'ai été littéralement scotché par ce film. Un très grand film assurément avec deux acteurs d'exception qui jouent avec une finesse rare. Au risque de flirter avec le panégyrique sans retenue, je peux dire que ce film est un petit chef-d'oeuvre. Sur la base d'un scénario simplissime (un couple qui se déchire, car leur vie n'est pas conforme à ce dont ils avaient rêvé), le réalisateur nous montre des images choc. Le spectateur est emporté par l'histoire, car le processus d'identification joue à plein. Qui n'a pas rêvé de changer de vie ? Qui ne s'est pas posé des questions de savoir si on ne faisait pas fausse route ? Le message est d'une très grande force, et est particulièrement bien traité (les scènes avec le fou qui assène des vérités comme la Pythie sur son rocher sont exceptionnelles). Kate Winslet est bouleversante dans sa quête d'absolu, de quelque chose de différent par rapport à une vie bien rangée. Quant à Leonardo di Caprio, il joue aussi avec une intensité qu'on ne lui avait encore jamais vue (sauf peut-être dans Blood Diamond). En tout cas, courez voir ce film. Vous ne le regretterez pas...
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