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Biopic forcément passionnant par son sujet et le jeu époustouflant de Streep, le film pêche par l'absence de propos politique, les motivations de la Dame de fer étant ici psychologiques plus qu'idéologiques. Il manque un Frears pour insuffler du rythme et un vrai style.
Requiemovies
Malgré tout le respect qu’on peut apporter à Phyllida Christian Llyod, quelle idée a bien pu passer dans la tête des producteurs en lui permettant de réaliser La Dame de Fer ?! En outre, la pourtant brillante, Abi Morgan (Shame, le téléfilm Sex Traffic) au scénario, n’aide en rien la réalisatrice. Seul surnage, au-dessus de l’ensemble, la prestation brillante de Meryl Streep, actrice survolant le cinéma de sa prestance et de son jeu, depuis plus de 35 ans. Indépassable !!
On ne s’attendait pas à un biopic de grande facture venant de la réalisatrice de Mamma Mia ! mais on aurait aimé un minimum d’intérêt et de savoir faire pour le premier biopic sur la vie Margaret Thatcher…
Le problème de la réalisatrice est qu’aucune réelle direction n’est donnée. On oscille constamment entre le film politique, le film d’une vie de femme, le biopic classique. En somme, P.C Llyod ne sait ni comment tourner son œuvre ni lui donner un sens propre. Tout est laborieux, la construction massive de l’ensemble se veut indigeste et échappe totalement au spectateur. A force d’abuser de flashbacks sans sens ni savoir faire, le film en est anecdotique. Le montage au diapason avec la réalisation s’avère d’une inutilité oppressante et indigeste. On se sent totalement perdu.
Seule reste l’incroyable performance de Meryl Streep, plus ou moins selon les âges, réussissant une de ses plus majestueuses performances tant elle réussit à faire oublier sa personnalité dans le rôle de Thatcher. On sent immédiatement le travail qu’elle a dû effectuer afin d’arriver à ce niveau. Bluffant !
Or, malgré cette grandeur de jeu, rien ne fait oublier, cette biographie, presque complaisante, sur une des figures politiques de la fin du siècle dernier. Nous ne sommes pas passés à côté de quelque chose, puisque le film est un loupé magistral. Pire la dernière scène utilise un procédé éculé, d’une facilité consternante, tant la réalisatrice n’a su développer ne serait-ce une seule controverse durant deux heures.
Malgré la prestation d’une grandeur inouïe de Meryl Streep, La Dame de Fer, loupe le coche du biopic provocateur, quand il ne peine pas en de rares instants à aller vers la biographie informative. Décevant et difficile de ne pas s’ennuyer.
http://requiemovies.over-blog.com/
On ne s’attendait pas à un biopic de grande facture venant de la réalisatrice de Mamma Mia ! mais on aurait aimé un minimum d’intérêt et de savoir faire pour le premier biopic sur la vie Margaret Thatcher…
Le problème de la réalisatrice est qu’aucune réelle direction n’est donnée. On oscille constamment entre le film politique, le film d’une vie de femme, le biopic classique. En somme, P.C Llyod ne sait ni comment tourner son œuvre ni lui donner un sens propre. Tout est laborieux, la construction massive de l’ensemble se veut indigeste et échappe totalement au spectateur. A force d’abuser de flashbacks sans sens ni savoir faire, le film en est anecdotique. Le montage au diapason avec la réalisation s’avère d’une inutilité oppressante et indigeste. On se sent totalement perdu.
Seule reste l’incroyable performance de Meryl Streep, plus ou moins selon les âges, réussissant une de ses plus majestueuses performances tant elle réussit à faire oublier sa personnalité dans le rôle de Thatcher. On sent immédiatement le travail qu’elle a dû effectuer afin d’arriver à ce niveau. Bluffant !
Or, malgré cette grandeur de jeu, rien ne fait oublier, cette biographie, presque complaisante, sur une des figures politiques de la fin du siècle dernier. Nous ne sommes pas passés à côté de quelque chose, puisque le film est un loupé magistral. Pire la dernière scène utilise un procédé éculé, d’une facilité consternante, tant la réalisatrice n’a su développer ne serait-ce une seule controverse durant deux heures.
Malgré la prestation d’une grandeur inouïe de Meryl Streep, La Dame de Fer, loupe le coche du biopic provocateur, quand il ne peine pas en de rares instants à aller vers la biographie informative. Décevant et difficile de ne pas s’ennuyer.
http://requiemovies.over-blog.com/
Un beau film bien interprété par Meryl Streep! On a tout de même quelques longueurs dans ce film. L'histoire reste tout de même intéressante et certaines scènes restent impressionantes
Portrait en règle d'une des plus grandes c%¨^@#sse britannique du 20ème siècle. Monstre gentil et bagarreur qui allait au charbon sous n'importe quelle pretexte. Hormis Meryl, "as usual", un biopic bien faible.
Ne connaissant quasiment rien de la vie (politique comme personnelle) de Mrs Thatcher, j'espérais, la séance terminée, ressortir de la salle un peu plus intelligente que je ne l'avais été en y entrant...
Le constat est simple. Si les séquences ayant pour sujet le poids constitué par Margaret Thatcher dans l'histoire de la Grande-Bretagne sont intéressantes, voire passionnantes, il n'en est de même des passages plus intimistes. A ce titre, "La Dame de Fer" se divise en deux parts, pas forcément équitables: la vie personnelle (aspect prenant le plus d'ampleur), le rôle politique (qui aurait mérité d'être un peu plus développé).
Les comédiens sont excellents (Mery Streep, fidèle à elle-même, mais Jim Broadbent et ses compères ne sont pas en reste). J'ai visionné le film en VOST, donc je sais de quoi je parle.
Malgré une vision peut-être un peu trop "simpliste" et pas forcément très objective, la réalisatrice nous offre avec cette "Dame de Fer" un biopic qui permettra aux "novices" d'en apprendre davantage sur cette femme politique.
Le constat est simple. Si les séquences ayant pour sujet le poids constitué par Margaret Thatcher dans l'histoire de la Grande-Bretagne sont intéressantes, voire passionnantes, il n'en est de même des passages plus intimistes. A ce titre, "La Dame de Fer" se divise en deux parts, pas forcément équitables: la vie personnelle (aspect prenant le plus d'ampleur), le rôle politique (qui aurait mérité d'être un peu plus développé).
Les comédiens sont excellents (Mery Streep, fidèle à elle-même, mais Jim Broadbent et ses compères ne sont pas en reste). J'ai visionné le film en VOST, donc je sais de quoi je parle.
Malgré une vision peut-être un peu trop "simpliste" et pas forcément très objective, la réalisatrice nous offre avec cette "Dame de Fer" un biopic qui permettra aux "novices" d'en apprendre davantage sur cette femme politique.
Un film décevant dans l'ensemble, très inégal et ponctué de longueurs qui ennuient plus qu'autre chose. Certes, il y a de bons moments, nous apprenons des choses sur cette dame mais elle est montrée sous un angle qui contraste avec le titre. Dans ce film, elle est loin d'être une dame de fer, elle est présentée comme fragile, humaine, perdue. Alors c'est peut-être fait exprès mais personnellement, je trouve que ça n'aide pas le film !!
C’est dire d’emblée l’indigence et l’ineptie du long-métrage de Phyllida Llyod, déjà auteur du dispensable Mamma Mia ! en 2008. On a rarement vu un film passant si largement à côté de son sujet, ou plus exactement, préférant le circonscrire aux pans les moins intéressants et les plus intimes de l’existence de l’ancien Premier ministre britannique, qui fut au pouvoir pendant onze années de 1979 à 1990. Plutôt que revenir sur l’ère dure et inflexible des années Thatcher, ici à peine survolées dans l’évocation rapide et superficielle des événements marquants de son mandat, la réalisatrice opte pour les années de jeunesse – comment la fille d’épicier devint une ambitieuse députée du parti conservateur – et surtout les années de vieillesse, celles de la maladie (Alzheimer) et de la décrépitude. Dès lors, les intentions de Phyllida Llyod finissent par être équivoques : indulgence démesurée pour une femme vieillissante et diminuée, divaguant et perdue, ou à l’inverse insistance cynique à exhiber la déchéance somme toute habituelle d’une personne autrefois omnipuissante, faisant régner la terreur au sein de son équipe gouvernementale. Toujours est-il que cette option à se pencher longuement sur la vie récente et après interruption de toute activité politique nuit terriblement à La Dame de fer, qui ne parvient jamais à capter l’influence majeure qu’elle exerça durant la décennie que les historiens aiment à qualifier de « révolution conservatrice ».
Rendre proche, aimable et attendrissante celle qui remit en question la place et le rôle de l’État pour la misère croissante de ses administrés constitue au final une entreprise tout à fait contestable, pour ne pas dire détestable, à laquelle participe, certes avec brio, mais aussi avec le souci problématique d’une humanisation gênante, la comédienne Meryl Streep qui enjolive, à tous les sens du terme, le modèle qu’elle est censée incarner.
Si l’œuvre pitoyable de Phyllida Llyod devait être un article de journal, il est évident qu’il trouverait davantage sa place dans les colonnes de Paris Match que dans celles de tout canard digne de ce nom, tant l’absence de recul et de la moindre analyse critique se ressent cruellement et affadit l’ensemble qui se résume bel et bien à une prestation style numéro de cirque et à un plaidoyer entre les lignes pour la lutte contre les maladies dégénératives.
Rendre proche, aimable et attendrissante celle qui remit en question la place et le rôle de l’État pour la misère croissante de ses administrés constitue au final une entreprise tout à fait contestable, pour ne pas dire détestable, à laquelle participe, certes avec brio, mais aussi avec le souci problématique d’une humanisation gênante, la comédienne Meryl Streep qui enjolive, à tous les sens du terme, le modèle qu’elle est censée incarner.
Si l’œuvre pitoyable de Phyllida Llyod devait être un article de journal, il est évident qu’il trouverait davantage sa place dans les colonnes de Paris Match que dans celles de tout canard digne de ce nom, tant l’absence de recul et de la moindre analyse critique se ressent cruellement et affadit l’ensemble qui se résume bel et bien à une prestation style numéro de cirque et à un plaidoyer entre les lignes pour la lutte contre les maladies dégénératives.
Que dire de la dame de fer?...Un film anecdotique où l'on voit la déchéance d'une femme sans en comprendre réellement les tenants et les aboutissants. Margaret Thatcher ancêtre de Sarkozy? C'est en tout cas l'image qu'on a de cette femme en sortant de la salle de ciné. Une femme ayant fait des choix politique sans tenir compte de son peuple....Est ce qu'une personne au pouvoir peut uniquement tenir compte de ses valeurs sans tenir compte des besoins du peuple?....Bref....Pour revenir au film...Un biopic anecdotique (je répète)...dommage....Car Thatcher n'est pas juste une simple anecdote!
A fuir, ce film est un pur scandale ! Déjà, ce n'est pas vraiment un biopic puisque le film se consacre principalement à nous raconter les dernières années de vie de l'ancienne première ministre anglaise plutôt que de s'attarder sur sa carrière politique. Quel dommage car les aventures de mamy qui perd la tête ce n'est pas franchement passionnant alors que la déconstruction de la carrière et de l'ambition de la dame de fer cela aurait été plus intéressant. On apprend donc rien dans ce film alors qu'il y a tant à dire, nous faire comprendre les durs choix qu'elle a affronté, comprendre pourquoi elle était adulée ou détestée, comprendre pourquoi aujourd'hui encore après son décès elle marque les esprits. Mais finalement, et c'est peut être le plus grave, ne voudrait on pas nous amadouer en nous montant une vieille dame fragile, ne faudrait il pas casser cette image de femme intransigeante, n'y a t'il pas cette volonté de reconstruire l'histoire, nous manipuler, nous faire passer cette femme pour un ange qui n'a fait que d’œuvrer pour le bien de son peuple sans rien faire de mal ?
Bien plus réussit que le très ampoulé et chiantissime J.Edgar, ce biopic, assez bien construit (l'histoire est racontée en flash back de manière très fluide, par petites touches) se laisse regarder même sans être au fait des évènements géopolitiques de l'époque, le film s'attachant plus au personnage et a ce qu'elle a représentée (une femme à la tête d'un gouvernement est un peu une grande première - a ce sujet l'Angleterre a souvent été précurseur en la matière comme le montre le très sympathique "we want sex equality" ) qu'à ses actions et leurs résultats. Ce choix, bien que défendable puisqu'il s'agit de voir les choses 'de l’intérieur', est aussi la limite du film, l'impacte réel de sa politique étant présentée comme une réelle avancée alors que dans les faits elle est considérée avec le recul comme désastreuse. Trouver un juste milieu entre vision personnelle et regard extérieur aurait été plus intéressant pour le spectateur et le film aurait ainsi gagné en respectabilité.
Hormis le jeu impeccable de Meryl Streep, ce film est à ranger aux oubliettes. La réalisation avec ses flashbacks est monotone et naïve au possible. L'histoire est mal traitée et on apprend finalement pas grand chose sur la dame de fer. Je préfère de loin le traitement de The Queen, qui a fait moins de bruit mais qui est pourtant bien moins soporifique, et qui présente la reine d'Angleterre sous un jour nouveau. Ce n'est pas le cas pour ce film sur Mme Tatcher.
Un personnage intéressant, formidablement bien interprété par Meryl Streep. Mais la réalisation est lassante, avec un incessant aller-retour passé-présent totalement inutile...
Une prestation réussie pour madame meryl streep mais qui ne parvient malheureusement pas a sauver un film plat, sans relief et sans imagination. Dommage.
Rien à redire sur l'interprétation, Meryl Streep est juste phénoménale. Rien a redire non plus sur l'intérêt du film, s'agissant d'une période riche en évènements au Royaume-Uni... Non ce qui pêche dans la Dame de Fer, c'est son rythme désespérément poussif... Les 3 derniers quarts d'heure sont interminables!! Le sujet traité est, certes, intéressant mais ne suffit pas à maintenir le spectateur en émoi durant 1h45.
Un bon film qui représente fièrement la dame de fer après avoir de nombreux reportage sur elle et bien sait un bon film
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