Mon compte
    Rio Bravo
    Note moyenne
    4,1
    6007 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Rio Bravo ?

    217 critiques spectateurs

    5
    94 critiques
    4
    69 critiques
    3
    26 critiques
    2
    19 critiques
    1
    7 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 avril 2016
    C'est toujours un plaisir de visionner ce western,le casting est remarquable en plus il y a beaucoup d'humour, de l'action juste bien dosé et un peu de romantisme avec la magnifique angie dickinson. On s'attache aux différends personnages et j'adore la scène dans la prison quand ils poussent la chansonnette.Un très bon cru je le regarderai encore.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2024
    N’aimant pas les modifications apportées par le western moderne, Howard Hawks décida de tourner une réponse au Train sifflera trois fois, qu’il détestait, avec Rio Bravo. Dans ce dernier, le shérif ne demande pas de l’aide à tout le monde mais préfère ne pas retenir les personnages ayant des faiblesses et attendre sans peur ses adversaires qu’il sait sur le point de l’attaquer. L’ensemble pourrait être donc plus caricatural mais heureusement Howard Hawks creuse ses personnages au fur et à mesure de l’évolution du film. Ainsi, si, de façon étonnante, on plonge directement dans l’intrigue dès la séquence d’ouverture (tournée brillamment sans dialogue), on est surpris que ce western très classique choisit de privilégier à l’action les relations entre les protagonistes portés par un casting de premier choix (John Wayne dans son traditionnel rôle de cow-boy valeureux, Dean Martin parfait en alcoolique, Walter Brennan en vieillard râleur et amusant, Angie Dickinson qui est révélée ici même si elle était déjà apparue dans de multiples longs-métrages et la star du rock’n’roll Ricky Nelson dans son premier rôle adulte…). On pourra ainsi trouver l’ensemble un peu trop long (2H21 tout de même) et doté d’un aspect machiste un peu dépassé mais Hawks réussit malgré tout à inscrire Rio Bravo dans l’Histoire du western grâce à une musique assez marquante (avec, en particulier l’utilisation récurrente du morceau El Deguello qui sert à faire monter la tension et à créer le suspense) signée Dimitri Tiomkin (qui avait notamment signé la bande originale du … Train sifflera trois fois), à de multiples séquences mémorables et à un point de départ original qui inspirera de multiples œuvres suivantes (Assaut de John Carpenter en étant certainement la plus évidente). Hawks lui-même offrira des variations autour de ce thème avec El Dorado et Rio Lobo.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 janvier 2017
    Un très bon western d’exception.

    A la fois agréable avec une touche émouvante, ce film m'a émerveillé et envouté par ses décors sympathiques et typique western mais aussi par certaines scènes et je pense particulièrement à celle ou ils chantent dans la prison avec Colorado et sa guitare, une des scènes remarquables et mémorables.
    Une mise en scène irréprochables et un film qui se tiens bien avec très peu de temps morts. De plus l'action y est mais pas omniprésente et cela est parfaits. Les bruitages sont également sympa et la BO est remarquable.
    J'ai vraiment adhéré au film et je pense aussi que les acteurs y sont beaucoup pour quelques choses : très bons dans leur rôle, une belle complicité entre eux, cela n'est pas surjoué aussi mais surtout ils sont très attachants, on ne peux qu'aimer le trio John Wayne, Dean Martin, Ricky Nelson. Walter Brennan est également très bien.

    Tout ces codes sont une vraie réussites pour ce film frais et on ne peux que passer un excellent moment devant ce western Américains savoureux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2019
    Enfin un western qui me fait passer la barre des 4/5. Un western qui fait exister ses personnages avec une telle vérité et une telle profondeur qu’ils finissent par transcender le genre lui-même. Un western dont le leitmotiv paradoxal est la réplique « that’s far enough », bien représentative d’un film où il ne s’agit pas de repousser la frontière ni de poursuivre l’ennemi, mais plutôt de protéger la frontière en repoussant l’ennemi, une logique qui fait de Rio Bravo le pionnier d’un cinéma d’action plus récent (et même très contemporain), plus que l’héritier d’un genre. Enfin, un western qui a le bon goût de laisser à Dean Martin et Ricky Nelson deux chansons entières pour faire entendre leurs voix de crooneurs. Bref, du charme à tous les étages, jusqu’à me réconcilier avec l’atmosphère des saloons.
    Alolfer
    Alolfer

    137 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2024
    Rio Bravo fait partie des classiques de son genre ! Un western iconique, porté par un casting memorable notamment un duo iconique entre John Wayne et Dean Martin. Howard Hawks tient un des films les plus réussis en termes de développement de personnages ! Ils sont tous géniaux et attachants, ce qui nous plonge dans le récit à merveille. Durant la totalité du long métrage, on rentre dans cette intimité. L'image de Howar Hawks est impeccable : encore aujourd'hui, le film est prenant , n'ayant pas pris une ride. Un mot pour décrire la musique : somptueuse ! Un grand classique du cinéma Western
    Spiriel
    Spiriel

    39 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2008
    Le plus fameux film d'Howard Hawks. Comme pour ses autres westerns, c'est d'authencité qu'il s'agit avant tout, en l'occurence pour réagir au succès d'High noon. Authenticité des personnages et des situations. Ici, rien de mythique, rien d'extravagant. Comme souvent, le film tourne autour de l'opposition entre loi (le sherif) et argent (le propriétaire terrien), opposition de deux époques (cf. Liberty Valance). L'opposition n'est pas exacerbée, rien n'est exagéré. Plutôt que de créer un suspens, tournant sans cesse autour du moment inéluctable, Hawks remet l'action à plus tard en recentrant son film autour des personnages qui parlent, qui doutent, qui chantent... qui vivent. Interprétation, musique, mise en scène, tout respire l'harmonie. La fin peut sembler un peu facile, mais elle évite justement l'héroïsme, ainsi que la noirceur. Vraiment pas grand chose à lui reprocher, même si c'est loin d'être mon Hawks préféré (sa filmo est assez incroyable il faut dire). Un western à part.
    antoine y.
    antoine y.

    5 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Rio Bravo est une référence du western classique. Un élément majeur du film est le personnage de Dude dont la déchéance causée par l'alcool est important tout au long du film jusqu'a sa rédemption ( nous rappelant 3h10 pour yuma ou il etait aussi question de rédemption. Nous sommes aussi surpris par l'habilité avec laquelle Hawks parvient à nous faire rire par plusieurs ressorts comiques du film alors que l'histoire n'est pas censée l'etre, avec notamment de grands contrastes entre les longs moments de pauses et les tensions dans ce film. Nous sommes aussi surpris car ce Western est tourné en quasi huis clos alors que le genre est plutot dans les grands espaces, mais cela permet à Hawks d'insister ainsi plus sur les personnages car c'est sur eux qu'est porté l'attention du film. Les fans de Blueberry apprecieront par ailleurs Les similitudes entre ce film et l'album " L'homme à l'étoile d'argent".Un gand succès du western classique pourtant l'un des derniers du genre avant l'arrivée des western spaghetti dans les années 60.
    White Fingers
    White Fingers

    17 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Appréciant énormément John Wayne (années 40/50) et Howard Hawks, génial réalisateur touche-à-tout, ce « Rio Bravo » a tous les ingrédients pour me séduire. Intrigue simple avec la tension du presque huis-clos, personnages aux profils variés, personnalités ambiguës… Hawks s’attarde plus sur les relations entre les différents protagonistes qu’aux scènes d’action qui ne sont là que pour renforcer le propos. John Wayne, sa grande carcasse et son ego sont admirables. Intégré deux « voix » au casting (Dean Martin et Ricky Nelson) est prodigieusement audacieux. Et que dire des seconds rôles comme Walter Brennan. Le rôle féminin tenue par Angie Dickinson est magnifique. Une vraie histoire d’amitié intergénérationnelle et de solidarité absolue dans l’adversité. La force du scénario est d’avoir dépassé les codes du western classique pour se concentrer sur le vécu psychologique d’une petite bande assiégée. J’ai une préférence pour « El Dorado », le presque remake de ce « Rio Bravo », dans lequel, selon moi, les profils psy de personnages sont mieux travaillés, mais ne faisons pas la fine bouche, « Rio Bravo » est un superbe western.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    babidi
    babidi

    5 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    une grande réalisation avec un grand acteur

    un couple de cinema, howard hawks et john wayne, qui fonctionne toujours aussi bien

    a découvrir avec plaisir et a revoir sans moderation
    Charlotte28
    Charlotte28

    131 abonnés 2 050 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Malgré un style que d'aucuns trouveront désuet, Rio Bravo maintient le spectateur attentif et intéressé non grâce à son intrigue, ténue, mais par le soin apporté aux personnages, à leurs relations et à la compréhension de leurs attentes. Face au cow-boy faussement solitaire et viscéralement paternaliste incarné par un irremplaçable John Wayne se dressent le sensible Dean Martin et le fougueux Ricky Nelson qui nous offrent un intermède musical très touchant. Au sein de ce milieu masculin Angie Dickinson prête sa douce force à une femme complexe, loin des stéréotypes redoutés. Un divertissement réussi qui porte aussi une certaine vision de l'Amérique, entre indépendance et solidarité.
    rocky6
    rocky6

    31 abonnés 1 742 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2023
    Un classique du western qui ne se démode pas. John Wayne y incarne un shérif qui arrête le frère d'un puissant propriétaire terrien. Aidé d'un adjoint alcoolique (Dean Martin) et d'un autre adjoint estropié il doit faire face aux hommes payés par le riche propriétaire pour délivrer le coupable. Il pourra compter aussi sur l'aide d'un jeune cow-boy très bon tireur et sur le soutien moral d'une jeune femme très attirante (Angie Dickinson). John Wayne est parfait dans ce genre de rôle qui lui va comme un gant. Dean Martin offre lui aussi une belle composition et Angie Dickinson apporte charme et fraîcheur dans cet univers très viril. Bref un western à savourer pour retrouver ce genre de film qui a connu son heure de gloire.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 635 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2019
    Un des westerns majeurs de l’histoire du cinéma, mais qui paradoxalement n’excelle ni par son scénario, ni par ses scènes d’action, ni par l’exploitation des grands espaces, ni par une mise en scène éblouissante. Pourquoi alors ce succès ? Ce western est surtout le dernier et donc par la même une des références du western classique : esthétiquement bien entendu, mais aussi par son absence de contenu psycho ou politique de fond. C’est juste une histoire d’hommes et d’une femme dans l’ouest américain. Pas adepte du western classique ; préférant celui des décennies suivantes explorant de nouvelles pistes et ajoutant de la chair à un genre trop souvent gentillet dans sa version classique (cf Leone, Peckinpah, Penn, même Tarantino).
    Et pour illustrer cela une critique écrite par Marvin Montès : « Les années 50 sont souvent considérées par bon nombre d’amateurs de westerns comme l’âge d’or du genre. C’est à la toute fin de cette décennie bénie des cow-boys et des saloons, en 1959, que déboule Rio Bravo, futur monument du cinéma classique américain sans vraiment s’y attendre.
    Une œuvre qui marque la troisième incursion du réalisateur Howard Hawks dans l’univers de l’ouest américain, après La rivière rouge et La captive aux yeux clairs.
    Conçu avant comme une réponse au récent Le train sifflera trois fois de Fred Zinneman (détesté par Hawks, qui le considère comme une œuvre anti-américaine), Rio Bravo ne tente à aucun moment de révolutionner le genre, mais plutôt d’en sublimer la conventionnalité.
    D’ailleurs, le scénario d’un extrême classicisme ne surprendra personne : John T Chance, shérif de Rio Bravo, doit faire face au siège de sa ville par une bande de mercenaires engagés par un riche propriétaire terrien pour délivrer son frère, détenu dans la prison de la ville. Lui prêteront main forte son adjoint alcoolique, une joueuse de poker, un tireur d’élite et un vieux gardien de geôles. Aucune révolution donc, mais c’est plutôt du coté de la direction d’acteurs et d’une écriture soignée pour chaque protagoniste que les qualités du métrage sautent aux yeux, le tout rendu possible par l’excellence d’un casting 4 étoiles, à commencer par John Wayne. The Duke, la légende de l’ouest Hollywoodien, illumine la pellicule de tout son charisme en incarnant John T Chance. A la fois shérif, figure paternaliste et mentor, le grand John nous prouve une fois de plus qu’il n’est jamais meilleur que dans son rôle d’homme viril au cœur tendre. A ses cotés, Angie Dickinson (recommandée par Wayne lui même) n’est pas en reste dans un rôle de femme forte comme les films du genre savent en faire. Pas intimidée pour un sou, l’interprète de la joueuse de cartes Feathers parvient à briller à l’écran dans un monde d’hommes par son aisance verbale et son mordant, sans renier quelques subtiles suggestions érotiques (voir la scène finale). Juste derrière le duo Wayne-Dickinson, l’incroyable Dean Martin habite le personnage de Dude, dont l’axe rédempteur servira de théâtre à certains des tout meilleurs moments du film (la scène de la porte du saloon, poignante et porteuse d’espoir). Enfin, la vedette Ricky Nelson se montre aussi efficace devant la caméra que derrière un micro, et dernier cité mais non des moindres, le fantasque Walter Brennan et ses incessantes bougonneries nous arracheront quelques sourire en ne se privant pas de distiller une dose d’humour bienvenue.
    Malgré une mise en scène de prime abord plutôt simpliste, Rio Brav oprend à rebours la mouvance des westerns des grands espaces en multipliant les scènes en intérieur (prison, Saloon...) tant et si bien que le spectateur aura très vite l’impression d’en connaître tous les recoins et d’évoluer dans un environnement familier. Une sacrée performance, aussi efficace que la justesse de ton générale de l’œuvre, mélangeant action, émotion et comédie dans la plus pure tradition du genre, en se permettant tout de même de surprendre, comme lors d’une aparté musicale du plus bel effet en pleine période de désespoir total... Un habile ascenseur émotionnel menant droit à un climax dantesque annoncé depuis les premiers instants du film.
    A l’heure du bilan, Rio Bravo est une pierre angulaire du western et plus largement du cinéma classique américain, cité en référence par des cinéastes comme Quentin Tarantino ou John Carpenter (qui le remakera officieusement bien des années plus tard, en réalisant assaut). Un authentique chef-d’œuvre, sur lequel le temps ne semble pas avoir de pris. »
    Hawks est en fait hyper respectueux du genre qui le poussera même à faire un remake de son propre film 7 ans plus tard avec « El Dorado » ; ce dernier se révèle en décalage par rapport à son époque en plus du déjà-vu. Plus bon vivant et donc plus tourné vers le caractère de ses personnages que vers la mise en scène ou la psychologisation de ces personnages. Idem à bas les grands espaces, mais un film théâtrale en trois lieux que le spectateur finit par connaitre comme sa poche au bout d’une heure de film. Et cette appréhension de l’espace par le spectateur via le regard acéré du réalisateur donne une des scènes les plus belles du film : celle dans laquelle Dude débusque et descend le tueur s’étant réfugié dans le saloon. Aujourd’hui on aurait droit à un montage frénétique servant de poudre aux yeux ; et pourtant, mon fils de 10 ans à trouver cette scène fabuleuse et la remime à l’envie. Elle reste bien plus ancrée dans la tête que des scènes faussement dynamiques. La première scène quasi muette est aussi une belle leçon de mise en scène ; cette dernière n’est pas pourtant l’atout majeur de ce film. L’ambiance copain-copain et l’entraide dans le groupe est le cœur du film ; et la scène dans laquelle le quatuor pousse la chansonnette autour de « My pony, my rifle and me » est emblématique. On a une curieuse impression de surprendre les acteurs pendant une pause en plein tournage ; des instants de symbiose et de bien être entre les personnages et les spectateurs dont Hawks raffolaient ; donc pas si inutile. Un film sans grande envergure mais super bien maitrisé dans un esprit très classique.
    tout-un-cinema.blogqpot.com
    chrisbal
    chrisbal

    16 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2024
    Rio Bravo est considéré comme un des plus grands westerns hollywoodiens et le meilleur d'Howard Hawks...et c'est mérité.
    Construit presque comme un cartoon (avec ses codes (les méchants essayant de battre les gentils encore et encore...en vain!) et ressorts comiques (avec des personnages comme Stumpy ou Carlos)), l'action ne manque pas et les acteurs s'en donnent à coeur joie, semblant vraiment bien s'entendre.
    La mise en scène est parfaite et les décors vraiment reussis. En effet, là où "La prisonnière du désert" de John Ford (autre fleuron du genre) misait tout sur de superbes paysages, on a ici à faire à un quasi huis clos dans une petite ville du Texas à l'ambiance fort sympathique.
    On passe un bon moment à suivre les aventures de ce shérif épaulé par une poignée de braves afin de mener à bien sa mission et le bon côté des choses, c'est que ça reste un spectacle presque familial où la morale est sauve et les bons sentiments prédominants...à mille lieues des westerns spaghettis qui verront le jour quelques années plus tard.
    Ducerceau
    Ducerceau

    14 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2022
    Ça a un peu vieilli : le rythme est lent et le marivaudage entre les héros plutôt lourd. Mais John Wayne reste John Wayne et la musique est celle d'un grand film.
    Julien D
    Julien D

    1 221 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2013
    Tous les éléments clefs du western classique sont réunis dans ce film culte d’Howard Hawks qui s’inscrit ainsi parmi les références incontournables du genre. Le fait d’avoir réduit le décor à une petite ville, prenant à contre-pied l’aspect épique que John Ford donnait à son image du far-west, surligne intelligemment les liens entre ces personnages atypiques loin des stéréotypes du genre tout en réussissant à donner une image héroïque au rôle de John Wayne. Ce scénario prônant la solidarité est un exemple en matière de sobriété allant au-delà des schémas violents et individualistes que le cinéma avec lequel trop souvent dépeint les fondements de la société américaine.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top