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    Rio Bravo
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Tout juste après les cavalcades de l’agent 007 sur mon écran (« Goldfinger », « Les diamants sont éternels », « Jamais plus jamais », « Permis de tuer » et le dernier mais néanmoins classieux « Spectre »), voici le western qui s’invite à mes côtés pour la fin de l’été. Mon programme, si j’arrive à le tenir : « Rio Bravo », « La ruée vers l’Ouest » (d’Anthony Mann), « La horde sauvage », « Il était une fois la révolution » (critique déjà mise en ligne), « La porte du paradis » (en hommage au metteur en scène décédé), « Impitoyable » (déjà critiqué), « Wyatt Earp » (de Lawrence Kasdan), « Open range » (critique également réalisée), « Les disparues » (de Ron Howard), « Appaloosa » (avec Ed Harris), « True grit » (le remake des frères Coen) et « Django unchained » (oui, de Tarantino).
    Je sais, oui, je m’emballe, certains me diront que je ne pourrai pas tout regarder, mais qu’importe, car le plaisir, lui, sera total.
    Pour ouvrir le bal, voici « Rio Bravo » que je viens de mater. Oui, vous ne vous êtes pas trompés, vous avez bien lu. Mater. Car comment critiquer ce western de légende ? Tout ce qui passe par Howard Hawks s’illumine. Ici, tout est parfait, rien n’a vieilli. L’alchimie entre l’équipe technique du tournage et les acteurs devant la caméra est convaincante à souhait. Et puis citer de tels noms après avoir nommé le film, il n’y a rien de meilleur que de se donner du baume au cœur. Hawks, pour qui c’est sa troisième incursion dans le genre (« La rivière rouge », « La captive aux yeux clairs »), se donne la peine de rester à hauteur d’homme, hormis des micro-scènes explicatives, afin de mieux centrer son intrigue sur les personnages qu’il fait évoluer. Du classicisme à perte de vue qui trouve ici son paroxysme le plus phénoménal. Rien que pour ça, il s’agit d’un film d’anthologie. C’est magique, non ?
    Alors, bien sûr le scénario de « Rio Bravo » ne casse pas trois pattes à un canard mais reste bétonné jusqu’au final : merci Barbara H. McCampbell (fille d’Howard) d’avoir convié Leigh Brackett (« Le grand sommeil » et « Le privé » d’Altman font notamment partie du peu de ses participations au cinéma !) et Jules Furthman (s’agissant ici de ses dernières heures de travail, il avait brillé pour « Les révoltés du Bounty » avec Gable, « Le port de l’angoisse »…) !! « Rio Bravo », c’est l’histoire d’un shérif qui arrête le frère de l’homme le plus puissant de la région. Seul (quasiment) contre une bande de tueurs, il s’apprête à vivre trois pénibles jours… .
    Avant de parler acteurs, expliquons ce qui tourne autour d’eux. La musique. Par petites touches, jamais omniprésente, toujours par scintillement, elle nous incite à veiller sur nos joyeux compères. A la barre, le merveilleux Dimitri Tiomkin ! Par jaillissement provocant, il nous invite à une ballade mortifère, le « Deguello ». Au gré de ces humeurs changeantes, Tiomkin prouve qu’il n’a pas son pareil pour nous faire vibrer. Primé aux Golden Globes pour « Le train sifflera trois fois » et « Alamo », il a également officié pour « Vous ne l’emporterez pas avec vous », « La vie est belle », « Géant », … . Un très grand compositeur, à classer parmi les meilleurs, donc. Également autour des acteurs, des couleurs radieuses, chaudes et éclatantes de sueur. Merci Russell Harlan ! Le directeur de la photo de « Graine de violence » (avec Glenn Ford), c’est lui. Dernier point de confinement des acteurs : l’espace, les décors. En ce sens, les personnages évoluent comme dans un huis-clos. Ici, le réalisateur de « Scarface » fait abstraction des paysages chers à John Ford pour se concentrer sur l’unité de lieu, d’espace et de temps. « Rio Bravo », c’est une prison, une rue, un saloon, un hôtel. Rien de plus ! Radicalement, Howard Hawks nous presse et c’est le cœur serré que l’on débouche sur un final grandiose puisque l’on évacue notre trop plein d’énergie à écouter la dernière fusillade. Boum !
    Parlons un peu des personnages maintenant. Et plus particulièrement des gentils. Car il n’y en a aucun de vraiment marquant dans les méchants. Bon point Hawks !, car cela nous permet de nous sentir en pleine confiance. Alors, dans le rôle du shérif, c’est bien sûr John Wayne. Quel charisme et quelle prestance face à la caméra ! On dirait que le rôle a été fait pour lui. Extra !! A ses côtés, son compagnon Stumpy apporte tout l’humour du film. En gardien de prison estropié et bourru, Walter Brennan (« Furie » de Lang, « La poursuite infernale ») livre une prestation de haut vol, culte à mes yeux. L’associé du shérif, Dean Martin (membre du Rat-Pack, également « Inconnu à Las Vegas »), est excellent en saoûlard de service. Un jeu tout en retenue qui lui a apporté le succès public. Super ! Dans les seconds rôles, on remarquera la cool attitude du très bon Ricky Nelson (lui aussi chanteur, mais seulement 19 ans sur le tournage !!) et la très belle Angie Dickinson (revue dans « Le point de non-retour » de Boorman, « Pulsions »). Avec aussi deux habitués du western : Ward Bond (« La piste de Santa Fe », « Le massacre de Fort Apache », « La prisonnière du désert » parmi tant d’autres) et Harry Carey Jr (fils d’Harry Carey Sr, ce dernier étant un ami de longue date de Ford) qui verra sa séquence coupée au montage.
    Et rien que pour toutes ces raisons (scénario, ambiance et profilage du casting), je considère aujourd’hui ce métrage comme étant un classique du western.
    Pour terminer, « Rio Bravo » (1959), qui n’a pas pris une ride depuis 57 ans !!, confirme la maîtrise d’Howard Hawks en terme de mise en scène de western (pour seulement sa quatrième incursion dans le genre !). Film culte intemporel, à avoir au moins vu une fois dans sa vie. Obligé !
    A noter : Hawks filmera par la suite « El Dorado » puis « Rio Lobo » (sa dernière réalisation), deux variantes du métrage que je viens de critiquer. Pour les besoins de « Assaut », Carpenter avouera s’influencer de ce western.
    Spectateurs, si vous voulez dessaouler, débarrassez-vous de Dean Martin, prenez « Une bible et un fusil », et… John Wayne !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2020
    “Rio Bravo” est sans conteste l'un des westerns les plus connus et reconnus y compris et peut-être surtout des non spécialistes. Si l'on associe naturellement le western aux grands espaces , il faut reconnaître que de ce point de vue « Rio Bravo » dénote complètement, pouvant être assimilé à un « western en chambre » ramassé tant dans le temps (3 jours) que dans l’espace (une prison, un saloon, une rue et un hôtel) un peu sur l’exemple en contrepoint du « Train sifflera trois fois » au sujet duquel Hawks reprochait à Fred Zinneman son réalisateur d’avoir demandé à son héros joué par Gary Cooper de mobiliser la population pour régler le sort d’un dangereux malfrat . C’est donc un paradoxe de retrouver « Rio Bravo » comme représentant dans l’inconscient collectif, l’archétype du genre. En 1958, quand Hawks se lance dans l’aventure, le western est déjà sur la pente du déclin après une décennie glorieuse où les Anthony Mann, John Ford, Michael Curtiz, Delmer Daves et Budd Boetticher ont livré leurs meilleurs travaux. Hawks cinéaste éclectique s’il en est, a déjà donné dans le genre à deux reprises (« Red River » 1948 et « The big sky » 1952) dont une fois avec John Wayne. En cette fin des années cinquante, une mutation se fait jour et à partir du « Gaucher » d’Arthur Penn qui déstructure complètement la figure emblématique de Billy The Kid, des cinéastes tels que Sam Peckinpah, Ralph Nelson, Elliot Silverstein, Sidney Pollack ou Sergio Leone vont complètement bouleverser les codes traditionnels du genre et notamment la place de l’indien au sein de la geste de l’Ouest. Devant cette transformation qui s’annonce, Hawks choisit de s’inscrire pleinement dans la tradition rarement remise en cause depuis les années vingt. La présence de John Wayne est le meilleur gage de cette volonté. L’histoire relativement simple, basée sur un compte à rebours dramatique sert de prétexte à Hawks pour mettre en scène ce qui lui tient le plus à cœur, l’union d’un groupe d’hommes à priori dissemblables pour faire face à l’adversité. C’est une constante dans l’œuvre de Hawks que l’on retrouve chez Ford pour qui cette osmose se construit davantage au sein de la cellule familiale. Cette évocation des liens fraternels et l’évolution des caractères et des rapports font tout le charme du film . spoiler: Chacun sortira de l’épreuve grandi comme Dude (Dean Martin) qui aura vaincu son alcoolisme, Chance (John Wayne) qui aura trouvé l’amour, Colorado (Ricky Nelson) qui aura trouvé une ligne de conduite, Feathers (Angie Dickinson) qui aura recouvré une dignité perdue et même le vieux Stumpy (Walter Brennan) qui aura pu sortir un moment du rôle de faire-valoir. Rio Bravo est encerclée par les séides d’un riche éleveur sans scrupule qui entend libérer son frère de prison au prix du sang et pourtant jamais on ne craint pour la fine équipe
    tellement l’ambiance distillée par la caméra de Hawks est bienveillante pour cette poignée d’hommes cornaqués par un John Wayne dont la stature n’a jamais été aussi impressionnante et rassurante. Le parti pris optimiste de Hawks est évident au regard du personnage de Stumpy qui traditionnellement meurt au deux tiers du métrage et qui a ici le privilège de nous imposer sa mauvaise humeur roborative jusqu’à la dernière minute via un Walter Brennan édenté dans l'un de ses meilleurs rôles. C’est aussi à cause de cette fin heureuse que l’on prend à chaque fois le même plaisir à revoir « Rio Bravo ». John Carpenter grand fan du film en a développé le thème de l'encerclement dans son premier long métrage « Assaut » où il exploite le potentiel de violence contenue de « Rio Bravo ». A son image, nombreux sont les réalisateurs admiratifs devant la chaleur humaine qu’a su transmettre Hawks à travers ce western aussi traditionnel qu’atypique.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    156 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2019
    « Rio Bravo » est un classique indéniable. De ceux qui vous font vous sentir chez vous dès les premières secondes. Le scénario est limpide comme de l'eau pure, les acteurs semblent plus vrais que nature, malgré la patine du Technicolor et un jeu millimétré, et la caméra sait se faire discrète, tout en rendant chaque plan évident. Tout cela permet de nous servir l'intrigue sur un plateau d'argent : un duel à mort entre un shérif consciencieux et une fratrie de riches personnages véreux. Chaque grande séquence est d'anthologie. Tout commence dans un bar : un homme dont on ne sait rien se fait humilier. Quelqu'un vient à son secours, hélas pour lui, car il se trouve dans le bar de son ennemi juré. Tout est dit en quelques regards, quelques gestes : une attitude arrogante, et l'on sait que l'on a affaire au pourri de l'histoire. Une attitude franche et courageuse, on sait qu'on a affaire au héros de l'histoire. Une attitude hésitante, meurtrie, mais là on ne sait pas encore qu'on a affaire à l'un des personnages principaux, déchiré, tiraillé entre un passé douloureux et un présent de rédemption. Hawks nous offre ainsi toute une galerie de personnages, aux personnalités plus ou moins tranchées, des plus fourbes aux plus héroïques. Si certains sont stéréotypiques, mais dans le bon sens du terme, comme dans un mythe (de l'Ouest), certains sont génialement complexes, à l'image du pistolero joué par Dean Martin, donc, ou de la jeune femme mystérieuse, récemment arrivée dans la ville. « Rio Bravo » est une sorte de western métaphysique, contemplatif, lent, qui privilégie la psychologie de personnages richement écrits à l'action, qui se fait rare et sèche, brève, incisive. « Rio Bravo » est une aventure humaine, une histoire d'amour et de camaraderie, une histoire de dépassement de soi dans l'épreuve, de pardon et de rachat. Une aventure tellement riche qu'un seul ou même plusieurs visionnages ne suffisent certainement pas à épuiser tout ce que contient ce film. Dans ces conditions, comment ne pas y voir un chef-d’œuvre ?
    Antony
    Antony

    29 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Un western efficace trénant toutefois en longueur. Dommage car de nombreuses qualités sont pourtant là, mais ce manque de rythme entache le film. Un scénario classique et solide finit le boulot positivement. Rio Bravo reste une référence mainte fois copié ; parfois en mieux.
    Nathan Snidaro
    Nathan Snidaro

    68 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2013
    Si l'on devait résumer le western américain en cinq films, "La prisonnière du désert", "Rio Bravo" et "El Dorado" en feraient certainement partis ( même si il ne s'agit que de mes goûts personnels ). Là où les westerns de Ford se concentrent essentiellement sur l'évolution de l’Amérique, la conquête de l'ouest ( combats contre les indiens ), ceux de Hawks s'intéressent généralement aux intrigues "intrapeuples". Même si l'on échappera pas au stéréotype du cowboy viril aux qualités morales et physiques irréprochables, toujours aussi bien interprété par John Wayne ( qui ne jouera d'ailleurs aucun autre rôle de sa vie mais bon ), l'intrigue se révèle intéressante, on assiste au duel entre le sheriff et le propriétaire terrien, l'homme de loi et l'homme puissant. Si l'on peut comprendre le reproche de certaines longueurs, on n'ira pas non plus jusqu'à dire que l'on s'ennuie, bien au contraire, car le film offre également une galerie de personnages tous bien interprétés et tous biens développés, l'homme de valeur qui se ruine à l'alcool, le jeune débutant et le vétéran. Quand à l'histoire d'amour, elle est loin d’être désuète, mal amenée ou maladroitement menée, on peut même dire qu'elle apporte sa véritable pierre à l'édifice, non sans la contribution du très bon jeu d'Angie Dickinson. Le film regorge de scène mythiques et géniales, que ce soit la fusillade de fin ou, passage que j'ai réellement apprécié, la chanson country dans le bureau du shériff. Bref, l'un si ce n'est LE meilleur film d'Howard Hawks.
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2013
    Western sympa avec beaucoup d'actions mais pas mal d’invraisemblances.
    Kubrick's Club
    Kubrick's Club

    40 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2008
    Excellent western, dont toute la valeur réside dans cette impeccable mise en scène, qui plus est de personnages approfondis. Véritablement l'un des meilleurs du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Un bon film . Mais on a du mal a rentré dedans . Il se rattrape avc la complicité des acteurs et leur bon jeu mais aussi par la grande bataille . On peut aussi remarquer la beauté de la petite amie de Chance ( j sais c inutile ) . En conclusion le film est assez divertissant .
    teofoot29
    teofoot29

    86 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2010
    Plus qu'un grand western, un pure moment de cinéma joviale avec un grand John Wayne et un grand Dean Martin. Howard Hawks amène le genre à son paroxisme.
    charly5766
    charly5766

    14 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mars 2013
    Film absolument monstrueux ! Je préfère tout de même les westerns italiens toutefois entre la prisonnière du désert, le train sifflera trois fois et Rio Bravo (entre autre ...), les Etats Unis nous ont offerts quelques chefs d'oeuvres ! La scène du chant entre Dean Martin et Ricky Nelson est juste un très très grand moment de cinéma. La tension est présente tout le film, le charisme de John Wayne fait mouche et l'humour du vieux Walter Brennan prête à sourire. Film qui inspira Tarantino et surtout Carpenter et juste pour cette raison il faut le regarder.
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Un des plus beaux et plus grands westerns de tous les temps ! John Wayne magistrale, Dean Martin magnifique, mise en scène parfaite d'Howard Hawkes (la chanson chantée par Dean Martin et Ricky Nelson est un très grand moment du cinéma !)... On ne peut se dire fan de western sans reconnaître à sa juste valeur ce film qui mérite largement sa réputation de pur chef d'oeuvre. Un western de légende comme on n'en fait plus !
    yannick R.
    yannick R.

    107 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 février 2009
    chef d'oeuvre du western avec john wayne et dean martin cette équipe de boiteux ou ce shériff lent partagé de son adjoint alcoolique doit s'occuper de burdett dans sa prison pour le transferer, mais le frére de celui ci veut le faire sortir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2010
    Après l'avoir visionné, on ne saurait le dire plus, John Wayne est une légende.
    Tedy
    Tedy

    250 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 novembre 2006
    Un western classique, qui allie action et humour.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2010
    Assurément, quand on aime le western on ne peut pas passer à côté de ce monument, qui, comme les septs mercenaires tourné un an plus tard, fait la jointure entre le western académique hollywoodien et les "dissidents" des années 60 qui viendront exploser les codes du genre (Peckinpah, Leone, Penn). La musique est prenante, le climat crépusculaire, grâce à une photo magnifique, et Dean Martin absolument génial dans son rôle d'alcoolo tourmenté. Un chef-d'oeuvre, assurément. Hawks et John Wayne remettront le couvert et referont un remake - réussi d'ailleurs - seulement sept ans plus tard, avec Mitchum à la place de Dean Martin.
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