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    The Doom Generation
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    78 critiques spectateurs

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    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    40 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Un film iconoclaste et barré qui convaint grace à sa singularité. 13/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 janvier 2013
    The Doom Generation ou la Descente aux Enfers façon Gregg Araki. Les habitués du réalisateur retrouveront les thèmes qui lui sont chers : le désir, le sexe, la drogue, la découverte, la jalousie, le meurtre, toutes ces pulsions plus ou moins maîtrisées et avouables… Jusque-là, rien de bien nouveau.
    The Doom Generation dresse le parcours d’une jeunesse perdue et désillusionnée dont le long voyage initiatique, prétexte à toutes les horreurs, va davantage les affaiblir que les sauver. Ici, cette jeunesse s’appelle Jordan et Amy, bientôt rejoint par X, un homme instable, violent mais charismatique, qui va les mener au bout de leurs limites.
    Sorte de road movie pessimiste sous ecsta, Araki, hélas, réitère les erreurs du passé. Parfois remarquablement inspiré et filmé (notamment lors des réflexions philosophiques de Jordan), le film s’embarque vite dans le chemin de la facilité où la débauche, la luxure et le gore cachent mal un scénario trop frêle. Rapidement, Araki s’emploie à instaurer une ambiance glauque et plutôt malsaine, au détriment de ces personnages égarés et pourtant fascinants. Alors que ces (anti)héros démontraient parfois un semblant d’humanité qui les rendait attachants, l’histoire se charge de balayer toute trace d’empathie. Dès lors, difficile pour le spectateur de manifester le moindre intérêt pour ce trio infernal, dont la chute semble bien prévisible.
    Reste de cette histoire courue d’avance, l’impression de sortir d’un mauvais trip psychédélique, entre cauchemar et course frénétique, où chaque minute passée rapproche d’une issue tragique. Le trio de jeunes adonis filmé avec une certaine tendresse par Araki peine à relever le niveau. Seul James Duval, la « muse » d’Araki qui l’avait déjà dirigé dans Totally f***ed up, sort vraiment grandi de ce film chaotique et sans grand intérêt : Ange énigmatique et candide, il rayonne au milieu de ces âmes damnées jusqu’à se brûler les ailes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    Pas mal film qui change drôle bizarre gore. Avec rose qui joue très bien son rôle.
    peypino
    peypino

    48 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2012
    constat générationnel sans concession, plus cru et provocateur que pertinent, un défouloir pour sale gosse, ou délire de vieil intello camé je ne saurais trop dire!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 mai 2012
    OK, ce film est une succession de scènes de sexe et de violence. Mais mon dieu, quel plaisir de laisser son cerveau à la porte pendant les quelques 80 minutes que dure ce film. C'est un road movie fantastique, voir purement fantaisistes d'adolescents paumés comme il en existe des milliers. Mais combien ont la chance d'avoir un briquet en forme de tête de mort pour allumer des clopes dont le logo du paquet est une tête de mort enfumant une voiture pleine de devinez ... Je ne me suis pas ennuyé une seconde, j'ai été choqué, j'ai aimé les acteurs et leur fureur de découvrir le monde, leur monde (on va pas leur reprocher hein...), leur sexe et leurs limites. C'est aussi un rêve il n'y a rien qui puisse déplaire dans ce film, pour peu que l'on sache à quoi s'attendre. Quand aux dernières minutes, c'est juste du Araki, obscène et torturé. J'approuve entièrement cette caricature.
    WardStradlater
    WardStradlater

    53 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2012
    Sans pour autant aller aussi loin dans le psychédélique qu'un Festin Nu, The Doom Generation porte tout de même un aspect plaisant de folie, d'absurdité et de surréalisme. Un cri pour un monde avant-gardiste, aussi bien libéré de la société de consommation, que du joug judéo-chrétien. En un mot, sans pour autant parler de Beat, on assiste ici à un microcosme libéré de toutes notions de tabou et d’interdits.
    Guillaume182
    Guillaume182

    130 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2013
    Un film pour un public très averti.

    Je n'ai pas découvert le cinéma d'Araki avec ce film et encore heureux, sinon j'aurai eu peur de découvrir la suite.

    Je suis un grand fan de ses derniers films.

    Les premiers, je les vois surtout comme des exercices de style.

    Le scénario ne doit pas casser trois pattes à un canard sur le papier.

    La plupart des gens qui ont vu le film parle du côté trash et rock'n roll et c'est ce dont il s'agit, mais c'est surtout une sorte de peinture sur le mal être adolescent.

    Trois paumés qui ne savent pas ou ils vont et qui vont s'écraser.

    Il y a aussi beaucoup de sexe, mais qui ne nous empêche pas de voir aussi la part de romantisme d'Araki.

    Je pense que ses premiers films, même si pour moi ce ne sont pas de grands films, valent quand même le coup d’œil.

    Une expérience qui lui à servi pour Mysterious skin.

    Trash, nihiliste, rock'n roll, mais surtout triste.
    LUET M
    LUET M

    37 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2012
    'The Doom Generation' est l'histoire trash du voyage de 3 adolescents paumés vers l'Enfer, entre tentation et violence. Dérangeant mais très agréable à regarder - on ne s'ennuie pas une seconde -, on pourrait uniquement regretter la maigreur du scénario.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2012
    Bon, peut-être un peu mieux que Nowhere, The Doom Generation commence plutôt bien en imposant une atmosphère très mystérieuse qui, contrairement au récit, ne régresse pas de tout le film. Un mystère symbolisé par l'apparition de Xavier, un jeune homme démoniaque tuant sans aucun scrupule quiconque croisera le chemin des protagonistes. Avec des allures apocalyptiques de films de zombies, les meurtres rocambolesques qui se produisent au fil de l'histoire s’avèrent petit à petit répétitifs et de moins en moins drôles. À l'instar de Nowhere, The Doom Generation dépeint le quotidien mouvementé d'une jeunesse perdue, qui trouvent dans le sexe, la violence et la drogue une sorte de refuge. Et pour sûr, ces trois ingrédients sont surexploités par le réalisateur jusqu'à l'écoeurement. Toujours aussi plaisant à regarder mais bien loin de la perfection, le cinéma trash et souvent kitsch à souhait d'Araki s'avère toujours aussi décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 octobre 2015
    Un poil moins bien que nowhere, ce film reste plutôt bon mais il est beaucoup trop centré autour du sexe, c'est rapidement lassant ...
    Tanezir
    Tanezir

    33 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2011
    On peut dire que The Doom Generation a su me réconcilier avec Araki ce qui n’était pas gagné d’avance. Ce réalisateur sait alambiquer les choses de manière tordue et ce pour notre plus grand plaisir. Je pense qu’on déteste ou qu’on adore. L’esthétique du film n’est pas ce qui m’a le plus convaincue même si elle joue un rôle important pour lui cependant la tournure que prenne les choses et cet enchaînement fou m’ont séduite, et donné bien envie de regarder d’autres films du même réalisateur (et éventuellement revoir celui qui m’a laissé un très mauvais arrière-gout dans la bouche)
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 août 2011
    Beaucoup ont apprécié ce film et trouvent que c'est un très bon Araki, mais ce n'est pas mon cas. J'ai aimé l'esthétique du film, la réalisation, le jeu des acteurs, et la critique constante de la société américaine, mais j'ai eu beaucoup de mal a vraiment accroché, j'ai trouvé ça un peu long, alors que c'est un film plutôt court, et trop répétitif, je sais que c'est le principe, mais quand même. C'est dommage, y avait vraiment de bonnes idées, mais avec moi ça n'a pas prit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 août 2011
    "A road murder sex comedy", déclare honnêtement l'affiche. "Un film hétérosexuel de Gregg Araki", clame avec provocation le générique d'intro. On ne nous prend pas en traître, c'est exactement ce qu'est le film.
    The Doom Generation, c'est du 100% Araki. Longue satire sur l'adolescence, le film n'a pas vraiment de point de départ, ni de destination finale. Il se contente de se laisser vivre, tel le groupe d'adolescent qu'il suit. Perdus dans des environnements plus psychédéliques les uns que les autres, nos trois ados blasés de la vie se raccrochent à ce qu'ils connaissent, à ce qui ne les trahira jamais, c'est à dire le sexe, la violence, les cigarettes et les nachos. Cependant, incapables de se contenter de ce qu'ils ont déjà, notre fière tribu fera, au cours de leur road trip cauchemardesque, de nouvelles expériences plus incongrues les unes que les autres.
    A la fois naïf et cruel, drôle et gore, ridicule et attachant, loufoque et pathétique, satanique et religieux, The Doom Generation est un film totalement déjanté, critiquant avec un décalage insensé les tares de la société américaine. C'est frais, c'est vulgaire, c'est provocateur et ça laisse matière à la réflexion. En somme, c'est un régal.
    Le-Droogie
    Le-Droogie

    19 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Film complètement déjanté, et dans le bon sens du terme (pas comme Even Cowgirls Get the Blues, quoi…), The Doom Generation se pose comme une cassure complète dans le cinéma d’Araki, et le ton très sérieux employé jusque là. Et ceci même se trouve dès les cartons du générique introductif, avec cette annonce : « Un film hétérosexuel par Gregg Araki ». Ca ne vous rappelle pas Totally Fucked Up ?..
    Plus sérieusement, ce film est une véritable tuerie qui découle sur quelques fins partis-pris de mise en scène contrastant avec ce scénario totalement barré. Que dire de cette génération maudite, si ce n’est qu’à chaque commerce où elle s’arrête pour acheter à bouffer, l’addition sera de 6$66, que le numéro de chaîne de leur premier motel est le 666, et que le niveau d’aptitude scolaire d’Amy Blue (Rose McGowan, exceptionnelle ici) est de 666, et que le briquet qui allume chacune de leurs clopes forme une tête de mort, rappelant ces chères vanités pascaliennes, et que dans chaque endroit où ils marquent une pause, une connaissance de la belle Amy souhaite leur faire la peau ?
    Ce film permet vraiment de découvrir en Araki un cinéaste tout à fait intéressant à suivre ardemment. Personnellement, il me fait penser à un de la Iglesia américain…
    Le film en lui-même est jouissif au possible, avec un trio d’acteurs incroyable, une zik’ qui colle parfaitement aux images (merde quoi, cette scène toute simple, qui shoot un gros plan sur le visage de McGowan puis la bagnole s‘éloignant de plus en plus pour venir clôturer le film, le tout saupoudrer par ce merveilleux morceau de Slowdive (Blue Skied an' Clear) est un putain de monument !), la mise en scène est simple mais reste à croquer…
    A voir, sous peine de vous voir presser les couilles dans un presse agrume. Vous êtes une fille ? C’est pas grave, on avisera. Parce que bordel, comme dirait Sean Bateman des Lois de l’attraction, c’est quand même bien « Rock’n’roll »? ! Un putain de film rappelant parfois les mythiques
    _Royal_
    _Royal_

    127 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juillet 2011
    Araki a voulu faire le film le plus vulgaire de sa génération, et il a réussit, même si un podcast sur son Myspace aurait été aussi efficace.
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