Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Un jeune réalisateur [Joachim Trier] norvégien capte le mal-être qui suit l'adolescence en signant un premier film prometteur à la bande-son très années 1980.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) il se dégage de ce premier film à la fois ludique et grave, léger et dramatique, trop plein et fougueux, une énergie et une force romanesque qui font oublier quelques réserves.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Désireux de s'approcher du caractère intempestif, moderne, des premiers Godard, il a peut-être réalisé un portrait étonnant de ses propres ambitions, qu'ainsi il exorcise en les réalisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) malgré les gris dominants et la stylisation formelle, la chaleur perce, singulière et émouvante.
Paris Match
par Alain Spira
Cette fresque speedée et spleenée d'une génération postadolescente en quête d'absolu et de références godille entre Godard et Bret Easton Ellis, en surfant sur une vague qui, si elle n'est pas franchement nouvelle, a au moins le mérite d'être très vivifiante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par VIncent Thabourey
Voilà de très bonnes nouvelles cinématographiques de Norvège avec ce premier long métrage qui déjoue les postures d'un cinéma européen souvent trop académique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré des effets de montage et de récit pas forcément utiles (...), malgré des naïvetés (...), ce tableau d'une jeunesse artiste qui se cherche un style en s'inspirant de la new wave des années 1980 (Joy Division et consorts) a une certaine grâce.
La Croix
par Sophie Conrard
(...) le premier long métrage de Joachim Trier a la faiblesse de vouloir trop en dire. Mais il est sauvé par un sens très juste de la mise en scène et un montage captivant (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La rédaction
(...) [un] drame grinçant et parfois terriblement lucide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film finit par se limiter à cela : une sorte de roman d'apprentissage à plusieurs voix (...). La littérature et l'art ne servent finalement que de toile de fond chic à ce film qui reste à la surface des choses et des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir le site www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Ambitieux, cet instantané d'une certaine jeunesse Scandinave actuelle se révèle au final trop volatile. Ce que ne devrait pas être la carrière de son prometteur réalisateur.
Télérama
par Jérémie Couston
La narration est bousculée par d'innombrables flash-back et d'audacieuses scènes fantasmatiques (...). La complexité du scénario s'accompagne d'un remarquable travail sur le son (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Agata Makino
Pendant la première demi-heure, le film est fait de petits bouts rassemblés (...) et bondit assez agilement des uns aux autres avec une mise en scène bien balancée. Pourtant, en cours de route cette vivacité tombe dans la pose. (...) A la sobriété élégante des premiers moments vient s'agglutiner tout l'attirail lourdingue du film de copains.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Metro
par Jennifer Lesieur
Ce film norvégien, presque entièrement tourné avec des comédiens amateurs, s'éparpille avec des flashbacks pesants au lieu de se concentrer sur sa belle idée de départ.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Véronique Le Bris
(...) un scénario alambiqué et une réalisation compliquée faîte de ruptures de rythme et de ton (...) on suit difficilement les errements psychologiques des personnages (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Par excès de juvénilité, la réflexion sur ces jeunes blondinets imberbes, apprentis écrivains pour les deux premiers rôles et gentils crétins pour le reste de la bande manque de profondeur. La faute à cette candeur persistante dont n'arrive pas à se débarrasser Joachim Trier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Un jeune réalisateur [Joachim Trier] norvégien capte le mal-être qui suit l'adolescence en signant un premier film prometteur à la bande-son très années 1980.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
(...) il se dégage de ce premier film à la fois ludique et grave, léger et dramatique, trop plein et fougueux, une énergie et une force romanesque qui font oublier quelques réserves.
Libération
Désireux de s'approcher du caractère intempestif, moderne, des premiers Godard, il a peut-être réalisé un portrait étonnant de ses propres ambitions, qu'ainsi il exorcise en les réalisant.
MCinéma.com
(...) malgré les gris dominants et la stylisation formelle, la chaleur perce, singulière et émouvante.
Paris Match
Cette fresque speedée et spleenée d'une génération postadolescente en quête d'absolu et de références godille entre Godard et Bret Easton Ellis, en surfant sur une vague qui, si elle n'est pas franchement nouvelle, a au moins le mérite d'être très vivifiante.
Positif
Voilà de très bonnes nouvelles cinématographiques de Norvège avec ce premier long métrage qui déjoue les postures d'un cinéma européen souvent trop académique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
L'Humanité
Malgré des effets de montage et de récit pas forcément utiles (...), malgré des naïvetés (...), ce tableau d'une jeunesse artiste qui se cherche un style en s'inspirant de la new wave des années 1980 (Joy Division et consorts) a une certaine grâce.
La Croix
(...) le premier long métrage de Joachim Trier a la faiblesse de vouloir trop en dire. Mais il est sauvé par un sens très juste de la mise en scène et un montage captivant (...).
Le Figaroscope
(...) [un] drame grinçant et parfois terriblement lucide.
Le Monde
Le film finit par se limiter à cela : une sorte de roman d'apprentissage à plusieurs voix (...). La littérature et l'art ne servent finalement que de toile de fond chic à ce film qui reste à la surface des choses et des êtres.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ambitieux, cet instantané d'une certaine jeunesse Scandinave actuelle se révèle au final trop volatile. Ce que ne devrait pas être la carrière de son prometteur réalisateur.
Télérama
La narration est bousculée par d'innombrables flash-back et d'audacieuses scènes fantasmatiques (...). La complexité du scénario s'accompagne d'un remarquable travail sur le son (...)
Chronic'art.com
Pendant la première demi-heure, le film est fait de petits bouts rassemblés (...) et bondit assez agilement des uns aux autres avec une mise en scène bien balancée. Pourtant, en cours de route cette vivacité tombe dans la pose. (...) A la sobriété élégante des premiers moments vient s'agglutiner tout l'attirail lourdingue du film de copains.
Metro
Ce film norvégien, presque entièrement tourné avec des comédiens amateurs, s'éparpille avec des flashbacks pesants au lieu de se concentrer sur sa belle idée de départ.
Première
(...) un scénario alambiqué et une réalisation compliquée faîte de ruptures de rythme et de ton (...) on suit difficilement les errements psychologiques des personnages (...)
aVoir-aLire.com
Par excès de juvénilité, la réflexion sur ces jeunes blondinets imberbes, apprentis écrivains pour les deux premiers rôles et gentils crétins pour le reste de la bande manque de profondeur. La faute à cette candeur persistante dont n'arrive pas à se débarrasser Joachim Trier.