Un style décalé, ça commence à gonfler le ballon de baudruche en ces temps moins aéré en oxygène, les nerfs d’acier, un passage des poumons à la montagne vaisseau sanguin fraîcheur de vivre, couvrons-nous correctement dans ce film moyen d’englishmen.
All Guy Ritchie mix Quentin Tarantino 3 billboards seven psychopaths, Irishmen pub, American beers and Canadian tourists in Bruges, c’est où c’était l’Union Européenne, de la Grande Bretagne à la Belgique, la monnaie courante nationale addition livre sterling, à l’Euro multiplication.
Un chemin ennuyeux que suivront les gangsters criminels tueurs à gages, c’est propre, net, clair, précis, concis, poli, excusez du peu de violence jugée excessive, on se demande pourquoi sortie en 2008, encore des traces laissées sur le plancher de la paroisse église.
Insérant ces mots successifs dans le droit chemin de ce scénario, une mise en scène nettoyée, les acteurs y jouent dedans, c’est cool mes poulets, y’a pas de quoi, c’est déprimant, Crying Freeman navigue fleuve apparence tranquille en Europe.
Vraiment bons baisers de Bruges, remords, rancune, colère, tuer est un jeu d’argent capital mondialisation Pizza Hut, même faute de goût salé poivré pâte sauce tomate fromage viande, c’est bizarre réactif interaction agissement.
C’est le pays voisin nord frontalier de la France, deja visité, amicalement vôtre, tous ces anglophones internationaux, bisou autorisé, romantisme fatal cache ses secrets mystérieux obscurs sombres nocturnes, le monde du cinéma nain et joie défoncée groupe.
Et ça continue de rigoler en délirant avec du cake sanglant, je ne vois pas quelle quantité en tirer de la conclusion hâtive, bam bam💥 quoi qu’il arrive, ne se passe sans rien, pas de quartier pour les confessions prêteuses dans ce monde de fous cinématographique.
Du surréalisme catching façon de tourner cette réalisation juvénile originalité certifiée, un essai d’art contemporain, le contrat stipulé londonien canaux irrigations martiens, un film pour extraterrestres cosmiques.