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Un visiteur
0,5
Publiée le 5 juillet 2008
Un film bling-bling (yachts, grosses voitures, champagne...) prétentieux qui impressionne par sa vacuité avec une absence totale d'humour et une intrigue plus mollassonne que dans un mauvais Derrick! Devant tout cela, on n'a qu'une seule envie : se carapater au plus vite, c'est d'ailleurs ce que j'ai fait aux deux tiers du film en prenant garde de ne pas réveiller les spectateurs endormis.
je m'étais jurer de ne jamais aller pisser pendant un film mais LA je n'ai pas pu me retenir un film pourri et très ennuyeux avec comme must une fin incompréhensible du genre je ne sais pas comment finir mon film donc j'invente un dénouement bidon pour ceux qui aiment les scènes de braquage eh bien désolé le braquage n'est pas filme mais raconté
Et dites donc, si ce cache cache était aussi une arnaque ? Y avez vous songé ? et si je mettais 2 étoiles alors que je voulais en mettre 4 , mais à cause que mon patron n'a pas aimé le film j'en mettais zéro, pour fayoter ? Vous ne trouvez pas les rebondissements de cette histoire ? manque juste un yacht , un président , une mannequin pour en faire un truc un peu plus plausible. Faudrait y songer pour Cash 2.
Dans la lignée de "Sans arme, ni haine, ni violence" avec cette même réalisation élégante. Le reste, ben voilà Réno qui fait du Réno et Dujardin qui joue comme dans OSS 117. Vivement la suite d'ailleurs et que Dujardin change de registre pour ses autres rôles ! On peut manger du pop-corn pendant le film, c'est pour vous donner le niveau, un film pour la télé, pas désagréable, plutôt divertissant et qu'on oublie aussitôt après l'avoir vu. Eh oui, encore un casse, Joyce, continue à ne pas jacasser, s'il te plait !
Au jeu de l'arnaque Eric Besnard se montre très fort. Il pigeonne le spectateur, et le pire c'est qu'on y prend plaisir pour peu qu'on arrive à s'y retrouver au milieu de tous ces retournements de situation.
Un casting de rêve autour d'un "Ocean's 11" à la française, ça annonce du très lourd. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Après avoir plongé les spectateurs dans un gros flou pendant plus de 1h30, Eric Besnard tentent de les sauver de la noyade en leur proposant LA solution de facilité pour répondre aux multiples questions que ces derniers se sont posés tout du long. Mais non, ça n'y répond pas. Peut-être faudrait-il revoir le film pour essayer de comprendre ? Mouais, pas trop envie. D'accord, comme film de ce genre, il y a pire, mais il y a aussi et surtout carrément mieux.
bon, je m'étais fait avoir avec "99 f" et m'étais juré de ne plus aller voir de film avec Jean Dujardin que pourtant j'appréciais, mais cette fois c'est terminé et pourtant j'avais fait confiance du fait de la présence de Jean Réno : On N'y comprend rien à ce film alambiqué, tapageur, brouillon et je vois en lisant les critiques que je ne suis pas le seul! je n'ai rien d'autre à ajouter , les critiques sans étoiles de ce film correspondent très exactement à la réalité
Comme il est si bien dit dans ce film, dans toute arnaque il y a un pigeon et ici c'est sans aucun doute le spectateur. En effet, ce dernier est odieusement victime d'un coup de billard à trois bandes extrêmement bien ciselé. Mais c'est avec une grande joie qu'il se retrouve le dindon de la farce, tellement "Cash" est agréablement ingénieux. Déjà auteur avec "Le nouveau protocole", sorti en salles une poignée de semaines auparavant, d'un scénario malin et mystérieux, Eric Besnard récidive en effet ici avec encore plus de maestria et en passant en plus derrière la caméra. De quoi donc être enthousiasmé par le bonhomme qui fait à nouveau appel, dans une sorte de clin d'oeil l'espace d'une scène d'introduction, au héros de son précédent film Clovis Cornillac. Ce dernier y retrouve lui-même Jean Dujardin trois ans après "Brice de Nice", oeuvre mythique pour moi s'il en est (pour la petite histoire, on note aussi dans les remerciements du générique de fin le nom de James Huth, le réalisateur des aventures du surfeur ascendant snowboarder réunissant ces deux gais lurons). Il est d'ailleurs vrai que "Cash" bénéficie d'un casting de rêve avec la présence en outre de Jean Réno, François Berléand ou Alice Taglioni, sans oublier Valeria Golino qui devient de plus en plus attirante au fur et à mesure qu'elle vieillit. Scénario astucieux, mise en scène sympa, acteurs de classe : champagne !
3 étoiles pour l'intrigue et le jeu des acteurs, Jean Reno dont je suis une fan est toujours excellent, j'ai plus de mal avec Jean Dujardin qui devrait de temps en temps se départir de son sourire. La petite Taglioni est vraiment sympa, et pas bécheuse, le dénouement est inattendu et bien ficelé, on adhère à l'histoire, super sympa.
Ce film est un peut une serie ocean ou mission impossible avec de bon acteurs mais : _ On ne retrouve pas le Dujardin qu'on aime dans OSS 117 mais une espece de copie avec le même caractère sur de lui sauf que cette fois il n'est pas drole. _ Je n'ai toujours pas compris la fin car dans ce film Dujardin passe pour un pigeon et il a des ennemis et une seule amie; a la fin tout se renverse, l'amie qui bosse a la police devient voleuse et Dujardin le pigeon partage le butin d'un vol avec "son meilleur ennemi". C'est un fiim sans interêt qui ne merite pas qu'on aille le voir .
Malgré un casting 4 étoiles, le film déçoit énormément. Le metteur en scène ne donne pas vraiment de rythme à son film, au bout d'un moment on s'ennuie ferme!!! Les acteurs font ce qu'ils peuvent, Jean Reno en fait des "tonnes"!!! on a l'impression de revoir en moins bien l'excellent film de soderbergh Ocean's eleven!