Note moyenne
4,1
27 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Chronic'art.com
L'Echange est un film buté dans sa volonté méthodique de tout fouiller, ce qui le sauve de la moindre complaisance. (...) Eastwood filme désormais bien au-delà de son empire. L'insondable, l'irracontable, l'inconcevable servent aussi concrètement à inspirer sa mise en scène.
L'Express
Voir le site http://www.lexpress.fr/
L'Obs
[L'Echange] éclair[e] le monde d'aujourd'hui à la lumière du passé (...) rendant ainsi le cinéma à son ambition et sa destination essentielles et premières.
La Croix
L'Echange prend aisément place au coté des meilleurs films de Clint Eastwood.
Le Journal du Dimanche
(...) L'Echange est un grand film hollywoodien, réalisé avec justement un classicisme des plus purs. Sa noirceur, son aura crépusculaire, n'en sont que plus éblouissantes.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Metro
Clint Eastwood signe un thriller crève-coeur mais magistral (...) La reconstitution de l'époque est sensationnelle (...) On retient son souffle jusqu'à la fin.
Positif
(...) chaque image semble inventée librement pour porter, à sa juste place, sa part d'humaine vérité. Ainsi L'Echange présente-t-il une ampleur et une puissance, une diversité et une conviction rares.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) Clint Eastwood conjugue au plus que parfait émotion et suspense dans ce drame made in Hollywood.
20 Minutes
(...) le calvaire de la sublime Angelina Jolie est filmé sans pathos par un Clint Eastwood inspiré.
Cahiers du Cinéma
Extraordinairement ambitieux, assez bancal, parfois gênant à regarder, (...) L'Echange apparaît ainsi comme un film-monstre, peu aimable mais passionnant.
Charlie Hebdo
(...) La croisade entêtée de Christine Collins emprunte la voie d'un mélodrame dur et automnal.
L'Humanité
(...) cri de colère parfaitement mis en scène en une reconstitution impressionnante (...)
Le Figaroscope
Un mélodrame cruel aux accents sociaux dans lequel on mesure la précision de sa mise en scène et la pertinence de sa direction d'acteurs, notamment Angelina Jolie dans un rôle fort.
Le Monde
Récit d'une passion et d'une vengeance, d'une injustice et d'une revanche, L'Echange est pourtant moins une dénonciation banale de l'arbitraire que la photographie a posteriori d'un moment tardif de l'histoire de l'Amérique où la loi n'avait pas encore triomphé du chaos (...)
Libération
(...) un récit chronologique méticuleux, survolé par un désir obsessionnel de sanctuariser la victime et d'accabler ses bourreaux.
MCinéma.com
Pour tenir en haleine le spectateur, il a tendance à trop se focaliser sur le côté purement policier de l'enquête. Mais l'ambition est là et les promesses tenues. En grande partie grâce à la maîtrise parfaite du cinéaste dans un style bien à lui (...)
Ouest France
Mélodrame, thriller, film d'époque, réquisitoire et cinéma-dossier, il y a tout ce mélange des genres dans cette oeuvre ambitieuse et soignée(...)
Première
Pour Certes, tout n'est pas parfait (...) mais la limpidité et la force émotionnelle du récit s'imposent naturellement.
TéléCinéObs
(...) le classicisme épuré d'une mise en scène qui se refuse à extorquer l'émotion ainsi que la performance d'Angelina Jolie emportent largement le morceau.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
Elle
Douleur dévorante (...) filmée dans une facture très classique, et peut-être un peu trop maîtrisée pour laisser surgir l'émotion de ce drame (...) Rien ne bave, tout est under contrôle. Dommage!
Le Parisien
(...) si l'on admire le boulot du maître Eastwood, on n'est jamais vraiment emporté par cet Echange. C'est toute la différence entre un bon et un grand film.
Les Inrockuptibles
Le cru Eastwood 2008 est bon, mais pas exceptionnel.
Télérama
Eastwood a la main lourde (...) Pour autant, L'Echange est loin d'être ennuyeux ou dénué d'intérêt. Le fameux storytelling hollywoodien (...) opère, la situation est intrinsèquement forte (...)
Première
(contre): Jamais Eastwood ne donne le sentiment d'être réellement inspiré. Trop confiant dans son histoire, trop sûr de son cinéma, il laisse son film avancer mécaniquement, sans faire dérailler une machine qui s'enlise dans un formalisme compassé.