Avis : Sucker Punch - Page 10

L'idée de départ est vraiment novatrice, et le spectateur est perdu au milieu de ces mises en abymes permanentes et sucessives.
On est happé par les évènements, les premières minutes sont déjà haletantes. Suit un défèrlement de violence, de scènes de combat, de retour à une réalité sans avoir véritablement conscience de l'espace et du temps.
La bande son soutient parfaitement les scènes.
Ce film est presque un voyage initiatique, un vrai chef d'oeuvre!

Une fable surréaliste ambiguë : pendant la moitié du film, l'actrice principale antipathique et assez niaise malgré des seconds rôles tout simplement excellents, une réalisation assez conforme à ce qu'on en attend, trop, peut-être puisqu'elle devient parfois ennuyeuse, les scènes attendues et mauvaises, mal jouées, mal interprétées, mal réalisées, rien d'intéressant dans ce qui nous est proposé alors. L'ensemble du film ne donne rien cinématographiquement. En outre, l'idée de départ est bonne, le film en tant qu'unité réflexive n'est pas trop mauvais. Alors, on se questionne: est-ce un bon film? Clairement pas. A-t-il la prétention de l'être? Un peu trop. Est-ce un scandale, ce qu'on se demande devant certaines scènes insipides, manichéennes et infamantes? Certainement, mais du point de vue cinématographique, le réalisateur rattrape bien le manque de saveur de ses scènes d'actions par des renversements quand tout était perdu, par des scènes inattendues et bienvenues donc, preuve qu'on n'a pas perdu de temps. Finalement, il reste de ce film très peu de choses: entre le scandale manichéen, le désordre scénaristique qui ne mène pas à grand chose au départ, la focalisation qui aurait pu être un parti pris intéressant n'est pas tellement pris. On est face à du conventionnel un peu insipide et donc ce film en définitive ne peut pas être un bon film, même à regarder "vite fait" puisque malgré le moment pas désagréable que l'on passe devant, il met en scène naïvement des représentations scandaleuses de manichéisme, des réflexions pseudos-freudiennes tant que pseudo-philosophiques débiles, même si le fond, remis à jour dans les derniers moments de la production, est candide et très gentillet, cette sensation de production grand guignol des scènes de combats l'ont arraché de sa dimension théorique et transcendante, marque peut-être d'autodérision? Un grand mitige donc, quand à l'appréciation.

Malgré un emballage visuel digne d'un clipeur attardé, la première chose qui frappe dans le tout premier acte c'est ce parfum délétère de manipulation sournoise qui caractérise jusqu'à preuve du contraire tous les films de Zack Snyder, dont la duplicité n'a d'égale que la roublardise avec laquelle il met en boite ses films.
Quid de la manipulation, le premier quart d'heure nous montre à grand renfort de rhétorique simpliste le drame d'une jeune fille confrontée successivement à la mort de sa mère, à la perfidie libidineuse d'un beau père graisseux obnubilé par l'argent de l'héritage (le daron historique étant probablement un lâche ayant abandonné femme et enfants pour une nymphette...) à la mort accidentelle de sa jeune soeur qu'elle cherchait à protéger (c'est vraiment pas de bol tout ça) puis à son internement favorisée par un graissage de patte du dit beau père sur un employé peu scrupuleux, le tout dans un environnement strictement masculin, les quelques rares infirmières n'étant réduite qu'à des âmes sans identités...
Le décor posé, la cervelle ramollie, la propagande peu ainsi commencer!
Pour le coup, on pourrait presque saluer cette initiative féministe de la part d'un type ayant quand même fait l'apologie de la testostérone écervelée en guise d'étendard de la démocratie version III ème Reich. Mais ce serait être vachement naïf que de concéder à ce veau de Zack le bénéfice du doute sur ses réelles aspirations thématiques.
Parce qu'à considérer le casting exclusivement bimbo du truc, on imagine mal Snyder susciter la même empathie auprès du public avec une ribambelle de boudins, fussent ils en strings et bas résille!
A croire que le seul féminisme qui vaille soit justement celui lui permettant d'avoir à sa disposition une bande d'actrices en tenues légères
Mais là n'est pas vraiment la question.
Outre des images à la symbolique discutable, niant dans son essence même le schéma de la femme au foyer (Une femme en cuisine est elle nécessairement une victime de son bourreau de mari?) voir carrément de la maternité (la symbolique très ambigüe de l'assaut mené par des milliers trolls sur un château dans lequel il ne faut pas réveiller la "mère" ) au delà d'une démagogie patente ( les hommes esclaves de leurs quéquettes, réduisant le pouvoir féminin à la stricte sexualité!!) et au delà même de l'ambiance semi harem du pseudo établissement psychiatrique au sein duquel il n'y a visiblement aucun fou (La symbolique phallique du "high roller" destiné aux seules vierges,les allusions aux paradis?) comment considérer ce plaidoyer faussement militant quand dans le même temps, aucune des charmantes demoiselles n'est visiblement capable de s'auto déterminer autrement qu'en suivant docilement le plan d'un Scott Glenn auto intronisé guide spirituel de la cause féminine? (aucune femme n'était disponible pour le rôle sans doute?)
En cela, cette curieuse déclinaison de la "libération" de le femme impulsée par les hommes n'est elle pas d'une certaine façon le relai idéologique d'une société de con-sommation en perte de vitesse, préférant s'aliéner une partie du monde non aligné plutôt que de revoir sa copie sur le modèle sociale qu'elle propose.
Car n'en déplaise à Znyder (avec l'accent allemand), la liberté c'est justement le fait de pouvoir choisir ce que l'on estime être bon pour soi, que ce soit sur le plan politique,idéologique ou autre, et que ce choix soit compris par les autres ou pas (Genre une femme qui voudrait être autre chose qu'un bout de viande en porte jarretelle par exemple)
Autant de points que ce plaidoyer nauséabond feint de ne pas percevoir, à moins de cautionner un système qui contraint ses étudiantes pauvres à la prostitution faute de pouvoir honorer les dettes contractées auprès d'établissement bancaires pour payer des études en sciences politiques (dans le plus pure style de la liberté des femmes à disposer de leur corps comme bon leur semble moyennant finance sans doute...)
Liberté toute relative donc, la même sûrement qui contraint les démocraties à libérer des populations de gré ou de force en y envoyant 300 bourrins en préalable aux "Suckeuse" du film, Timing oblige (mais libère toi bordel de merde!)
Alors que d'aucun nous assuraient que le travail rend libre, Snyder lui nous expose que si l'on ne se tient pas pour quelque chose, on tombera pour n'importe quoi.
Tout la question maintenant reste de savoir pour quoi Snyder se tient,lui ?

une belle réussite l’ensemble avec de superbe graphisme et des effet spéciaux sublime les comédien joue tous bien la seul chose que je reproche sai la musique qui et trop agaçante au bout d'un moment un entre manga et un jeux vidéo une réussite de plus pour zack snyder.

Film avec de magnifique scène, mais a mon gout histoire très moyenne, dommage qu'on la voye pas danser aussi, mais splendide femme

Bon film d'action, des combats bien orchestrés, une bande son excellente. A voir.

Un film action , science fiction , aventure sexy , qui est réaliser et produit par le réalisateur du chef œuvre 300 , qui ce déroule dans un univers un peux plus accessible visuellement mais qui est en revanche très compliquer on a du mal à rentrer dans le film et comprendre réellement comprendre ce qui ne passe il nous faut un peux de temps . Mais une fois que l'on a compris vraiment, on peux ce concentrait sur le film est sa deviens plutôt intéressant, intriguant, sexy cela nous divertit plutôt bien . Une quatuors de filles plutôt convaincant , excellente . Un film sombre parfois.

résumer ;

Un fille est internée xontre son gré en hôpital psychiatrique après cette défendu face à son beau père qui a tuer sa soeur.
elle va découvrir que cette hôpital et prend pas autant soins de ses patients qu'il le devrait , qu'ils se passent des chose bien étrange. Elle va ce lier d'amitiés avec 3 autre filles , et se découvrir une pation piur la danse durant laquelle elle fait jouer sont imagination pour s'évader de cette endroit anxiogène et sombre .

Entre les jeunes poufffffiasses décérébrées, un scénario pitoyable, des combats video-clip, des ralentis ridicules et des dialogues à faire peur... Ce sympathique mixage donne sur un vomi inter-sidéral rarement atteint. A un moment, pris de vertiges, j'ai eu peur de tomber dans le vide de cette bouze. Vaut mieux réinstaller "Wolfenstein", "CoD 2" ou "counter strike 1.6" ça au moins c'est du vrai jeu vidéo. A vomir.

Très imaginatif et violent par bien des côtés, une grande démesure et une plongée dans de la folie de différentes façons. Très noir et peu recommandable cependant intéressant car il n'y a pas de mensonge juste une approche de la folie et d'un imaginaire en parallèle à une réalité sordide à l'extrême.

Ce film de Zack Snyder reste pour le moins assez déçevant malgré des effets spéciaux remarquables. Le scénario reste plat et trés confus. L'originalité et l'imagination de Snyder reste à désirer (en effet, c'est la première fois que Snyder écrit un scénario "original")
Cela confirme que snyder est un trés bon réalisateur et adaptateur mais un pietre scénariste. Mais bon qui ne tente rien à rien

Beaucoup m'ont dit que le scénario ne tenait pas la route, et ben moi je ne suis pas du tout d'accord, ce film est tout simplement excellent, et je regrette même qu'il ne dure pas plus longtemps. A voir absolument !

au départ sa ne me branchais absolument pas mais zack snyder à la caméra alors je me décide et le démarrage est cool puis au fur et a mesure je perds le fil je m'ennuie et je me détourne de l'intrigue mais voila la scène spoiler: de la mort de rocket
ma réveillé, certes c'est pas du grand art mais sa ma sortie de mon état léthargique. abbie cornish tire son épingle du jeu elle est très bien ici et le reste du casting féminin sert de faire valoir a celle-ci même si emily browning n'est pas mauvaise non plus mais en dessous de la première. oscar isaac a un potentiel non négligeable j'ai envie de le voir dans un rôle important je suis persuadé qu'il ne me décevrais pas. faut pas se prendre la tête c'est fait pour passer le temps car rien d'extra mais rien d'ignoble non plus ...

que dire de plus a part que c'est nul, sauf que euuuuuuuuuu non rien

Encore un gros navet de Zack Snyder , heureusement que les filles sont bien jolies !.

quel ennui, un film sous forme de clip sans intérêt, passez votre chemin