Ce bon vieux cinoche américain est excellent, grâce à son scénario au temps de la grande dépression, de plus issue de la littérature, l’auteur des souris et des hommes notamment, un livre éducatif et son autre adaptation nineties comme souvenir saisi et retenu.
Apprenant davantage sur l’histoire miséreuse pouvant se trouver à n’importe quelle époque, un air familier des misérables américains, à l’image indéboulonnable du grand exposé historique au Panthéon immortalisé.
John Steinbeck plonge les péripéties agricoles dans l’Amérique du 20ème siècle, prend le relais de cette torche littéraire si pessimiste, terre à terre, larmoyant, l’agriculture marche trop fort avec ses tracteurs bruyants et vite vite fait bien fait.
Écoutons leurs doléances à ces citoyens laborieux, regardons ce qui se passe comme travail à chercher en traversant d’état en état quand y’a chômage, misère et pression partout, la police privée des comtés, c’est la culture des shérifs élus, effectivement, on est aux États-Unis en 1940.
Un film sorti tout juste après, se remettant depuis pas longtemps, à peine une décennie passée, de l’économie qui rendit dépressif plus d’un les habitants de ce pays neuf, vu tel en noir et blanc, c’est pas magnifique..?!
Un réalisateur au nom de John Ford, l’automobiliste pour mettre en scène son intrigue miséreuse, et c’est la faute à qui pour s’en prendre que l’on se poserait l’éternelle question ?....
......Et des acteurs loubards routards sur la route vers Hollywood, la Californie, l'industrie, l’usine et actrices bonnes dames pour l’interpréter divinement.