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Un visiteur
4,0
Publiée le 23 juin 2012
L'histoire du dernier opus coupé en 2 partie a fait coulé beaucoup d'encre, au final je trouve que c'est assez justifié, cela à permis entre autre de ne pas faire une bataille finale bâclé mais j'y reviendrais. Ici tout se joue dans une course à la mort pour détruire les horcrux. Beaucoup de tension bien reproduite (vis à vis du roman). Peu d'action mais cette partie est réservé pour le prochain opus, c'est en quelque sorte un avant-goûts de ce qui nous attends.
Alors forcément, le film étant coupé en deux parties, cette première partie est fidèle au roman (enfin !), ça paraît logique mais malheureusement dans la première partie du livre, il ne se passe rien en terme d'action, donc dans ce film, euuh..oui c'est bien ça : il ne se passe rien. Malgré la lenteur perpétuelle dans laquelle on est plongé, la photographie du film est très belle et l'ambiance agréable visuellement. Mention spéciale pour la séquence animée lors du récit du "Conte des trois frères" que je trouve superbe et bien venue. Ouf, on respire, on est pas passé loin du zéro pointé pour le sixième opus, ce film relève la pente, reste à voir pour la dernière partie.
Bien que je préfère la partie 2 de ce film, il vaut le coup d'être vu. Dans ce dernier opus, l'atmosphère est bien plus glauque et sombre. On y voit les personnages comme ils le sont vraiment, avec des sentiments biens humains tels que l'amour, la haine et l'amitié. C'est vraiment impressionant comment le film arrive à nous prendre aux tripes tellement que l'on reste scotché à son écran tellement on a l'impression d'y être. De plus, on voit bien les effets néfaste du médaillon orcruxe, comment Ron devient jaloux et pense qu'il y a plus entre Harry et Hermione que de l'amitié. Bref, un film superbe, avec des personnages sublimement bien joués, des décors époustouflants... Et bien sûr une fin théatrale qui vous fera jurer d'impatience et de rage que on n'en sache pas plus à la fin de cette 1ere partie !!
Après avoir attendu... 6 films, je suis enfin tombée sur celui qui ne me déçoit pas ! Fantastique adaptation du livre de Rowling, bien qu'il manque encore quelques détails, mais comme leur nom l'indique ce sont des détails. A croire qu'il aurait fallu tous les faire en deux parties pour qu'ils soient parfaits !
David Yates rassure avec cette épisode bien plus réussi le que 6e. La réalisation est devenu plus élégante et nous propose une magnifique mise en image du conte des trois frère. Le scénario se concentre enfin sur le plus important après deux épisodes d'égarement. Il est dommage que le rythme soit parfois si lent.
La course poursuite pour les Horcruxes est lancée. Le film alterne douceur et violence, rapidité et lenteur. Un délice. spoiler: Bien évidemment, il finit sur un cliffhanger.
Enfin un Harry Potter bien adapté!Depuis le 4,la saga était devenue molle,mal réalisée et trop évasive sur certains points...Mais là,le film est brillant,adapté juste comme il faut!On aurait pu craindre une certaine lenteur mais pas du tout!Le réalisateur arrive à nous emporter dans l'univers qui nous manquait tant!Bien que Daniel Radcliffe soit toujours en dessous de ses camarades,il s'améliore et ça fait du bien!En résumé,allez le voir!
Septième et dernière adaptation cinématographique des romans Harry Potter de J. K. Rowling, (en deux parties). Ce dernier opus, réalisé encore une fois par David Yates, et trop long. Passé une première demi-heure assez riche en action (et situations quelques peu absurdes), le film s'enlise dans une monotonie vraiment très (trop ?) longue. Alors, comme d'habitude, les costumes et les décors sont magnifiques et comme d'habitude, depuis le départ de John Williams, les musiques sont bas de gammes. L'ambiance général et assez mauvaise : pas de tension ni même de suspense. Globalement, un épisode un peu plus fidèle au roman que les trois dernières adaptations mais qui traîne en longueur et qui ne raconte absolument rien de nouveau.
On désespérait de voir David Yates livrer une adaptation digne de ce nom... C'est désormais chose faite. Ce premier chapitre des "Reliques de la mort" est sans nul doute le meilleur film de la série depuis l'extraordinaire "Prisonnier d'Azkaban". Sombre, noir, quasi crépusculaire, violent et désespéré, le film s'éloigne du simple livre d'enfant pour lorgner vers le film d'auteur à gros budget. Et avec quel plaisir. Jamais Harry Potter n'aura semblé aussi vivant, aussi fait de chair et de sang que dans cet épisode qui laisse la part belle aux vrais sentiments, à l'amour, la haine ou à la jalousie. Une vraie réussite.
Le premier volet du commencement de la fin m'a malheureusement confirmé que j'avais bien fait d'arrêter de suivre les films HP. Se dégage du film une certaine platitude que ceux qui ont savouré les livres ressentiront avec plus d'acuité que ceux qui n'ont jamais lu les livres (car eux aussi la ressentiront). On ne ressent pas intensément les émotions des personnages ou des péripéties. Je ne suis pas en train de critiquer la performance des acteurs, ils ont tous bien joué leurs rôles dans l'ensemble. Je pense que c'est le style des réalisateurs anglais qui ne me plait pas. C'est vrai que le réalisateur de HP 3 n'était pas anglais, mais bon les deux premiers ont été réalisés par un américain, beaucoup plus mon style. Mais à vrai dire c'est surtout parce que le livre et film sont deux choses différentes. le film n'est que la partie visible de l'iceberg! Il faut plonger dans le livre pour découvrir et ressentir la pleine mesure de l'univers magique que Rowling nous dévoile!
Première partie de l'opus final de la grande saga Harry Potter, ce film est très fidèle au livre original et, bien que manquant d'action, s'avère être d'un très bon niveau. Outre l'action plutôt attrayante au début et à la fin du film, on découvre un monde encore plus sombre et triste que dans les précédents films. Ça parle beaucoup pour préparer le terrain à la seconde partie (qui finalement sera très décevante), mais au final cela n'est vraiment pas désagréable et Yates nous sert là son meilleur film de la saga HP.
Avec ce nouvel épisode du justicier à la baguette, on entre enfin dans l'ère des gros vilains tout moches. Les masques tombent, les deux camps finissent enfin par se former. Et ce à la plus grande joie des spectateur qui, comme moi, espéraient vainement jusqu'ici un peu d'animation. Peine perdue. L'affrontement sublime tant attendu fait l'effet d'un pétard mouillé. Quelques courses-poursuites au demeurant pas désagréables, et surtout de trop nombreux passages sentimentalo-prépubères, des enchaînements scénaristiques complètement fantaisistes, des pseudo-énigmes à la "Inspecteur Gadget", j'en passe et des meilleurs. Une déception plus personnelle, la présence malheureuse de Ralph Fiennes à ce grand n'importe-quoi, un peu comme si Zizou jouait dans l'équipe de Raon l'Etape.
Pour moi, cette partie est celle qui suit le mieux le livre, et également celle qui à été la mieux réalisée. Pourquoi ? Tout d'abord, j'aime beaucoup l'ambiance sombre et sinistre, la dégradation du monde des sorciers et cette recherche des Horcuxes interminable, qui est très bien retranscrite du livre au film. Ensuite, c'est le premier épisode ou le jeu d'acteur (surtout celui de Daniel Radclife) me convient. Bon, beaucoup vont me dire qu'il ne suit pas toujours le livre, mais je leur répondrais que retranscrire un livre de cette ampleur en film est vraiment un défi de folie, et je pense que le réalisateur s'en est vraiment bien sortit.
Le film débute sur la présentation du nouveau régime du ministère de la magie, établissant plusieurs parallèles avec le régime nazi tels les contrôles et signes distinctifs imposés aux "sangs impurs", les rafles, la censure et le contrôle total des médias, l'ingérence du gouvernement dans les affaires de Poudlard et des enseignements, ... Dans cette ambiance sombre, Harry et ses fidèles amis vont devoir échapper à cet ordre nouveau afin de mener à bien leur mission : détruire les horcruxes restants pour pouvoir éliminer Voldemort. Il s'agit d'un volet particulièrement noir, plus meurtrier que les précédents, mais également porteur d'espoir, à travers la résistance existante face au régime. Le film se termine sur une note bien triste, nous arrachant un personnage supplémentaire très attachant.