Durant la premiere heure et méme si l'histoire est assez nulle en plus d'étre réchauffée,les scenes d'action sont exellentes à classer dans les meilleures dans son domaine et sont bien plus maitrisée que celles dans transformers.Mais aprés la scéne de Paris le film prend alors la direction du grand spectacle situé entre transformers et la guerre des étoiles.Hélas on perd en lisibilité,en maitrise et le scénario part en queue de poisson pour une eventuelle enfin plutot une indispensable suite.Brillant dans la premiere heure mais super agacant dans la deuxieme, dommage.
Pour ma part j'ai été déçu. Rien à voir avec la nostalgie du dessin animé et des figurines de notre enfance. A la rigueur c'est secondaire. J'ai vu des films d'actions avec des scénarios ficelés avec des fils barbelés qui m'ont plus accroché (sans mauvais jeux de mots) que celui-ci. Les effets spéciaux sont bons même très bons, , les combats arts martiaux sont sympa mais le restent... blagues démodés, histoire d'amour bateau (enfin bon dans un film d'actions rien de plus normal !), méchant très méchant lol ! Pour les inconditionnels de l'actions purs souches. LE plus gros mérite et qu'il n'y a pas de temps morts. Stephen Sommer nous avait offert beaucoup mieux avec les 2 premiers épisodes des films la momie avec Brendan Fraser (en guest dans ce film). Beaucoup aimeront et pour une fois moi pas, je n'ai pas réussi à y croire, ni m'évader, de fait à me plonger de dedans, et n'ai pas retrouver la même nostalgie qu'avec le premier Transformers qui dans le même registre est beaucoup mieux à mes yeux. Bref... pour moi un DVix fera l'affaire à la sortie du DvD.
Film en soit mauvais car trop surréaliste. Il n'a été nominé aux razzis pour rien. Mais si vous voulez vous détendre, voir un film explosif bourré d'actions, d'humours et de gunfights, courrez y sans tarder ! Mais n'oubliez pas de ne pas amener votre cerveau.
Dennis Quaid à la tête d’une escouade secrète protégeant le monde avec des armes révolutionnaires : tel était le défi du producteur et réalisateur de la momie. Au final, ce film d’action se situe entre la technique de Matrix et le spectaculaire de Michael Bay. Une nouvelle firme de super héros a été crée avec une débauche d’effets spéciaux assez révolutionnaire et un scénario parfaitement mené. Une petite chose à redire : les dialogues ne sont pas de premier ordre.
Stephen Sommers récidive dans son genre de prédilection, le blockbuster à grand spectacle, en adaptant ici le célèbre dessin animé pour enfants, Gi Joe. C'est avec beaucoup d'apréhension que je suis allé le voir, n'étant pas particulièrement fan des précédents films du réal, mais c'est plutôt satisfait que j'en suis ressorti, ni plus ni moins. Le film en lui même rempli son contrat, divertir, avec des effets spéciaux de bonne facture, une bande son déchainée, et des personnages hauts en couleur. C'est donc ce qu'on a en facade, un divertissement à grand spectacle. Dans le fond par contre, le scénario ne casse pas des briques, le casting n'est pas mauvais, sans être transcendant, la réalisation est plutôt réussie, quoique plutôt sommaire. Donc de quoi passer un bon moment, à condition de laisser son cerveau a l'entrée, ce qui est agréable de temps en temps ;)
Un film encore plus débile que Transformers 2, il fallait le faire. Un scénario nul, de mauvais acteurs qui viennent cachetonner, un humour débile et rase bitume et encore une fois le couplet patriotique à l'américaine. Je mets tout de même une étoile pour la méchante vraiment très belle, la scène de la tour Eiffel et les combats entre les deux ninjas très réussis. Autre point fort du film on ne s'ennuie pas, pour le reste c'est complètent débile.
A la base, j'avais une certaine sympathie pour les films de Stephen Sommers dont le côté de pur entertainment était agréable. On savait ce qu'on allait voir et on en avait pour son argent. Mais la gars est parti en sucette dès la suite de la momie, qui pouvait coucourir pour le prix Bernard Madoff de l'escroquerie de l'année. Le réalisateur a ensuite enchainé avec un "Van Helsing" qui parvenait à l'exploit de flinguer en un seul film l'ensemble des licences du studio Universal. Le cinéaste en arrivait ainsi à un niveau de je-m'en-foutisme tel que ses films en devenaient géniaux à condition d'être pris au second degré. Son nouveau film atteint des records dans le genre. En 2004, dans Team America de Trey Parker, parodie avec marionettes des films d'action hollywoodiens, les héros "sauvent" Paris du terrorisme en réduisant en poussière la moitié de la ville. On retrouve exactement la même scène dans GI Joe, l'aspect parodique en moins. Néanmoins, une réplique -involontairement- drôle conclue la séquence. Les grands boulevards parisiens sont en ruines, la Tour Eiffel baigne dans la Seine et un conseiller du président US sort: "les français sont contrariés". Sans déconner ? Sinon, les blacks sont les rigolos de service, les chinois (joués par des coréens) font du kung-fu, les héros sont héroïques, les méchants très méchants et les actrices passent leur temps en combinaisons de cuir moulantes. Côté scénario, un gosse de cinq qui joue avec ses figurines fait sûrement preuve de plus d'imagination que les trois scénaristes du film (que ceux qui n'ont pas senti venir la surprise finale lèvent la main). Visiblement ils n'ont pas reçu pour Nöel l'édition de "Comment écrire un scénario pour les nuls" vu la façon dont ils sabordent magistralement la renaissance des méchants du film (sitôt apparus et déjà arrêtés, on dirait un gag). En revanche ils ont visiblement eu le DVD du "Capitaine Sky" de Kerry Conran dont ils pompent sans aucun scrupule la séquence de la bataille sous marine. Au final, on a à faire à un pur produit manufacturé et standardisé avec comme seule directive des producteurs de ne pas tuer les personnages, histoire qu'en cas de carton, ils puissent prononcer le mot magique: trilogie.