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cylon86
2 527 abonnés
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2,5
Publiée le 27 mars 2013
On aurait pu craindre le pire : faire d'une franchise de jouets un film est aussi casse-gueule que d'adapter un jeu vidéo. Mais il faut reconnaître que "G.I. Joe : le réveil du cobra" s'en sort plutôt bien dans le genre film pop-corn. Les scènes d'action sont musclées (celle à Paris est vraiment impressionnante) et si l'histoire n'est qu'un prétexte elle s'avère plutôt bien menée. Ce qui surprend aussi c'est le casting éclectique qui se révèle être payant : Dennis Quaid, Joseph Gordon-Levitt, Lee Byung-Hun, Christopher Eccleston, Channing Tatum, Marlon Mayans et même Sienna Miller ! Toute cette clique au service d'un film d'action décomplexé nous fait passer un bon moment.
Ce film fait ce pour quoi il a était réalisé, à savoir, de l'action, des effets spéciaux et une histoire sympa qui donne envie d'être suivie. Quelques moments nous rappellent un peu les X-men et c'est plutôt une belle remarque. J'attends la suite...
Bases secrètes pour les bad guys et les G.I. Joe, technologie de SF improbable, action à tout-va : on se croirait sur un plateau de jeu en live ! Mais c'est moins le fond du scénario, simplet mais efficace, qui est intéressant dans ce film que l'impression qu'il donne... comme une espèce de renouveau du film de... super-héros ! Et oui : un groupe de X-men, d'Avengers en quelque sorte !!! Les micro-intrigues sont tout à fait dignes d'intéret et explorent les origines de nos héros, permettant au scénario de s'extirper d'un certain plan-plan ennuyeux, la technologie devient vite envahissante (et on se plaint !), la méchante est carrément passionnante et l'histoire rebondissante ; jusqu'en son terme ! Pour une fois les méchants ne sont pas de simples pions scénaristiques, on a même l'impression que ce sont réellement les plus forts dès le début, la situation se dégradant pour nos héros, et les twists très nombreux sont carrément sympatoches. C'est un bon scénar dont il ne faut rien attendre de plus et c'est d'autant plus dommage qu'il parait avoir été écrit un peu vite, qu'il aurait mérité d'être fouillé, peut-être même que l'on laisse quelques idées de côté... Par contre le film pêche sur le plan visuel (la poursuite parienne est franchement laide !),Le visuel aurait donc mérité lui aussi d'être affiné, élagué (moins en quantité, plus en qualité). Un divertissement peut être un peu trop surestimé visuellement, à donner quelques maux de tête... DE bonne idées, mais tout impliquer dans tout et un seul film. C'était évidant que cela ferait un peu à tout niveau.
Un film d'action futuriste de base, chargé de testostérone mais au scénario archi-prévisible et à la narration laborieuse. Les scènes d'action sont impressionnantes même s'il y a beaucoup d'esbrouffe et les acteurs s'en tirent honorablement. A noter la présence de l'excellent Byung-hun Lee pour les débuts de sa carrière internationale qu'on espère longue et surtout plus sélective quant à la qualité des films...
Avec Stephen Sommers, on est susceptible d'avoir à boire et à manger vu sa filmo pour le moins éclectique, c'est pourtant par son biais que l'on va réveiller une vieille franchise "Hasbro" reléguée depuis quelques décennies au rang d'antiquité. G.I. Joe fait donc son apparition sur grand écran avec à la clé moult cascades, effets spéciaux en quantité, poursuites et bastons en tout genre ainsi qu'un casting étonnant. On retrouve dans ce dernier Channing Tatum, égal à lui même, et Marlon Wayans, convaincant, sans oublier les deux beautés Sienna Miller et Rachel Nichols, et à côté de tout ça, plus étonnant encore, Dennis Quaid, Brendan Fraser et Joseph Gordon-Levitt ! Des acteurs qui ont eu l'air de s'éclater sur un scénario banal mais suffisant et surtout dans de nombreuses scènes d'action. C'est hyper rythmé, trop même, à tel point que l'on ne se souviendra probablement pas de tout mais peu importe, on ne s'ennuie pas et certaines séquences sont saisissantes, notamment la poursuite dans Paris. Côté effets spéciaux, le très bon côtoie le moins bon pour un résultat final satisfaisant, une bonne réalisation donc, couplée à une mise en scène sans temps mort et saupoudrée d'une dose d'humour non négligeable. Du grand spectacle avec tout ce qu'il faut de surenchère et d'américanisme primaire pour nous offrir un bon divertissement bourré d'action et pour lequel on peut aisément débrancher son cerveau.
Grosse attente pour cette adaptation des jouets cultes de mon enfance mais, malheureusement, un film en demi-teinte. Tout d’abord, pourquoi avoir modernisé l’histoire au point d’en faire quasiment un film de science-fiction (voir les combinaisons surpuissantes) ? J’aurai préféré davantage de réalisme (avec des scènes de combats à l’ancienne) agrémentées de quelques gadgets high-tech. Ensuite, les effets spéciaux ont au moins une génération de retard et sont tout simplement indignes d’un blockbuster. Quant au casting, il aurait gagné à être plus travaillé surtout du côté des GI Joe car, entre Channing Tatum (et son regard bovin) qui campe un Duke bien fadasse, Marlon Wayans qui la joue comique de service, Dennis Quaid en Général strict, Ray Park en Snake Eyes qui aurait pu être nettement plus cool et la manque de place accordée au reste de l’équipe, pas évident de s’enthousiasmer pour un des héros. Les méchants sont mieux lotis avec la belle Sienna Miller en troublante Baronne (le meilleur personnage du film), Joseph Gordon-Levitt en ambigu Docteur (même si son look final déçoit), Christopher Eccleston qui passe la moitié du film debout les bras croisés ou encore Byung-Hun Lee en Storm Shadow. Il faut donc se faire une raison : les producteurs ont décidé que "GI Joe" ne serait pas plus qu’un divertissement estival et, en ce sens, ils ont pratiquement réussi leur pari. Le film se regarde sans déplaisir avec une mise en scène rythmée (malgré une utilisation lourdingue des flash-backs), des séquences explosives (la course pousuite à Paris, l’attaque du QG des GI Joe…) et un scénario convenu usant des grosses ficelles scénaristiques (l’histoire d’amour, le traumatisme d’enfance…). A noter : les cameos de fidèles du réalisateur (Brendan Fraser, Arnold Vosloo, Kevin J. O’Connor). Reste une confirmation : Stephen Sommers, pourtant réalisateur du surprenant "Un cri dans l’Océan" et de "La Momie", se transforme peu à peu en yes-man au service des producteurs !
D'ordinaire, j'apprécie beaucoup les gros blockbusters à effets spéciaux, les pop-corn movies qui en jettent plein la vue. Mais depuis l'expérience "Transformers 2" (lire ma critique sur ce film pour plus de détails), j'ai appris à reconsidérer ce genre de "spectacle" avec une oeil un peu plus prudent. La bande-annonce de "G.I. Joe" donnait déjà le ton (SFX à foison, vilains pathibulaires, profusion de nanas vêtues de combinaisons très moulantes, beaux militaires, dialogues réduits à leur plus simple expression,...) mais je m'attendais au moins à passer un bon moment devant un film joyeusement décontracté, comme ça avait été le cas avec "Iron Man" pour ne citer que celui-là. Bien évidemment, "G.I. Joe" fait la part belle aux poncifs du genre (comme écrit précédemment), où notre bonne vieille France en prend encore pour son grade. Je me suis d'ailleurs surprise à rire, jaune il est vrai, lors de certaines scènes censées être tout sauf comiques, c'est dire... Par exemple, les diverses apparitions de Destro qui ne peut s'empêcher de grimacer à chacune de ses répliques. Bref... Concernant l'intrigue, il convient de s'accrocher dès le début car, mine de rien, quelques idées scientifiques présentées dans le film sont assez complexes (personnellement, je n'ai pas compris grand chose à certains tenants et aboutissants de l'histoire). Maintenant, les effets spéciaux... Mis à part trois-quatre plans faisant plus penser à des séquences tirées de jeux vidéo qu'autre chose, je les ai trouvés plutôt réussis. Mention spéciale à cette destruction de la Tour Eiffel assez... impressionnante. Et puis, les comédiens s'en sortent assez bien dans l'ensemble, même si certains cabotinent en diable (les méchants, notamment, mais depuis le temps... peut-être est-ce délibéré?). J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Arnold Vooslo et Brendan Fraser (dans un second rôle insignifiant, mais le béret militaire lui va tellement bien). Néanmoins, j'ai trouvé l'ensemble un peu lassant.
Film fun, mais globalement pas terrible terrible. Une histoire très simple et pas très compliquée. On retrouve les principaux ingrédients du film d'action, on rajoute ici ou là quelques trucs pour tenter de se différencier, on secoue le tout et on obtient le scénario. Pas beaucoup de surprises, mais un second degrés assumé qui rend certains passages assez fun. Une séquence d'action plutôt bien écrite au milieu du film, dont la conclusion est l'une des rares surprises du film. Des personnages assez surfaits au final, avec là aussi les grands classiques du genre : le héros, le pote du héros, la copine du héros qui tourne bad-girl avant de revenir gentille, le frère de la copine du héros qui pète les plombs (mais on sait pas trop pourquoi), le type aussi silencieux qu'il est balèze avec sa némésis qui est évidemment de l'autre côté, le méchant trafiquant et le général américain...Bon, j'en ai oublié quelques uns mais l'essentiel est là. Des personnages classiques donc, interprétés de façon là aussi très classique : le casting n'est pas pharamineux mais fait son taf. C'est globalement très moyen, mais ça correspond bien au produit vendu. Musique de circonstance, effets spéciaux pas exceptionnels mais corrects, mise en scène dynamique mais très classique (à part pour 2-3 plans assez chouettes) et décors pas mal. Bref, un film fun parfait pour déconnecté son cerveau une soirée.
Même un ado n'aimerait pas. Les jeux vidéos ont un scénario plus développé, les personnages sont ridicules autant les uns que les autres, les évolutions du scénario invraisemblables et les effets spéciaux ont complètement réécrit les lois de la physique. Plus que dispensable.
G.I. Joe est le parfait divertissement de l'été. Dépassant le trop sérieux Transformers 2. Le film de Sommers se veux fun et cela se ressent dans les premières minutes du film. Les effets spéciaux malgré les nombreuses critiques sont très acceptable. Mention spéciale à la destruction de Paris qui est pour moi l'une des scènes les plus spectaculaire dans un film d'action que j'ai pu voir depuis longtemps. Les acteurs sont bien choisi et joue leur role respectable avec parfois pas mal de caricature mais le film se veux ainsi. Mention spéciale à Lee Byung Hun qui pour son premier blockbuster américain en impose pas mal à l'écran. La musique elle aussi colle parfaitement au film. Un film fun avant tout qui permet de mettre son cerveau de coté et de profiter pleinement du spectacle offert par Sommers...
Le ton du "nanar exutoire" est donné d'entrée de jeu, ce qui fait que l'on n'est pas surpris par l'enchainement de ces mauvaises scènes rivalisant de ridicule. On pourra retenir la course poursuite dans Paris s'achevant sur l'effondrement de la Tour Eiffel : une originalité de lieu et d'action qu'on n'a pas l'habitude de voir dans de tel nanar.
Il a fallu se décider... Attendre une petite gastroentérite associée à des courbatures et de la fièvre pour pouvoir rester immobilisé devant ce film dont je n'attendais rien si ce n'est une inactivité cérébrale de 2 heures. Et ben voilà, c'est fait. Après Transformers et avant Battleship, Hasbro continue de recycler ces jouets à succès avec malheureusement beaucoup moins de succès. Si Transformers arrivait encore a émerveiller les restes de mes souvenirs d'enfance, G.I. Joe se plante complètement. Pourtant, qu'est ce que j'avais pu imaginer comme scénarios, faisant s'affronter mes personnages dans des missions où le jardin devenait zone sinistrée parsemée de corps de plastique mutilés. Des souvenirs balayés par un déluge d'effets spéciaux parfois ratés et des personnages sans charisme. Seul Snake Eyes s'en sort et c'est peut être parce qu'il reste masqué durant tout le film. Ca file à cent à l'heure, sans surprises avec des scènes d'actions certes impressionnantes mais rien qui ne ferait ressentir quoi que ce soit à un hypersensible. Bref, on ne va pas s'en souvenir longtemps de ce réveil du Cobra, espèce de téléfilm à gros budget sans saveurs et sans épaisseur qui n'est qu'un prétexte de rentabilité. Utile comme le nombre de dialogue superflu qui jalonnent le film.
Stephen Sommers n'est pas un débutant. Réalisateur de l'exceptionnel "La Momie", il s'essaie ici au bon film de bourrin qui envoie du gros lourd, avec la bénédiction d'une franchise de jouets que tous les petits garçons dignes de ce nom ont vénérée. D'entrée, on se prend à espérer un film légendaire quand la première scène nous montre que l'intrigue commence par le supplice d'un marchand d'armes écossais à la cour de Louis XIII et tous les ingrédients sont d'ailleurs réunis : des G.I. Joe (les gentils), des Cobras (les méchants), un savant fou, deux ninjas, des technologies guerrières révolutionnaires, un noir qui fait des blagues, un chef sévèrement burné et une bimbo à forte poitrine dans chaque camp pour faire bonne mesure. Si tout cela s'avère fort divertissant, la suite d'explosions, de poursuites et de bastons manque de cette pointe d'ironie qui fait le succès des grands films d'action. Le héros, qui ressemble à s'y méprendre à Franck Ribéry, n'aide pas tellement non plus...
Chiant à 90%, c'est toujours le même problème avec ce genre de blockbusters. Bon, après y a de l'humour à la Stephen Sommers, je dis pas ! Et puis moi aussi je veux défoncer les Champs Elysées, la Tour Eiffel et les quais de Seine en combinaison bionique ! La course poursuite dans Paris est la seule scène à peu près jouissive : c'est celle de la bande-annonce, et voilà pourquoi je me suis fait baiser ! Le film est extrêmement looooong à se mettre en place et la fin est chiante comme l'antarctique sous ses airs de singeage de star wars. La Momie avait bien plus de gueule à l'époque !