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Rudigol13
11 abonnés
396 critiques
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4,5
Publiée le 11 décembre 2011
Un excellent film, qui retrace bien le jeux vidéos, de très beaux effets spéciaux, de l'action, des acteurs au top et pour ma part des effets 3D pas mal du tout, un monstre !
J'adore se Film, Déjà il y a mon acteurs préféré Jake Gyllenhaal, et je trouve le scénarios vraiment bien et il y a de l'action, de l'amour, un décors magnifique, des effet spéciaux extra. J'aime J'aime.
Pour arriver à ses fins, Nizam, le frère du roi monte un plan pour prendre la place de son ainé. Alors que c'est Dastan, le fils adopté du roi qui est soupçonné, sa quête va lui faire comprendre que c'est son neveu l'assassin. Soyons clair, Prince of Persia n'est pas un bon et encore moins un grand film, mais il se défend tout de même. Mike Newell adapte le célèbre jeu vidéo au cinéma, et dans cette optique, le parallèle est plutôt réussis dans plusieurs scène, en reste néanmoins que pour le cinéma, c'est trop léger. La réalisation est loupé, la caméra bouge dans tout les sens, les quelques scène épique ne sont pas a la hauteur et le scénario trop facile, cependant l'apport de Jake Gyllenhaal et surtout Ben Kingsley donne un peu de relief a un film qui se laisse regardé. Ben Kingsley survole le film sans peine mais se trouve bien trop seul toutefois. Gemma Arterton n'apporte elle, que son physique ... En somme, Prince of Persia n'a qu'un seul but ... divertir, ce qui est est plutôt bien fait.
Rolala mon Dieu le bide. D'habitude je prends le temps de bien écrire mais pardonnez-moi, là je peux pas. J'ai tellement lutté pour ne pas m'endormir devant cette soupe... Jake Gyllenhaal pour incarner un guerrier.... Et pourquoi pas Christophe Dechavanne? tssss
Un Disney d'aventures orientales, qui remplit son cahier des charges habituel, l'atmosphère de jeu vidéo est une idée originale supplémentaire, mais pas la finalité du film contrairement à ce qu'on peut lire dans d'autres avis.
Distrayant, sans gros plus. Une histoire qui tourne un peu en rond, parsemé de longueur. L'action est bien réalisé, et certains décors sont magnifiques.
Visuellement pas désagréable et des effets de style modernes plutôt sympas malgré des ralentis superflus et un humour très convenu. Bref, un gentil divertissement de pas trop mauvais goût mais encore une fois sans la moindre ambition artistique.
après pirates des caraïbes Mike newel nous en met plein la vue avec prince of persia de l'action des effets spéciaux de bon acteurs et actrices (gemma <3) tout y est!
Je viens de voir ce film et j'en suis très content. C'est une belle réussite. Il y a de l'action, de très belles cascades, unscénario melant histoire et magie, des décors superbes et un casting de premier choix. On passe vraiment un bon moment.
L'ayant vu avec une ribambelle de petits cousins (qui m'ont surement influencé par la suite), j'ai apprécié le film. Moi qui déteste pirate des caraïbes et les disney style Narnia, j'ai trouvé celui-ci assez réussit et drôle. Et puis c'est un divertissement complet : cascades, désert, actions, Gyllenhaal, tout le monde s'y retrouvent!
Une adaptation moyenne du jeux vidéo d'Ubisoft. L'approche au jeu souffre d'une ambivalence qui fait défaut au film. En effet, elle est tantôt trop systématique, tantôt inexistante. Ainsi on oscille entre passage poussif pour être raccord avec la dynamique du gameplay (pirouettes au ralentis toutes les cinq minutes, gymnastique pataude sur les barres parallèles, passage en revue des possibilités d'évasions, ...), et prises de bac gentillettes entre le bad-boy et la princesse rebelle, calé sur "Indiana Jones et le Temple Maudit". Un film certes médiocre, mais cependant assez léger et ensoleillé pour ne pas se prendre au sérieux. On peut toutefois reconnaître que les sauts dans le temps, à défauts d'être assez nombreux, sont parfaitement restitués sur grand écran!
Nul, raté. Ne retranscrit pas assez bien l'ambiance du jeu. Ils auraient du prendre des acteurs orientaux pour le film. Prendre Jake Gyllenhaal (avec cheveux longs et barbe) pour le prince n'était pas le meilleur choix.
I y a pas si longtemps, dans un royaume lointain appelée Hollywood, un producteur à succès cherche le sujet de son prochain film. Pas effrayé par les catastrophes en série que le concept a engendré, il décide de se concentrer sur l’adaptation d’un jeu vidéo. Ce sera donc Prince of Persia, ou les aventures de ce jeune prince adopté par le roi de Perse, qui guerroie avec ses frères et se retrouve à assiéger une ville réputée sainte et imprenable. Mais évidemment, le prince va remédier à la situation…
A ce stade, le héros a déjà montré 50 fois ses pectoraux et Ben Kinglsley a déjà froncé 17 fois des sourcils pour que tout le monde comprenne bien qu’il est le méchant du film. Le ton est donné, on est là pour en mettre plein les yeux, sans que le principe même de réfléchir vienne gâcher le spectacle. Et c’est parti pour le parc d’attractions recrée en images de synthèse par Walt Disney : courses poursuites sur les toits, batailles de rues, charges héroïques, fuite dans le désert et bastons diverses et variées, le tout enrobé dans une légende mystique et religieuse. Tout cela n’est pas follement original, ça tombe bien, personne ne semble s’être donné trop de mal sur ce coup là : les effets spéciaux sont massifs et plutôt laids, en particulier ces décors numériques bien trop artificiels, les personnages répondent tous aux stéréotypes en rigueur sans chercher la moindre nuance et le réalisateur Mike Newell déroule son programme sans jamais faire d’étincelles la caméra en main. Pour compléter le tableau, personne ne semble avoir remarqué que Jack Gylenhall ressemble autant à un prince perse qu’à un chef de village pygmée.
Mais au royaume des aveugles les borgnes sont rois et ce Prince of Persia offre malgré ses défauts un spectacle honnête, et surtout avec un minimum de rythme échappant à la sinistrose qui semble s’être emparé de tous les blockbusters. Des personnages, de l’action, et un scénario avec quelques petites surprises, et même quelques bonnes idées : une congrégation d’assassins psychopathes, un ou deux personnages secondaires vraiment marrants, et bien sûr Gemma Arterton. Au final, même s’il est assez clair que cet opus ne fera pas date et ne hissera pas au niveau d’un Pirate des Caraïbes, on est en droit de trouver ce Prince moins chiant qu’Iron Man 2 et moins laid que le choc des titans Un élément vraiment marquant quand même : la première demi-heure raconte l’annexion d’une ville décidé par le prince pour y trouver des armes (de destruction massive), basée sur des renseignements ramenés par des espions. Et évidemment, personne ne trouve d’armes dans la ville, c’était un complot ourdi pour déclencher une guerre. Ca vous rappelle quelque chose ? Sur le coup, on est plus proche de Green Zone que de Nintendo. Voir l’Amérique expier ses crimes récents jusque dans les scénarios de films familiaux Disney a quelque chose de cocasse et presque réjouissant. Mais c’est assez théorique tout de même…