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    Tokyo!
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    108 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 novembre 2008
    On ne peut pas être totalement enthousiasmé par ce genre de films parcqu'il est trop expérimental, un ovni parmi les films!
    Trois histoires, trois petits films et trois regards sur une ville envoutante et déroutante devant l'écran comme en vrai. Le film nous plonge dans l'esprit japonais et l'esprit de Tokyo... c'est sur il donne envie d'y retourner pour qui y est déjà allé.
    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    56 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2008
    Un film, Trois histoires. L'originalité ma fait aller voir ce film. En effet c'est très bien les histoire n'ont aucun rapport, mais se ressemble de par la réalisation et le cadrage.
    La première histoire Interior Design de Michel Gondry. Est vraiment très belle, bien qu'un peu longue les premières minutes. L'histoire est très bien, mais se qui est important c'est la morale de cette même histoire, qui est vraiment très touchante. C'est fluide, rapide, simple, sans aucune prétention. J'ai adore.
    J'ai moins aimé la seconde. Merde de Leos Carax. Je n'ai rien trouvé d'intéressant, mis à part la ressemblance des personnages, et le langage instauré entre les deux. Une histoire sans intérêt à mon gouts, un long métrage sans queue ni tête. La fin est tellement bidon qu'on se demande si scénariste et réalisateur savaient comment finir...
    J'ai beaucoup aimé cette histoire de Shaking Tokyo de Bong Joon-ho. Je ne saurais la commenter il faut la voire. On ne sais trop si c'est une critique visant les asiatiques, le monde ou bien les hikikomoris seulement ? Une histoire émouvante et chaleureuse.
    Un film très surprenant que j'ai beaucoup aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 novembre 2008
    Super film , avec en point d'orgue "Merde" le deuxiéme moyen métrage de Léos CARAX avec des Denis LAVANT et Jean-François BALMER au sommet . Le premier est trés bon , le troisiéme excellent .
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2008
    Un tryptique plutôt réussi, ces trois visions de Tokyo sont particulièrement différents, Gondry choisit la poésie et livre une oeuvre au début assez simple qui s'obscurcit par la suite et s'achève de façon assez ambigüe(la femme devient objet pour trouver un sens à sa vie)un propos intéressant qui fait de ce court métrage une oeuvre plus complexe qu'il n'y parait.Léo Carax lui part en vrille, c'est trash, sale, drôle et corrosif mais aussi un peu trop long et un poil trop décalé, on sature vite et l'aspect déstructuré de l'ensemble n'emporte pas l'adhésion totale.Le troisième court -métrage plutôt contemplatif est une oeuvre sensible et émouvante sur les hikikomoris, peut-être un brin trop fantasmée l'intrigue ne décolle pas vraiment mais la beauté des plans et la douce mélancolie de l'ensemble en font une belle réussite.Une compilation donc intéressante et plutôt cohérente, une bonne surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2008
    Une perte de temps et d'argent que d'aller voir ce film.
    Aucun intérêt! - Martine
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2008
    La critique est unanime: il s'agit là d'une compilation de court métrage, d'une œuvre collective, d'un triptyque même! Et bien je suis d'accord!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 octobre 2008
    Une ville, plusieurs réalisateurs. Concept à la mode (après "Paris je t'aime" et avant "New York i love you"), c'est aujourd'hui au tour de Tokyo d'être cerné par les caméras. Ici, l'histoire est plus dictée par les personnages que par la ville, presque interchangeable. Adoptant le format "lettre", de plus d'une demie-heure, plutôt que la toujours frustrante "carte postale" de cinq minutes, Michel Gondry, Leos Carax et Bong Joon-ho - cherchez l'intrus, lâchés en liberté, y prennent visiblement du plaisir et le spectateur aussi - au moins deux fois sur trois. Car il y a toujours un vilain petit canard, un segment dispensable, ici le sketch de Carax. Un retour raté après neuf ans d'absence, où l'ancien enfant terrible du cinéma hexagonal s'amuse tout seul à filmer en DV ou avec son portable un Denis Lavant tout barbouillé mais sans scénario, juste influencé par "Frankenstein" ou quelques épisodes christiques. Finement appelé "Merde", on pourra au moins dire que l'étiquette correspondait au produit. Plaisir garanti en revanche avec Michel Gondry et Bong Joon-ho. Le premier suit, dans son style toujours naïf et enfantin, les aventures d'un couple qui débarque à Tokyo, avec peut-être un peu moins de bricolages carton-pâte qu'à l'accoutumé, mais avec un script toujours aussi délirant. Le second clôt le voyage avec une histoire d'enfermement urbain où un homme sort de chez lui après dix ans passé chez lui sans sortir, un récit simple et beau, judicieusement exploité par une mise en scène aérienne. La claustration puis la redécouverte de la vi(ll)e sont filmées avec grâce et légèreté, enveloppées par une sobre partition de guitare. À classer pas loin derrière "New York Stories", de la Sainte Trinité Scorsese-Coppola-Allen.
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    Le premier film, celui de Michel Gondry, est comme toujours d'une inventivité remarquable, léger en apparence mais délivrant un message en fait plus profond sur le sens à donner à sa vie, le besoin d'être utile à quelque chose, le tout sur fond de crise du logement à Tokyo. Les dialogues sont bien écrits et les images assez belles. Le deuxième film, en revanche, est franchement médiocre. En appelant son film "Merde", Leos Carax fait un pied de nez assez puéril à on ne sait pas trop qui. Film sur l'exclusion qui part d'une idée intelligente, il souffre d'une forme lourde et ennuyeuse qui donne une impression de jouet stérile entre les mains d'un misanthrope un peu gâteux. J'ai dormi pendant le troisième film et n'ai donc pas d'avis sur la question mais l'impression d'ensemble de "Tokyo !" est que le format n'est pas très intéressant : trop long pour un court-métrage et trop court pour un long-métrage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 octobre 2008
    Film catastrophique, mise à part peut être le gentillet court métrage de Gondry.
    Quasiment aucun rapport avec Tokyo.
    Leos Carax fait son intéressant mais ne parvient pas à nous intéresser. Très pédant. Plein de poncifs. Nul.
    Vraiment à éviter. Difficile à supporter.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 octobre 2008
    Trois réalisateurs différents pour les trois sketches du film "Tokyo": M.Gondry d'abord,dans Interior Design, nous montre un jeune couple qui peine à trouver ses repères dans cette ville peu hospitalière;la jeune femme,indécise,a le sentiment diffus de perdre le contrôle de sa vie : vision quelque peu surréaliste et plutôt réussie. Autre réalisateur,autre vision de Tokyo,avec "Merde" de Leos Carax et sa créature venue des égouts,prête à tout détruire :Créée par l'homme qui la rejette,elle prend le pouvoir de façon anarchique;Denis Lavant dans ce rôle,fait une remarquable prestation, "innocent" et répugnant à la fois.Enfin,c'est la vision d'une ville désertée que nous donne Bong,avec des hommes repliés sur eux-mêmes et s'excluant du monde par peur de l'autre.Une grande cohérence,donc,dans ces trois visions de la mégapole.Cinéma original et intrigant...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 octobre 2008
    Un premier et un troisième court métrage réussis. D'un côté, une sorte de fiction socio-urbaine sur les aléas de la vie à Tokyo (qui vont de paire avec les etats d'âme de l'actrice principale), de l'autre une vision très moderne de la vie d'ermite (et toutes ses joies).

    Au milieu, une façon bien trop futile et facile dedénoncer le comportement abjecte d'une population qui à l'image de sa société se pose en victime face à une 'menace' venue de l'extérieur. tout ça avant de nous faire comprendre qu'en fait, le grand vilain n'est pas celui que l'on croit; finalement les roles sont inversés, le méchant devient le gentil, les gentils le méchant. Comprenez que l'image de Tokyo est celle d'une ville de l'avenir, la cité de demain, ce qui inclut donc le citadin du futur, incluant son attitude, son comportement.
    Voilà où tout ça nous mène: les tokyoites -et par extension, la population d'aujourd'hui et de demain- sont incapables de se comporter dignement et d'intégrer un être humain étrangé à toute société moderne. DONC, au lieu de l'aider à s'insérer au sein d'une ville, l'homme (...qui vit dans les bas-fonds de la ville, ben tiens!!) se retrouve persécuté, ciblé et fini par devenir une victime. D'où les clichés littéraires et ceux à l'arrache tirés avec le portable des malheureuses vicitmes lorsque le monstre sort de ses souterrains, qui sont bien sur retransmis aux télés du monde entier. Une bête de foire en somme. Façon Freaks, la technologie en plus.

    Tout ça nous montre-il que la vanité, l'orgueil et le selfichisme seront les mots clés du monde de demain?
    un court métrage affligeant: une trame trop futile et "deja-vu"

    Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 octobre 2008
    L'attirance pour la péninsule nippone et sa capitale est surement la seule raison qui pousse les spectateurs à rester dans la salle jusqu'à la fin. Le film veut être à l'image de Tokyo, moderne, exentrique et intriguant. C'est à ce jeu là qu'on se retrouve avec un court métrage qui porte bien son nom: Merde. Lourd et lent comme un soumotori, il nous inflige une longue séance de torture à coup d'onomatopées à ralonges. Leos Carax plombe véritablement les deux autres courts métrages, qui même si ils ne sont pas des chefs d'oeuvres ont le méritent de nous montrer autres choses q'un dialogue interminable et incompréhensible. Si vous voulez voir un petit bout de Japon, allez plutôt manger des sushis, car ici, on frôle l'indigestion.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2008
    Mise a part le film de Michel Gondry simplement agréable (pensez a simplet) ces trois courts métrages ont tres peu d'intéret. Parler de Tokyo est un sujet vaste et captivant qui n'est aucunement mise en exergue dans ce pastiche de court métrage. Léos Carax nous sort un récit cliché et lourd digne d'une comédie des frères Farrelly en moins drole car soi disant subversif mais propose juste un propos lenifiant (les japonais sont lisse mais nous les francais sommes rugueux et complexes). Quant au Shaking Tokyo au début prometteur; la vie d'un hikikomori au images presques contemplatives, il aurait du s'en tenir qu'a cela plutot que de faire une histoire niaise et une fois de plus cliché du Japon (hermite, hermaphrodite et xénophobe) avec une fin des plus horripilantes. Reste Gondry qui s'est légérement tenu a l'ecart de ces fantaisies seductrices d'etudiants aux beaux arts habituelles et malgré une fin simpliste, nous parle un peu plus de Tokyo. Donc une question nous vient à l'esprit; tous ces films n'aurait pas pu etre tourné autre part qu'a Tokyo?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 octobre 2008
    Comme le dit le titre du film de Léos Carax "Merde", c'est peu dire tant je me suis ennuyée! Je comprends que Mr Carax n'est pas tourné depuis 1999 et ça n'a manqué à personne! En revanche Gondry a une approche intéressante mais pas franchement renversante quant au dernier court métrage, le sujet sur l'agoraphobie aurait pu être mieux exploité. Franchement déçue, je suis outrée que la presse et les spectateurs notent aussi bien ce film! Il ne faut pas exagéré, c'est expérimental mais pas un chef d'oeuvre non plus! Mais où va la critique!!!??
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2009
    Le meilleur film a sketchs que j’ai vus depuis longtemps.J'hésite presque a retirer l'étiquette "a sketchs" tellement cela me semble le plus cohérent et inventif des tous les films «entiers» vu depuis quelque temps.
    Faut dire que je vais surtout voir du cinéma Coréen ou japonais pour la qualité et l’inventivité de leurs scénarii.
    Je partais avec un a priori négatif pour Carax-Lavant me demandant s'ils pouvaient encore faire du cinéma,
    Un a priori favorable pour la poésie de Gondry
    Et la joie de retrouver une vision coréenne du japon par le réalisateur génial de Host.
    Le résultat un plaisir TRIcuplé, une réussite.
    Gondry fait une ouverture parfaite sur la non-vie à TOKYO et bascule dans une dimension merveilleuse que lui seul sait atteindre.
    Carax fait un cinéma décoiffant sur la peur dans la mégalopole et bascule dans un burlesque plus inquiétant (merci pur le n° de JF Balmer, et la vision du journal télévisé local)
    Bong Joon-Ho clôture en nous parlant de solitude et d’amour et de solitude.
    Reste le mystère comment ont-ils convaincu les producteurs japonais?
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