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je m'attendais pas à ce qu'il soit si bien.
c'est allé largement au-dessus de mes espérances.
recommandé.
pis Gondry, le monde serait perdu sans lui!!!
j'espère ne pas tomber là-bas sur la créature des égoûts!!!!
c'est allé largement au-dessus de mes espérances.
recommandé.
pis Gondry, le monde serait perdu sans lui!!!
j'espère ne pas tomber là-bas sur la créature des égoûts!!!!
Original et dérangeant, un film d'enfant pour les adultes...
Tokyo! est un ensemble de trois courts-métrages sur cette ville tant énigmatique dont chaque réalisateur l'a représenté par leurs manières propres. Tout d'abord "Interior Design" du doux dingue Michel Gondry peint une société de tokyoïtes légèrement folle qui ne trouve but dans leur vie qu'en se sentant utile, ce qui n'est pas le cas de l'un des protagonistes. La recherche de son utilité s'avérera étrange tout comme le sera sa transformation tragi-comique; ce court qui sait prendre son temps est très agréable à regarder. Le segment "Merde" de Carax racontant l'histoire de la créature des égouts nous emporte dans un court-métrage trash qui malheureusement s'enlise par moments, reste malgré tout quelques scènes jouissives. Quant au "Shaking Tokyo" du très bon Bong Joon-ho, c'est une merveille, ce court est transporté par une douce poésie qui ne pâtit jamais grâce à une histoire et des plans originaux ainsi que des personnages attachants. Tokyo! est un film à voir pour cette confrontation rare d'artistes tant différents.
3 courts métrages constituant un film, mais tout simplement incroyablement bien fait.
Ce triptyque tokyoïte est très original. La scène de la chaise réalisée par Gondry fait parti de ces moments de cinéma qui m'ont beaucoup marqué.
Attention la critique qui suit n'a absolument rien d'objectif ...
Ce film est culte pour moi tellement j'ai déliré dessus. C'est une œuvre totalement barrée que je suis incapable de prendre au sérieux même quand j'essaie. Il est pour moi au même niveau qu'un super nanar, à savoir un film tellement mauvais qu'il en devient génial. Ceci explique ma note, tant que je verrais ce film avec un œil humoristique je ne pourrais pas mettre d'avantage par souci d’honnêteté vis à vis des lecteurs, même si j'ai conscience qu'il mériterait sans doute objectivement 3 à 4 étoiles, pourquoi pas même 5 aller, soyons fou...
Totalement surréaliste !!!
Si vous êtes un temps soit peu intéressé par le japon, ses habitants et sa culture, regardez le de toute urgence et faites vous votre propre avis. A voir en VO sous-titré bien évidemment, même si je pense qu'il n'existe pas d'autre version (doubler ce film détruirait tout son intérêt et l'essence même de ce pourquoi il a été réalisé ) ...
Ce film est culte pour moi tellement j'ai déliré dessus. C'est une œuvre totalement barrée que je suis incapable de prendre au sérieux même quand j'essaie. Il est pour moi au même niveau qu'un super nanar, à savoir un film tellement mauvais qu'il en devient génial. Ceci explique ma note, tant que je verrais ce film avec un œil humoristique je ne pourrais pas mettre d'avantage par souci d’honnêteté vis à vis des lecteurs, même si j'ai conscience qu'il mériterait sans doute objectivement 3 à 4 étoiles, pourquoi pas même 5 aller, soyons fou...
Totalement surréaliste !!!
Si vous êtes un temps soit peu intéressé par le japon, ses habitants et sa culture, regardez le de toute urgence et faites vous votre propre avis. A voir en VO sous-titré bien évidemment, même si je pense qu'il n'existe pas d'autre version (doubler ce film détruirait tout son intérêt et l'essence même de ce pourquoi il a été réalisé ) ...
Trois réalisateurs de talent peignent un tableau de la ville nippone Tokyo. On retrouve trois courts métrages de Michel Gondry (Interior Design), Leos Carax (Merde) et Joon-ho Bong (Shaking Tokyo). Chacun montrant un problème de La capitale, Gondry montre les problème de logement et de la place de l'homme dans un société marginale qu'est le Japon. Joon-ho Bong montre quant à lui le problème de l'exclusion volontaire qui parcoure le Japon surtout dans Tokyo. LE court métrage "Merde" de Leos Carax est d'une originalité débordante mais comporte de nombreuses longueurs, il parle de (à ce que j'ai compris) de la place de l'étanger dans un société où les relations sociales n'e sont pas à l'honneur. Revenons sur Michel Gondry et son "Interior Design", une histoire belle et touchante avec une révélation la déjà connu Ayako Fujitani. Le troisième court métrage et celui de Joon-ho Bong, "Shaking Tokyo", il est je trouve d'une beauté pure. Un film fait de trois films à voir pour s'imprégner de la ville de Tokyo même si c'est surtout les problèmes de la grande ville qui sont abordés. Intéressant, beau pour Michel Gondry et Joon-ho Bong.
Divisé en trois parties, un film à sketchs forcément inégal mais de bonne tenu. D'un côté, le segment de Gondry, malheureusement assez ennuyeu malgré une belle touche de poésie sur la fin. De l'autre, celui de Bong Joon-Ho, le plus réussi des trois, véritable petite perle de fable saupoudrée de S-F, à la fois originale, mélancolique et poétique, mise en scène avec un véritable talent. Et au milieu, le bien nommé "Merde" de Leos Carax, véritable bordel pellicullé à mourir de rire, qui fait un bien fou, totalement absurde et qui en agacera plus d'un mais qui pointe méchamment du doigt une société trop lisse pour être honnête, où la différence n'est franchement pas la bienvenue.
Tokyo est assez inégale comme la plupart des films à sketches ici on a un Gondry magnifique, un Carax de bonne qualités et un Jonn-ho juste mignon. En résumé Tokyo possède 3 courts métrages avec des émotions tellement différentes que s'en est un régale.
3 chapitres très inégaux malheureusement.
Un voyage onirique dans l’univers de 3 grands cinéastes.
Le film le plus décalé et bizarre que j'ai sûrement jamais vu, en particulier les deux dernières parties... le dénouement du premier est complètement inattendu mais c'est en cela qu'il est plaisant, quoiqu'un peu long vers la fin.
Agréable à voir donc, mais parfois on ne peut s'empêcher de lâcher un "WTF, only in Japan".
Agréable à voir donc, mais parfois on ne peut s'empêcher de lâcher un "WTF, only in Japan".
Caractérisons ce "film": un triptyque audacieux, original, jubilatoire et poétique. Voir Tokyo à travers trois prismes différents, rire et frémir, se moquer et trembler, toute une palette d'émotions servies par des caméras d'or. Palme d'or au Merde de Léos Carax (Denis Lavant excellent!), qui m'a fait mourir de rire avec un véritable fond critique et jubilatoire. Ce que le cinéma offre de mieux!
Deux sur trois d'intéressant, mais un très spécial et un autre passable ne permettent pas à ce film de décoller.
Pour moi l'un des petits bijoux de l'année passée!!3 films courts par 3 réalisateurs aux univers différents mais qui se rejoignent dans la singularité (Carax Gondry et Bong).
3 contes modernes, surréalistes et poétiques qui font sourire mais nous jettent aussi au visage les maux de notre époque: solitude, peur, traditions ancrées et modernisation à outrance. Tokyo en toile de fond ne devient plus qu'un prétexte et pourrait être n'importe quelle mégalopole. Une petite préférence pour le Merde de Carax...Inclassable...
3 contes modernes, surréalistes et poétiques qui font sourire mais nous jettent aussi au visage les maux de notre époque: solitude, peur, traditions ancrées et modernisation à outrance. Tokyo en toile de fond ne devient plus qu'un prétexte et pourrait être n'importe quelle mégalopole. Une petite préférence pour le Merde de Carax...Inclassable...
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